Rompreune relation amoureuse n’a rien de joyeux pour les deux acteurs de cette relation. Tout au contraire, c’est généralement tout un calvaire émotionnel. On parle là d’une séparation avec quelqu’un qui vous connait au bout des doigts, avec qui vous avez certainement passé assez du temps, puis en compagnie de qui vous avez partagé Vousle saurez en écoutant ce sketch de Fernand Raynaud enregistré à Fribourg dans les années 1950 pour la Radio Suisse Romande. Je vais poser une question au hasard. Combien de temps met le fût du canon pour se refroidir lorsque l'obus est sorti du fût ? Vous allez me répondre. _ Silence long : Ça dépend. Aubout de combien de temps un homme regrette la rupture: Souvent, nous pouvons considérer qu’ un homme regrette une rupture au bout de 60 à 120 jours. Mais cela varie selon certains facteurs de la relation. Un homme aura se sentiment de regret lorsqu’il sera seul, il vera que sa vie n’est plus la même qu’avant, et c’est la qu’il Vousavez envoyé une facture à un client il y a 30 jours. Silence radio : aucun paiement ni communication de sa part. Pas de panique! Dans la majorité des situations, il s’agit tout simplement d’un oubli qui pourra être réglé par un rappel. La première étape sera donc la préparation et l’envoi d’une lettre de relance pour la facture impayée. Vous trouverez ci Quelquun pourrait me dire, quelle est la durée d'un silence radio concluant après une rupture? Je veux dire au bout de combien de temps on peut considérer Menu. Accueil. Forums. Nouveaux messages . En ce moment. Nouveaux messages Nouveaux messages de profil. Connexion S'inscrire. Quoi de neuf. Nouveaux messages. Menu Doncune fille qui procède à un silence radio envers son mec, ça veut dire qu’elle voudrait arrêter la relation mais qu’elle préfère prendre son temps. Quand une fille agit ainsi, tu devrais déjà deviner que c’est terminé, et donc déjà commencer à voir ailleurs pour pas être pris de court. Sache qu’un silence radio, s’il w8Pa9m. citation 1 Combien de temps le fût du canon met-il pour refroidir ? - ... - Un certain temps !Le fût du canon 1950 de Fernand RaynaudRéférences de Fernand Raynaud - Biographie de Fernand RaynaudPlus sur cette citation >> Citation de Fernand Raynaud n° 34520 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesRecherche de citations Combien met-il / met-il refroidir / refroidir certain / Combien refroidir / Combien certain / met-il certain Le fût du canon sketch de Fernand Raynaud » 1 janvier 1950 Emission sans nom Combien de temps le fût met-il pour se refroidir après que l'obus a été tiré ? Que répondra le troufion Raynaud à son caporal-chef ? Vous le saurez en écoutant ce sketch de Fernand Raynaud enregistré à Fribourg dans les années 1950 pour la Radio Suisse Romande. Je vais poser une question au hasard. Combien de temps met le fût du canon pour se refroidir lorsque l'obus est sorti du fût ? Vous allez me répondre. _ Silence long Ça dépend. S'il y a du vent. S'il pleut. _Je vous demande la réponse qui est écrite ici. La question est posée en lettre gothique. je vais ouir en français ce qu'il y a d'écrit en italique. _ Combien de temps ça peut mettre un fût pour se refroidir lorsque l'obus est sorti du fût ? 50 minutes. _ Non. Il faut plus de 50 minutes ! Il faut bien compter un quart d'heure. Fernand Raynaud naquit à Clermont-Ferrand le 19 mai 1926. Avant de faire une grande carrière d'humoriste, il avait exercé divers métiers terrassier, empileur de sabots ou vendeur de cigarettes à la sauvette. Archétype du Français moyen dans les sketches qui le firent connaître au music-hall, à la radio et à la télévision, il fit aussi du théatre et du cinéma. Il se tue le 28 septembre 1973 au volant de sa voiture sur une route du massif central. Votre commentaire sur cette citation Contribuer Cette phrase de Fernand Raynaud contient 16 mots. Il s'agit d'une citation courte. Confucius Victor Hugo Einstein Gandhi Coluche Oscar Wilde Friedrich Nietzsche Jean Paul Sartre Léonard de Vinci Voltaire Mandela Mère Teresa Pierre Desproges Socrate Jean Jaurès Napoléon Bonaparte Martin Luther King Platon Jean Jacques Rousseau Saint-Exupéry Jean d'Ormesson Bouddha Alphonse de Lamartine Pierre Dac Jules Renard Philippe Geluck Marc Aurèle Gainsbourg Mahomet Sénèque Winston Churchill Abbé Pierre Coco Chanel Abd el-Kader Paul Valéry Paulo Coelho Aristote Sigmund Freud Charles de Gaulle William Shakespeare Albert Camus Bob Marley Charlie Chaplin Jean Gastaldi Georges Clemenceau Edgar Allan Poe Khalil Gibran Averroès Molière Marcel Proust Honoré de Balzac Charles Baudelaire Guy de Maupassant Jean de la Fontaine Emile Zola Pierre Corneille Alfred de Musset Jean Racine Paul Verlaine Arthur Rimbaud Gustave Flaubert Albert Camus George Sand Stendhal Jules Verne Alexandre Dumas René Descartes Jacques Prévert Denis Diderot Alphone Daudet Guillaume Apollinaire Charles Perrault Franz Kafka Madame de La Fayette Jacques-Bénigne Bossuet Théophile Gautier Johann Wolfgang von Goethe Michel de Montaigne Fiodor Dostoïevski Anatole France Nicolas Boileau Edgar Allan Poe Francoise Sagan Louis Aragon Prosper Mérimée Arthur Conan Doyle Francois Rabelais Agatha Christie Boris Vian Marquis de Sade Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux Blaise Pascal Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Samuel Beckett Quelques thèmes de citations et de proverbes Age Animal Amitié Amour Art Avenir Beauté Avoir Bonheur Conscience Couple Confiance Courage Culture Désir Dieu Education Enfant Espoir Etre Faire Famille Femme Guerre Homme Humour Jeunesse Joie Justice Liberté Mariage Mére Monde Morale Naissance Nature Paix Passion Père Peur Plaisir Politique Raison Religion Rêve Richesse Sagesse Savoir Science Séduction Société Souffrance Sport Temps Tolérance Travail Vérité Vie Vieillesse Voyage Fabienne Larouche croise les doigts pour pouvoir terminer le tournage de la présente saison de District 31, auquel il ne reste plus que neuf jours. CHRONIQUE / Nos émissions de variétés se tournent sans public, mais qu’en est-il de nos fictions au temps du coronavirus? L’escouade de Daniel Chiasson finira-t-elle la saison dans District 31? Alors que les Américains ont mis un terme au tournage d’un nombre incalculable de séries, les producteurs d’ici sont aux aguets pas question de mettre en péril la santé de leurs équipes. Le silence radio du PN, c’est bien souvent quitte ou double en fonction de la personne qui est à l’origine de la cet article, je vais t’expliquer à quoi ça équivaut pour le pn de passer en silence radio et si oui ou non il finira par refaire surface dans ta silence chez le PN, un stratagème comme un autre ?Le silence du pn après rupture n’est pas toujours le signe que tout est existe évidemment un cas où le silence radio sera définitif le cas où c’est le pervers narcissique qui a décidé de ce cas-là, sa décision est prise et rien ne le ou ne la refera revenir car oui, la perversion narcissique touche aussi bien les hommes que les femmes.Si c’est toi qui es à l’origine de la rupture, le silence radio mis en place par le pn est une technique utilisée pour te faire douter et créer le pervers narcissique reviendra quasi-systématiquement après une rupture dont il n'est pas à l'origine en utilisant d'abord le silence oui, le pervers narcissique sait pertinemment que le silence radio est la meilleure méthode pour faire monter en toi toutes les émotions qu’il souhaite le manque, le doute, l’envie, la curiosité, la colère, pour cette raison qu’un pn en général ne te harcèlera pas après une rupture il a compris que le harcèlement est la meilleure façon pour que tu t’éloignes de se débarrasser d’un manipulateur narcissique pour de bon ?La meilleure manière pour te débarrasser d’un pervers narcissique, c’est l’ un manipulateur narcissique est la seule action efficace après une le pn, la seule chose qu’il souhaite est une réaction de ta part peu importe que cette réaction est bonne ou mauvaise tant qu’il y a une réagissant à ses avances, ce sera un signal clair pour lui ou pour elle que son emprise est toujours aux avances et aux provocations du pervers narcissique est un signal clair qu'il ou qu'elle a encore de l'emprise sur pour cette raison que l’effet du silence sur le manipulateur est dévastateur plus tu resteras silencieuxse et indifférente par rapport à ses actes, et plus il fera tout pour te faire réagir, jusqu’à finir par le pn refait surface, prépare-toi donc à une multitude de techniques d’approches allant de la supplication à l’ te préparer face à ça, je te recommande de poursuivre cette lecture en te rendant sur mon guide sur le pervers narcissique, ce qui te permettra d’en savoir beaucoup plus sur ce type de personne, leurs intentions, l’origine de leurs manipulations et comment faire pour stopper leur faire maintenant ?En plus du guide sur le pervers narcissique, je te propose aussi d’aller plus loin en parcourant mon guide pour oublier son ex si tu souffres toujours de la rupture que tu as pas, le silence radio du pn n’est rien d’autre qu’un moyen comme un autre de se rapprocher de toi à partir du moment où c’est toi qui es à l’origine de la rupture. La punition par le silence est une méthode de punition psychologique. Elle consiste à ignorer et à exclure quelqu’un pendant un certain temps. C’est une forme de manipulation passive-agressive qui exploite le mépris, toujours dans un but de contrôle. Nous avons tous utilisé ce genre de traitement au moins une fois dans notre vie, même inconsciemment. Tous les types de relations, familiales, romantiques, professionnelles et même avec des personnes que nous ne connaissons pas peuvent souffrir de la punition par le silence. Cependant, ce n’est pas quelque chose que nous devrions pratiquer, car c’est une forme de traitement immature, souvent cruelle et émotionnellement préjudiciable. Contrairement à ce que beaucoup peuvent penser, le fait d’ignorer quelqu’un ne fait pas partie de l’amour, bien au contraire, il peut être considéré comme un type d’abus. Il y a des abus qui nous blessent au-delà du corps physique, qui endommagent l’esprit, et le mépris en fait partie. Certaines personnes prennent très au sérieux la punition par le silence. Il est vrai que parfois les gens nous font du mal et méritent une certaine forme de leçon, mais le silence peut être trop cruel. Il y a aussi ceux qui utilisent ce comportement, sans raison apparente, et nous ne sommes pas obligés de tolérer ce type de toxicité autour de nous. Et parfois ces traitements restent gravés en nous, ce n’est pas quelque chose que nous pouvons facilement surmonter ou oublier. Voici quelques raisons pour lesquelles les gens adoptent la punition par le silence 1. Ils nous reprochent un problème qui est en fait le leur Depositphotos Certaines personnes ont tendance à nous blâmer pour des choses qui sont de leur propre responsabilité, pour se sentir mieux dans leur peau et nous ignorent jusqu’à ce que le problème disparaisse ou soit résolu. Ils utilisent cette pratique pour éviter de faire face à toute situation inconfortable dans laquelle ils sont impliqués ou dont ils sont responsables. Quoi qu’il en soit, c’est une attitude contradictoire, car en évitant de gérer une mauvaise situation, ils finissent par créer une autre mauvaise situation à résoudre, augmentant le drame et créant des tensions là où il ne devrait pas y en avoir. 2. Ils veulent juste nous faire du mal Parfois, des personnes essaient simplement de nous blesser, sans raison apparente, parce qu’elles ne se soucient pas de nos sentiments et ne nous respectent pas. En exerçant la punition du silence, ils sentent qu’ils ont le contrôle sur nous. 3. Ils pensent que c’est la bonne chose à faire Certains nous ignorent en pensant que cela nous fera du bien et nous apprendra une leçon importante, sans réaliser à quel point ils nous blessent. Peut-être ont-ils besoin d’espace ou essaient-ils d’éviter une confrontation, sans se rendre compte qu’ils vont dans le mauvais sens. Bien sûr, toutes les personnes qui choisissent la punition par le silence ne sont pas toxiques et mauvaises. Chacun mène une vie unique et gère ses problèmes de manière personnelle. Il n’est pas facile de trouver la meilleure façon de faire face à chaque situation particulière dans notre vie. Cependant, quelle qu’en soit la raison, ignorer quelqu’un peut avoir de graves conséquences. Voici 5 conséquences négatives de la punition par le silence pour nos vies Depositphotos Traumatisme émotionnel, stress, conséquences comme la dépression, la colère et la frustration, et sentiments de trahison, d’agitation, d’isolement et de stress psychologique, en raison de l’objectif principal de la manipulation, crée une montagne russe émotionnelle, qui détruit notre sentiment d’estime de soi et de confiance en nous. Cela augmente également les niveaux de stress, ce qui peut conduire à des sentiments plus négatifs comme le chagrin et l’abandon, sur lesquels la victime n’a aucun contrôle. Les effets psychologiques s’aggravent avec le secondaires physiques. Lorsqu’une personne est traitée par le silence, le cortex cingulaire antérieur du cerveau est activé. Cela signifie que lorsque nous sommes ignorés, le cerveau dit que nous souffrons physiquement. Certains symptômes peuvent être des maux de tête, des douleurs à l’estomac, de l’insomnie, de l’anxiété et de la fatigue. Changements de comportement. Être ignoré peut vous amener à vous comporter de manière inhabituelle, par exemple en vous remettant en question vous et vos compétences dans des situations dans lesquelles vous aviez peut détruire des relations. La communication entre les deux personnes, celui qui punit par le silence et sa victime», peut être altérée ou totalement coupée, ce qui provoque de l’éloignement. Chaque partenaire peut penser que le problème vient de l’autre, donc personne ne prend des mesures pour sauver la relation. Comment faire face lorsque nous sommes victimes de ce genre de traitement? Depositphotos La première étape consiste à aborder la situation avec sagesse et calme. Oubliez la colère ou l’ego et cherchez à entrer en contact avec l’autre personne pour avoir une conversation entre adultes responsables. Il ne sert à rien de garder le silence dans ces situations. Si vous êtes la victime», essayez de découvrir ce qui ne va pas, ne rendez pas le traitement que vous recevez. Si l’un ou les deux ont besoin d’espace ou de temps pour soi, discutez-en ensemble. Essayez de résoudre le problème du manque de communication et essayez d’avoir une compréhension mutuelle et de la patience. Dans tous les cas, vous devez résoudre la situation. Ignorer un problème n’est jamais la solution et les gens ne cessent pas d’exister simplement parce que nous avons décidé de les ignorer. Agissez avec sagesse et maturité pour résoudre vos problèmes. Saviez-vous que l’imagerie médicale n’est pas un acte anodin et qu’il convient d’en user avec justesse ? En effet, lorsque l’on fait une radiologie ou un scanner, on est exposé à des rayons X, et leur accumulation, si on est amené à en faire régulièrement, peut engendrer à terme un risque de cancer. Il n’en est pas de même pour l’échographie ou l’IRM qui utilisent des techniques tout à fait différentes. Pour mieux comprendre la dose de rayons X que l’on reçoit en fonction de l’examen passé, l’IRSN Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire et l’AVIAM association d’Aide aux victimes d’accidents médicaux ont été à l’origine de l’édition d’une brochure à destination du grand public et distribuée gratuitement dans les services de radiologie. Le but n’est évidemment pas de diaboliser l’imagerie médicale mais de bien informer les patients sur le fait que les médecins et les radiologues ne proposeront pas cet examen s’il n’est pas justifié et que multiplier les contrôles sans raison valable a de grandes chances d’être contre-productif. Le cas du dépistage du cancer du sein illustre parfaitement la question qui doit prendre évidemment en compte la balance bénéfice-risque. Faisons le point sur le sujet avec le Professeur Bourguignon, conseiller auprès de la direction générale de l’IRSN. 66 Millions d’IMpatients Pourquoi avoir édité cette brochure Radiographie & scanner, posons-nous les bonnes questions » ? Professeur Bourguignon Les expositions médicales aux radiations deviennent les plus importantes de toutes les expositions et dépassent parfois celles du rayonnement d’origine naturelle. Rappelons en effet que sur Terre nous sommes naturellement et constamment exposés à de la radioactivité. Le granit par exemple contient des traces d’uranium, et dans certaines régions, les populations peuvent être particulièrement exposées au radon, un gaz radioactif. Dans la brochure, nous proposons donc un tableau qui compare le niveau de rayonnement de plusieurs types d’examens avec leur équivalent en nombre de jours de rayonnement naturel. Ainsi, on voit que la radio d’un membre correspond à 1,5 jour de rayonnement naturel alors qu’un scanner abdominopelvien est égal à 1500 jours de rayonnement naturel. Il était important que les patients puissent avoir accès à ces informations de façon précise. C’est un sujet subtil. Dans la très grande majorité des cas, il n’y a pas de débat, si vous avez besoin d’un scanner, on vous fera un scanner. Il est tout à fait évident que si vous avez fait une chute avec une perte de connaissance, on va faire des radios. Mais il y a des radios qui ne sont pas utiles. Il est important d’éduquer le public à ne pas systématiquement exiger d’examen radiologique, car certaines personnes pensent que si un médecin ne propose pas de faire une radio, c’est un mauvais médecin. Il est ici question de la relation de confiance à instaurer entre le corps médical et les patients et c’est la raison pour laquelle sont intervenus dans l’élaboration de cette brochure, des associations de patients, des associations et sociétés savantes ainsi que des professionnels de santé. Il y a l’éducation du grand public, mais il y a également eu un long travail d’évangélisation auprès des médecins, n’est-ce pas ? Oui, cela fait des années que l’on s’y attèle et désormais médecins et radiologues travaillent de façon cohérente. Il faut savoir qu’en France, le médecin n’est pas prescripteur d’un examen de radiologie. En effet, le Conseil d’Etat voulant éviter qu’il y ait deux médecins responsables a tranché et décidé que seul le médecin radiologue était responsable. Le premier médecin est donc simplement demandeur et le radiologue a la possibilité de refuser cette demande s’il la trouve injustifiée. La justification est un autre critère important. Il est d’ailleurs écrit dans le code de la santé publique que tout examen doit être justifié. Sur ce sujet de la justification des actes, il existe le Guide du bon usage des examens d’imagerie médicale. Chaque médecin demandeur peut ainsi voir en quelques clics, même sur son smartphone, les préconisations des professionnels de l’imagerie médicale pour tel ou tel cas. Les médecins peuvent le consulter de la même façon qu’ils peuvent être amenés à vérifier sur internet une éventuelle interaction médicamenteuse au moment de prescrire un médicament. Dans ce contexte, le médecin demandeur doit écrire dans sa demande d’examen à la recherche de … » par exemple tuberculose, problème cardiaque ou fracture costale plutôt que d’indiquer radiologie pulmonaire ». Ainsi c’est le radiologue qui adaptera l’examen et les doses de rayons X le cas échéant, en fonction de la recherche à effectuer et également bien sûr de la corpulence du patient. En effet, il faudra plus de rayonnement pour traverser par exemple le thorax d’une personne corpulente. Le radiologue saura préciser les meilleures paramètres techniques nécessaires à l’examen, pour avoir la meilleure image possible en exposant le patient à la dose minimale de rayons X. Pour l’y aider, il existe, en parallèle du Guide du bon usage, un Guide des procédures qui indique pour chaque type de recherche, les meilleurs paramètres techniques à utiliser. Sur son compte-rendu, le radiologue doit faire figurer les paramètres techniques de l’examen pratiqué qui permettent de remonter à la dose utilisée. Normalement c’est automatique puisque l’imagerie médicale est désormais entièrement numérique. En outre, pour permettre de toujours optimiser les doses selon le type d’examen, il existe un processus dynamique de collecte au niveau national, géré par l’IRSN, des paramètres de tous les services de radiologie. Chacun envoie une fois par an, pour un type d’examen, les paramètres utilisés pour un cas standard soit une personne de 70kg, soit un mannequin en plexiglas qui reproduit la densité du corps humain. C’est ce que l’on appelle les niveaux de référence diagnostiques. On a fait des progrès sur les doses grâce à ce travail mais il y a évidemment des doses en dessous desquelles on ne pourra pas descendre, car il faut absolument que les images obtenues soient de bonne qualité pour ne pas risquer d’erreurs de diagnostics. Enfin, bien évidemment, on tente également de perfectionner les machines pour qu’elles utilisent le moins de rayons X possible mais cela prend beaucoup de temps et, dans la mesure où les machines sont très coûteuses, les services de radiologie ne peuvent pas se permettre d’en changer si souvent. Est-ce toujours évident de savoir si une radio ou un scanner sont justifiés ? Il y a une notion, reprise dans le Guide du bon usage, qui précise qu’un examen est utile s’il change la prise en charge du patient, que le résultat soit positif ou négatif. Voici un exemple tout simple imaginons qu’un enfant se casse le bras. On lui fait une radio, on réduit la fracture et on met un plâtre. Combien de radio sont utiles avant le retrait du plâtre ? Aucune ! On sait qu’il faut 6 semaines pour que l’os consolide, et il est inutile de documenter par des radios la consolidation progressive de la fracture. Si lorsque l’on retire le plâtre, l’enfant n’a pas mal, on ne fait pas de radio non plus. En revanche, si un élément de justification intervient en cours de guérison, comme par exemple une autre chute et que l’enfant se fait mal à nouveau, alors on peut décider de refaire une radio. Suivre l’évolution d’une consolidation osseuse n’est pas utile normalement. En revanche, il y a des pathologies pour lesquelles on a besoin de suivi, comme par exemple une scoliose chez un enfant. On doit envisager, au fur et à mesure de sa croissance, de voir comment la colonne vertébrale évolue. Mais encore faudra-t-il justifier de l’intérêt de pratiquer un examen tous les 6 mois ou seulement tous les ans ? C’est une question délicate. Pour réduire les doses, notamment pour le type d’examen qui concerne la scoliose, il faut savoir qu’il existe des machines qui utilisent moins de rayonnement mais elles ne sont pas utilisables pour la radiologie en général. Faut-il être plus vigilants pour les femmes enceintes ? Là encore, le rapport entre le bénéfice pour le patient et le risque éventuel d’effets secondaires doit toujours être pris en compte. C’est une question délicate. Il peut arriver dans le cas d’un traumatisme grave, où une femme enceinte a subi de multiples scanners, qu’il faille parfois prendre des décisions difficiles par rapport aux conséquences sur le fœtus. Les radiologues sont formés à cela. Ce qui est certain, c’est qu’en cas de doute et si on peut l’anticiper, il vaut mieux faire un test de grossesse avant d’envisager de faire une radio ou un scanner. Connaît-on les risques précis des expositions aux rayonnements en imagerie médicale ? On ne sait pas déterminer le risque exact pour un examen donné. Le risque vient davantage de la répétition des expositions. Ce dont nous sommes sûrs, c’est que le risque n’est pas exclu puisque les rayonnements sont capables de léser l’ADN et peuvent en conséquence potentiellement contribuer au développement d’une pathologie comme un cancer. Le lien de cause à effet entre un type d’examen précis et le risque de développer un cancer est d’autant plus compliqué à déterminer qu’il y a tellement d’autres facteurs qui peuvent entrer en jeu dans le développement d’un cancer, comme la pollution, la cigarette, l’hérédité, etc…. En tout cas, on ne peut pas accuser telle ou telle radio précisément. En outre, il y a autre chose qu’on ne parvient pas encore à mesurer, c’est s’il est plus dangereux d’être exposé à une dose aigue ou à plusieurs doses faibles. Les enfants et les fœtus sont-ils plus sensibles aux rayonnements que les adultes ? Il y a beaucoup de débats concernant la sensibilité des enfants. Des études avancent que les cellules jeunes sont plus sensibles que les cellules adultes. C’est difficile à confirmer. Et si une cellule d’enfant est plus radio-sensible qu’une cellule d’adulte, à quel moment change-t-elle de statut ? Personne n’est vraiment capable de répondre. Il y a un autre argument, qui est de dire que plus on irradie un enfant tôt et plus il sera exposé aux radiations tout au long de sa vie. Il accumulera potentiellement davantage d’expositions ; or c’est la répétition des expositions qui semble le plus dangereux face au risque de cancer. Un autre facteur intéressant sur lequel je travaille actuellement, c’est que nous ne sommes pas égaux face aux rayons et ce serait lié au fait que nous ne sommes pas égaux devant la mécanique de l’ADN, c’est-à-dire devant la signalisation et la réparation des lésions de l’ADN. Nous en sommes au stade de la recherche sur ce sujet mais cela concernerait environ 20% de la population. N’est-ce pas contradictoire de faire des dépistages du cancer du sein par le biais de mammographies trop régulières ? Le cancer du sein est le plus fréquent chez la femme doucement mais sûrement rattrapé par le cancer du poumon à cause de la cigarette. C’est un cancer sérieux et important. La majorité des cas apparaît après 50 ans et la recommandation pour le dépistage est un cliché mammographique tous les deux ans. Ce protocole paraît raisonnable et efficace, d’autant plus qu’en général, plus un cancer est dépisté tôt, plus il est facile à soigner. Tant que ce protocole est mis en place à partir de 50 ans, je pense que c’est justifié. Mais se pose le problème du dépistage avant 50 ans. Certaines femmes ont peur, et certains médecins et gynécologues proposent de faire des mammographies dès l’âge de 30 ans. Le problème de faire annuellement une mammographie à partir de 30 ans, c’est que l’exposition aux rayonnement est alors nettement augmentée. Les doses cumulées durant toutes ces années sur le sein ne sont alors pas négligeables. Et l’argument du risque génétique de cancer du sein pose un dilemme. En effet, est-ce pertinent d’exposer précocement et de façon répétée des femmes qui ont a priori une fragilité au niveau de la réparation de l’ADN ? Ne vaut-il pas mieux plutôt faire des examens cliniques annuels, apprendre à faire l’autopalpation, envisager l’échographie ou l’IRM plutôt que la mammographie ? L’IRM et l’échographie, qui n’utilisent pas de rayons X, peuvent-ils être envisagés pour le dépistage du cancer du sein ? Sur le cancer du sein, il y a un signe très fort, qu’on ne voit qu’en radiologie, qui sont des micro-calcifications, c’est-à-dire des petits dépôts de calcium. Quand on repère un nodule contenant des micro-calcifications, cela fait suspecter un cancer. C’est tellement petit que l’on ne peut le voir que grâce à la mammographie. Beaucoup de gens travaillent pourtant sur l’échographie et l’IRM pour remplacer la mammographie et cela commence à être appliqué. On peut imaginer à terme le développement de petits IRM qui seraient spécifiquement dédiés au sein. Cela changerait beaucoup de choses. Pour les plus curieux, peut-on rappeler comment fonctionnent les différentes méthodes d’imagerie médicale ? Chaque méthode est basée sur un principe physique différent et apporte une information différente. Le choix d’une méthode d’imagerie dépend donc de ce que l’on recherche Pour l’échographie, il n’y a pas de risques liés aux rayonnements puisqu’on utilise les ultra-sons. Ce sont des sons de fréquence plus aigüe que ce que l’oreille humaine peut entendre. Le signal récupéré en écho » d’où le nom échographie » grâce aux ultra-sons va indiquer à quelle profondeur s’est produite la réflexion. La machine va construire ligne par ligne, en 2 ou 3 dimensions, l’ensemble des signaux qui reviennent. L’information récupérée est une interface acoustique. Cela ne permet pas de caractériser le tissu et de connaître sa densité même si certains chercheurs travaillent dessus, or en général un tissu cancéreux est plus dense. En outre, on ne peut pas faire d’échographie du cerveau chez l’adulte car la boîte crânienne empêche les ultra-sons de passer. Dans le cas de l’IRM imagerie par résonnance magnétique, il n’y a pas de radioactivité non plus puisqu’on va jouer sur le magnétisme intrinsèque des molécules. Nous avons beaucoup d’eau dans le corps qui contient elle-même beaucoup d’hydrogène. Or le noyau d’hydrogène contient un proton qui agit comme un petit aimant. L’appareil d’IRM est un aimant énorme dans lequel est placé le patient qui va permettre de jouer avec les petits aimants de l’hydrogène pour faire ressortir une image. Pour résumer, l’IRM va donc permettre de rendre compte de la densité d’hydrogène dans le corps humain. Pour l’illustrer avec un exemple précis, dans le cerveau il y a la substance grise qui contient plus d’eau, et la substance blanche qui contient plus de graisse. C’est un résultat que l’on voit très bien à l’IRM mais pas au scanner. L’IRM est beaucoup plus subtile et grâce à elle on va pouvoir interpréter des différences de composition chimique et pas seulement de densité. En radiologie, on fait donc appel aux rayons X qui vont traverser le corps. On récolte alors une image en négatif de ce qui a été traversé. Si l’on prend l’exemple d’une radiographie des poumons, le rayonnement va traverser sans problème le poumon car c’est surtout de l’air et l’image qui va en découler est donc noire alors que les côtes, qui auront absorbé le rayonnement, vont apparaître en blanc. La radiologie va alors donner une image des différences de densité des tissus. Le scanner est une variante de la radiologie. La machine va tourner tout autour du corps et va reconstituer une coupe transverse. Dans la médecine nucléaire, on injecte au patient une molécule radioactive qui va cheminer dans le corps et va aller dans un endroit très précis en fonction de la qualité du médicament injecté, pour envoyer son signal. On n’aura donc pas une belle image anatomique mais on va avoir des images fonctionnelles des organes. On peut faire une cartographie du glucose par exemple, ou de la dopamine dans le cerveau. En revanche pour déterminer avec précision l’endroit où se trouve l’information récoltée, il faudra superposer ce résultat avec l’image d’un scanner.

combien de temps pour un silence radio