Combiende temps peut-on être sous dialyse continue ? L’espérance de vie moyenne sous dialyse est de 5 à 10 ans, cependant, de nombreux patients ont bien vécu sous dialyse pendant 20 ou même 30 ans. Discutez avec votre équipe soignante de la façon de prendre soin de vous et de rester en bonne santé pendant la dialyse.
Jedirais que sur un format "normal" word A4, 48 pages ça doit correspondre en gros à 100 000 signes Il n'y a que vous qui pouvez le voir. A titre indicatif les livres poche que j'ai écrits ont 250 pages et entre 250 000 et 350 000 signes. Maintenant, moi je fais du technique. Pour des romans, on n'impose pas, bien sûr, un nombre de
Metsdu Times New Roman, ou du Courrier, mais surtout, surtout pas de Comic sans MS. Dans OpenOffice, quelque part dans Outils - Statistique, tu devrais pouvoir trouver le nombre de mots que fait ton document. A titre indicatif, un roman "taille normal", donc tes 300 pages, c'est plus ou moins 70-80000 mots.
Combiende temps pour écrire un article de blog ? infographie à découvrir sur Le Blog du Communicant 2.0. Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of Le Blog de Camille Jourdain on Facebook. Log In . or. Create new account. See more of Le Blog de
Sivous mettez à niveau Windows 10 vers une version plus récente, vous pouvez choisir d'utiliser l'outil de création de supports pour effectuer une mise à niveau sur place.Cela peut prendre plus de temps qu'une installation propre puisque Windows devra sauvegarder les données actuelles, déplacer les fichiers, etc. Cela ne prendra pas plus de 3 heures, à moins
Cetarticle décrit la syntaxe de formule et l’utilisation de la fonction TEMPS dans Microsoft Excel.. Description. Renvoie le nombre décimal d’une heure précise. Si le format de cellule était Standard avant que la fonction ne soit entrée, le résultat est mis en forme en tant que date.. Le nombre décimal renvoyé par la fonction TEMPS est une valeur comprise entre 0 (zéro) et 0
ICVFGVo. Le nombre de mots par minute une mesure pour la vitesse de lecture Il peut être intéressant de mesurer le nombre de mots par minute d’un contenu pour pouvoir l’optimiser au maximum. En effet, cette méthode permet par exemple de connaitre le temps moyen que mettra un internaute pour lire un texte sur son écran d’ordinateur ou sur papier s’il l’imprime. Pour se faire, on utilise une unité de mesure, le mot par minute ou mpm. Grâce à cette dernière, il est alors possible de savoir à quelle vitesse, en moyenne, un texte sera lu ou écrit, en prenant en compte qu’un mot correspond à 5 caractères. On distingue 4 types de mesure qui peuvent être réalisés la vitesse de lecture, la vitesse d’écriture au clavier et manuscrite et la vitesse d’élocution. De quelle façon est mesurée la vitesse de lecture ? La vitesse de lecture est la vitesse à laquelle un texte est lu de façon silencieuse, c’est à dire lorsque le lecteur lit dans sa tête. On parle aussi de lecture mentale. Pour un lecteur moyen, elle est d’environ 250 mots par minute c’est la vitesse de lecture moyenne. C’est notamment grâce à cette donnée que l’outil proposé par Combien de mots va pouvoir estimer le temps de lecture moyen du texte que vous voudrez analyser. Les recherches et tests qui ont été faits montrent que la vitesse est fonction de l’activité et de l’âge du lecteur. Par exemple, un élève en école primaire possède un mpm de 200 tandis que celui d’un étudiant en école supérieure se situe aux alentours de 350 mots par minute. Cependant, il faut aussi savoir que la vitesse de lecture a une influence importante sur la compréhension du texte en question. Et, toutes les personnes ne lisent pas à la même vitesse et de la même façon. Certaines d’entre elles préfèrent lire lentement pour privilégier la compréhension du texte tandis que d’autres pratiquent la lecture rapide en reléguant au second plan la compréhension. Une minorité de lecteurs possède néanmoins la capacité à lire extrêmement vite tout en gardant un taux de compréhension élevé. Seulement cela nécessite une pratique régulière. Pour augmenter la vitesse tout en gardant un taux de compréhension équivalent, il est donc nécessaire de s’entrainer. Le support est également une variable importante. En effet, la vitesse ne sera pas la même si un texte est lu sur un écran d’ordinateur ou sur papier. Comment est mesurée la vitesse d’élocution ? La vitesse d’élocution est généralement opposée à la vitesse de lecture. En effet, cette fois il s’agit d’une lecture orale ou à voix haute. La différence est ici que la lecture n’est pas faite pour soi, mais pour un ou plusieurs interlocuteurs. Il n’est donc plus question de compréhension, mais plutôt de communication. C’est pourquoi la vitesse d’élocution moyenne est inférieure à la vitesse de lecture moyenne elle se situe aux environs de 150 mpm. Cela s’explique par le fait qu’il ne faut pas aller trop vite pour que celui qui écoute comprenne ce qui est dit. Cette vitesse ne doit par contre pas être trop basse pour que l’interlocuteur reste concentré. Grâce à Combien de mots, vous pouvez rapidement faire le calcul de la durée d’élocution moyenne d’un texte de votre choix. Ce temps est calculé en divisant le nombre de mots de ce dernier par la vitesse d’élocution moyenne, le tout multiplié par soixante pour donner un résultat en seconde. La vitesse d’écriture manuscrite les mots par minute écrits à la main La rapidité à laquelle est écrit un texte à la main est plus communément nommée vitesse d’écriture manuscrite. En moyenne, elle est de 25 mpm. Elle peut augmenter lorsqu’il s’agit d’un texte ayant été mémorisé au préalable. Il est possible d’élever la vitesse d’écriture, mais la lisibilité en sera d’autant plus affectée. Écrire trop vite peut amener à un texte illisible. Il existe des méthodes de sténographie qui permettent de considérablement augmenter cette vitesse, mais celles-ci sont principalement utilisées pour de la prise de notes. Pour connaitre la durée moyenne que prend un texte pour être recopié, il suffit de compter le nombre de mots qui le composent et de le diviser par la vitesse d’écriture moyenne. Cette donnée sera accessible facilement en utilisant notre compteur de mot. Comment peut-on mesurer la vitesse de frappe ? La dactylographie est une technique d’écriture qui consiste à saisir un texte à l’aide d’un clavier d’ordinateur. Il existe plusieurs façons d’écrire au clavier. Il est par exemple possible de taper avec les dix doigts, mais cela reste difficile à exécuter pour certaines personnes. C’est pourquoi beaucoup n’utilisent que deux doigts pour écrire un texte. Évidemment, la vitesse de frappe varie en fonction de la technique utilisée. Suite à plusieurs études, une vitesse de frappe moyenne a pu être calculée. Cette dernière est égale à l’entrée de 40 mots toutes les minutes. Cette donnée est utilisée pour le calcul du temps de frappe au clavier qui est donné par l’outil de Certains dactylographes peuvent largement surpasser la vitesse de frappe moyenne de 40 mots par minute. Les meilleurs atteignent des vitesses de 100 mpm. Ces chiffres ne sont possibles qu’en s’exerçant très régulièrement. À notre époque où l’information est disponible facilement et rapidement grâce à l’Internet, il est essentiel de savoir faire passer un maximum d’idées en un minimum de temps possible. Les mesures du nombre de mots par minute pour un texte donné permettent de se faire une idée de sa capacité à minimiser les durées de lecture et d’écriture par rapport au nombre d’informations qu’il renseigne. Des techniques de rédaction existent d’ailleurs pour permettre d’optimiser au mieux du contenu.
Télécharger l'article Télécharger l'article Vous souvenez-vous ce que c'était que de se pelotonner dans votre lit avec votre livre préféré étant enfant, complètement absorbé dans l'histoire et son univers ? Nous écrivons des histoires pour les enfants pour leur enseigner des leçons que nous avons apprises, leur fournir des sources de plaisir et d'inspiration et peut-être aussi pour réveiller tous ces sentiments en nous. Cet article décrit les étapes nécessaires à l'écriture d'un livre pour enfants, de générer des idées à soumettre et vendre » votre manuscrit final aux éditeurs. 1 Lisez tout d'abord des livres pour enfants en grand nombre. Lorsque vous commencez à réfléchir à des idées pour le vôtre, il est en effet très utile de lire le travail des autres. Visitez les rayons pour enfants des bibliothèques et librairies et parcourez un maximum d'œuvres. Demandez-vous quels livres vous plaisent le plus et pourquoi. Voulez-vous que votre livre comporte des illustrations ou ne comportera-t-il que du texte ? Voulez-vous écrire de la fiction ou non-fiction ? Les livres non fictionnels ou informatifs nécessitent des recherches et des connaissances sur le sujet et peuvent être particulièrement indiqués si vous êtes un expert dans un domaine particulier comme les dinosaures, les météores ou les machines. Pour une bonne source d'inspiration en matière de fiction, lisez les classiques. Ne vous limitez pas aux œuvres récentes lisez des histoires ayant résisté à l'épreuve du temps et essayez de trouver ce qui à leur sujet est tellement éternel. Par exemple, consultez des livres tels que l'Ile au trésor, les Contes d'Andersen, les Voyages de Gulliver et d'autres grands classiques. Jetez un œil aux contes de fées. L'industrie du divertissement s'intéresse actuellement fortement aux contes de fées et les adapte au monde moderne. Comme la plupart des contes de fées sont dans le domaine public, vous êtes libre de piquer des personnages et des intrigues et de les transposer dans des endroits entièrement nouveaux avec des attitudes totalement nouvelles ! 2 Demandez-vous quel groupe d'âge vous intéresse en tant qu'écrivain. Le terme livre pour enfants » recouvre tout, des livres tout simples avec un seul mot par page destinés aux jeunes enfants aux livres plus élaborés, romans et livres de non-fiction écrits pour les préadolescents et adolescents jeunes adultes. L'intrigue, le contenu et les thèmes de votre livre doivent être appropriés à l'âge de vos lecteurs auquel ce dernier est destiné afin qu'il les intéresse souvenez-vous que les parents ont toujours le dernier mot et déterminent si oui ou non un enfant peut lire votre livre. Les livres d'images sont adaptés pour les jeunes enfants. Ils ont tendance à être en couleur, ce qui les rend plus couteux à imprimer, gardez donc cela à l'esprit. D'un autre côté, ils ont tendance à être plus courts, mais votre écriture doit alors être très bonne pour capter l'intérêt et garder l'histoire intense et concentrée. Les livres suffisamment longs pour contenir des chapitres et les livres non fictionnels/informationnels sont destinés aux enfants plus âgés. Partant des livres faciles à lire jusqu'aux romans pour adolescents, il y a ici un large éventail, mais il peut y avoir beaucoup d'écriture et de recherche selon le type de livre choisi. Ne négligez pas la possibilité d'un recueil de poèmes ou d'histoires courtes. Les enfants aiment les deux, alors choisissez ce qu’il vous semble le plus facile d'écrire. 3 Déterminez si votre livre contiendra principalement des mots, des illustrations ou un peu des deux. Si votre livre est destiné aux jeunes lecteurs, vous aurez envie d'inclure un grand nombre d'illustrations complétant votre écriture. Si vous êtes un artiste, vous pouvez dessiner vous-même. Nombre d'auteurs de livres pour enfants le font. Si vous n'êtes pas très doué en la matière, vous pouvez faire appel à un professionnel pour créer les illustrations de votre livre. Pour les enfants plus âgés, quelques schémas, dessins et images peuvent suffire. Dans certains cas, aucune image du tout pourrait également fonctionner. Avant de chercher un illustrateur, esquissez vos idées pour les images qui iront sur chaque page. Cela vous aidera pour la prochaine étape de l'édition et vous serez en mesure de fournir des esquisses à l'illustrateur potentiel afin de lui donner une idée de ce que vous voulez. Les illustrateurs ont des styles très différents, il est donc important de mener des recherches approfondies avant de faire un choix. Faites une recherche en ligne et consultez les portfolios. Si vous ne disposez pas du budget pour embaucher un professionnel, vous pouvez demander à un ami ou un membre de votre famille doté d'un talent artistique de créer les illustrations de votre histoire. Pensez à la photographie comme une autre option pour ajouter des images à votre livre. Si vous aimez prendre des photos, vous pouvez utiliser des scènes de la vie réelle, des images fixes en utilisant des jouets en peluche et ainsi de suite. Vous pouvez également utiliser un programme de photo numérique pour ajouter des éléments que vous ne pouvez pas photographier facilement. 1 Décidez des principales composantes de votre histoire. Écrivez vos idées dans un carnet. Quelques principes de base à prendre en compte sont les suivants. Qu'elles soient destinées aux enfants ou aux adultes, les plus belles histoires partagent quelques éléments de base un personnage principal, des personnages secondaires, un cadre intéressant et une intrigue incluant un conflit central, un mélange d'ennuis en tous genres, un point culminant et un dénouement. Pour les ouvrages non fictionnels ou informatifs le livre doit informer le lecteur sur l'Histoire, des gens, des évènements, des choses réelles ou donner des instructions pour savoir comment faire quelque chose. Les livres d'images ils exigent évidemment beaucoup d'illustrations, généralement en couleur, ce qui peut rendre l'impression plus couteuse. Le texte est court, mais il doit être à la fois bon et original c'est tout un art de limiter les mots et d'élaborer malgré tout une excellente histoire. 2Envisagez d'inclure un message pour les œuvres de fiction. De nombreux livres pour enfants comprennent un message positif, allant de normes simples, comme partager avec les autres », à des leçons de vie sur des sujets plus complexes, comme faire face à la mort d'un être cher ou réfléchir à des problèmes majeurs tels que la préservation de l'environnement ou le respect des autres cultures. Il n'est pas nécessaire d'inclure un message direct, donc ne forcez pas la chose ou votre leçon pourrait justement apparaitre comme forcée, ce qui n'est jamais attrayant pour les enfants. 3 Soyez créatifve. Si vous écrivez de la fiction, c'est votre chance d'écrire quelque chose de stupide, étrange, ringard, rêveur, fantastique. Qu'est-ce qui vous inspirait étant enfant ? Explorez ces idées. Cela ne signifie cependant pas que vous devez vous lancer dans quelque chose de farfelu sans aucune raison valable. Puisez dans des sentiments sincères et des actions ayant du sens pour votre personnage. Les lecteurs peuvent détecter immédiatement une écriture non authentique c'est lorsqu'ils posent le livre après seulement quelques secondes de lecture. Et si vous écrivez une histoire non fictionnelle, c'est votre chance de partager vos connaissances et recherches avec les futures générations de cuisiniers, ingénieurs ou artistes ! Soyez créatif, mais aussi précis c'est un équilibre subtil entre garder les choses abordables et intéressantes et toujours veiller à ce que le contenu soit vérifié minutieusement et compréhensible ou faisable par les enfants. Essayez de parler de l'idée à un enfant, comme votre petit-frère, une cousine, un neveu ou le fils d'un bon amie. Les enfants répondent généralement sincèrement, ils peuvent donc vous aider à savoir si votre histoire est intéressante pour leur tranche d'âge. 1Rédigez votre premier jet. Ne vous inquiétez pas de savoir si c'est bon ou pas vous ne le montrerez à personne. Concentrez-vous sur le fait de définir les contours de votre histoire ou livre sur le papier et souciez-vous de perfectionner la chose plus tard. Plus d'un livre ne s'est pas matérialisé à cause d'un perfectionnisme trop précoce sortez donc le stylo rouge après avoir couché les mots sur le papier. 2 Soyez conscient de l'âge des lecteurs pour qui vous écrivez. Votre vocabulaire, la structure et la longueur de vos phrases doivent être adaptés à la tranche d'âge pour qui vous écrivez. Si vous n'êtes pas sûr, parlez avec différents enfants du groupe d'âge en question et partagez quelques-uns des mots que vous avez envie d'utiliser, afin de vous faire une idée du niveau de leur compréhension. Alors qu'il est bon de pousser un peu les enfants à apprendre, il faut cependant éviter qu'ils aient besoin d'avoir recours à un dictionnaire tous les deux mots ! Rédigez des phrases concises communiquant clairement les idées que vous voulez partager. Il s'agit d'un principe fondamental pour une bonne écriture, et ce pour tous les âges. Et c'est particulièrement important pour les enfants apprenant des choses de plus en plus complexes, à mesure qu'ils grandissent. Ne sous-estimez pas l'intelligence de vos lecteurs. Les enfants sont en effet terriblement intelligents et si vous faites l'erreur de les sous-estimer, voire de les dévaloriser, ils s'ennuieront rapidement avec votre livre. Même si les thèmes sont appropriés pour l'âge et que les phrases sont simplement écrites, vos concepts d'écriture doivent captiver vos lecteurs. Tenez-vous à jour. Ce n'est pas parce que quelque chose ne vous intéresse pas ou semble trop technique que vous pouvez l'éviter. Les enfants veulent lire ce qui est actuel en termes de langue et de concepts, donc si cela signifie connaitre de A à Z des choses telles que la programmation informatique ou le jargon SMS afin que votre histoire ou des informations apparaissent comme authentiques et crédibles, saisissez l'occasion d'apprendre avec enthousiasme ! 3 Fournissez un dénouement ou un résultat réaliste à la fin d'un livre de fiction. La fin n'a pas toujours à être heureuse ce peut être un mauvais service à rendre à un jeune lecteur, étant donné que les situations de la vie ne se terminent pas toujours bien. La fin doit être aussi forte que le reste de votre livre et ne doit pas apparaitre comme brusque ou décousue. Parfois, il est utile de faire une pause et de revenir à l'ouvrage plus tard, quand une conclusion appropriée aura émergé dans votre esprit dans l'intervalle. Pour d'autres, la conclusion est connue bien avant que le livre ne commence ! Pour les livres non fictionnels, cherchez toujours à fournir une conclusion, peu importe sa nature, pour finir le travail proprement. Vous pourriez par exemple poser la question de savoir quelle direction prendra le sujet à l'avenir ou proposer un résumé des points principaux à tirer du livre ou peut-être exprimer une réflexion fantaisiste sur ce que le lecteur pourrait vouloir faire, lire, et apprendre par la suite. Quelle que soit votre approche, gardez-la courte étant donné qu'un jeune lecteur n'est pas enclin à vouloir lire plus qu'une demi-page à la fin d'une œuvre non fictionnelle. 1 Révisez votre manuscrit. Cette étape doit être répétée encore et encore jusqu'à ce que votre manuscrit soit au point. Vous pourriez découvrir que des portions entières de votre histoire ne fonctionnent pas ou que vous avez besoin d'écrire un nouveau personnage. Si vous travaillez avec un illustrateur, vous verrez que l'ajout d'illustrations peut changer le ton de votre histoire. Passez par plusieurs phases de travail jusqu'à avoir un manuscrit que vous êtes prêt à montrer aux gens. Apprenez à lâcher prise. Il peut être difficile de s'apercevoir que des passages que vous avez passé des heures et des heures à perfectionner ne sont finalement pas bons ou ne fonctionnent pas vraiment avec l'histoire et de s'en débarrasser. Mais ça fait partie de la vie d'un écrivain. Savoir ce qu'il faut laisser de côté est un aspect essentiel de l'art de l'écriture. Pour gagner en objectivité, passez du temps loin de votre travail afin d'y revenir avec un esprit nouveau et les idées claires. 2 Vérifiez l'orthographe. Une fois l'histoire écrite, relisez attentivement votre texte et corrigez les fautes d'orthographe et de grammaire. Essayez également d'épurer en modifiant les mots trop communs, les phrases trop longues ou mal construites, les mots qui prêtent à confusion... Un logiciel de correction orthographique vous sera d'une aide précieuse, mais attention, il ne verra pas tout ! Relisez votre texte le lendemain, le jour d'après, le suivant... Vous le verrez chaque fois avec un nouveau regard. N'oubliez pas que les longues phrases et celles qui sont compliquées peuvent désorienter le lecteur. L'une des choses difficiles dans la rédaction de textes pour enfants est d'écrire une histoire complexe de manière très simple et claire. 3 Montrez votre manuscrit à d'autres. Commencez par donner votre manuscrit à votre famille et vos amis. Il n'est pas toujours facile d'obtenir une réaction sincère de proches qui pourraient vouloir épargner vos sentiments, donc, envisagez d'adhérer à un atelier d'écriture ou de former un groupe d'écrivains afin d'être en mesure d'obtenir des retours honnêtes sur votre manuscrit. N'oubliez pas votre public principal les enfants. Lisez donc votre manuscrit à des enfants, prêtez attention au fait qu'ils semblent accrocher » ou non, repérez quelles parties les ennuient et ainsi de suite. Demandez-vous si votre livre séduit parents, enseignants et bibliothécaires. Ils sont ceux qui achèteront votre livre, il doit donc également les intéresser. Une fois que vous avez des retours à partir de plusieurs sources différentes, modifiez à nouveau votre manuscrit. 1 Autopubliez. Il s'agit d'une option viable et respectable dans le monde de l'édition d'aujourd'hui. Recherchez en ligne des entreprises qui vous aideront à autopublier votre livre, que ce soit sous forme d'un e-book ou de copies imprimées. Vous pouvez dépenser aussi peu ou autant d'argent que vous le voulez en la matière et vous serez en mesure d'éviter le long processus de publication d'un livre par des moyens plus traditionnels. Certaines sociétés d'autoédition fournissent des services de meilleure qualité que d'autres. Avant d'en choisir une, penchez-vous sur le type de papier qu'elle utilise et essayez d'obtenir des exemplaires d'autres livres qu'elle a publiés. Lorsque vous autopubliez un livre, vous avez encore une chance de le faire publier par une maison d'édition traditionnelle par la suite. Vous aurez en effet un exemplaire de votre livre à leur envoyer avec votre argumentaire. S'il est très beau, cela peut vous donner un avantage sur les autres soumissions. 2 Trouvez un agent littéraire profession peu répandue en dehors des pays anglo-saxons. Si vous avez à cœur de publier votre livre avec une maison d'édition traditionnelle, il est parfois préférable de trouver un agent pour vous aider dans le processus. Envoyez aux agents une lettre de requête et un synopsis du livre. Si les agents sont intéressés, ils répondront en demandant à voir le manuscrit. Il peut prendre des semaines ou des mois pour recevoir une réponse. Si votre livre n'est pas choisi par un agent, vous pouvez envoyer vos lettres de requête et synopsis directement aux éditeurs qui acceptent les manuscrits non sollicités. Recherchez ceux publiant des livres comme le vôtre. Si votre livre est choisi par un agent, il peut vous demander d'apporter des modifications au manuscrit pour le rendre plus attrayant auprès des éditeurs potentiels. Lorsque le manuscrit final est prêt, l'agent essayera de vendre » votre livre aux éditeurs appropriés. Encore une fois, le processus peut prendre des mois et il n'y a aucune garantie que votre livre soit publié au final. 3Distribuez votre livre localement. Écrire un livre pour enfants est en soi un accomplissement énorme. Il n'est pas nécessaire de chercher une large publication, surtout si vous ne le souhaitez pas. Parfois, il est plus personnel de simplement partager le livre avec les gens qui comptent pour vous. Envisagez d'imprimer le manuscrit au magasin de copie et de le relier pour le donner à quelques amis ou aux enfants de votre famille. De nombreux magasins de copie ont des services vous permettant d'imprimer et relier des livrets en couleur ayant l'air très professionnelle. Conseils Amusez-vous avec la langue. Les enfants n'ont pas peur d'exprimer leur créativité et humour, donc utiliser des mots et expressions drôles aidera à les maintenir intéressés par l'histoire. Les livres pour enfants sont souvent le résultat d'efforts communs. Si vous embauchez un illustrateur, soyez prête à partager le crédit. Réfléchissez à deux fois avant d'utiliser l'anthropomorphisme. Les éditeurs reçoivent en effet beaucoup d'histoires comportant des objets ou des animaux qui parlent. Utiliser cette technique pourrait donc rendre difficile la publication de votre livre, à moins que cela ne soit vraiment bien fait. Des vers, surtout en rimes, peuvent être merveilleux, s'ils sont bien écrits. Si vous souhaitez versifier, utilisez plutôt le vers libre. Si vous tenez plutôt à écrire des vers en rimes, utilisez un dictionnaire de rimes. Avertissements Peu de gens gagnent leur vie en écrivant des livres pour enfants. Ne quittez donc pas votre emploi actuel ! Considérez la chose comme un simple et agréable hobby ou passetemps au départ, avant de pouvoir envisager cela comme une carrière si jamais vous parveniez à vous faire un large lectorat et à tirer un montant conséquent de la vente de vos livres. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 103 034 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
Sommaire De l’analphaÂbĂ©tisme AnalphaÂbète, illettrĂ©, quelle diffĂ©rence ? Combien y a-t-il d’analphaÂbètes en Belgique ? Quelle est la situation dans le reste de l’Europe ? Et dans le monde ? Comment se fait-il que des gens sortent de l’école sans savoir ni lire ni Ă©crire alors que l’enseignement est obligatoire ? L’illettrisme est-il Ă mettre en liaison avec des capacitĂ©s intellectuelles limitĂ©es ? Quand estime-t-on qu’on n’est plus analphaÂbète ? De Lire et Écrire Depuis quand existe l’alphaÂbĂ©tisation des adultes ? Par qui est organisĂ©e l’alphaÂbĂ©tisation ? Depuis quand existe Lire et Écrire ? Pourquoi a-t-on créé Lire et Écrire ? Quelles sont les revendications de Lire et Écrire ? Quelles sont les actions de Lire et Écrire ? Avec quels moyens fonctionne Lire et Écrire ? Des publics Y a-t-il un profil-type des personnes analphaÂbètes ou illettrĂ©es ? Les analphaÂbètes sont-ils tous des immigrĂ©s ? Quels pourcentages d’étrangers et de Belges y a-t-il dans les cours d’alphaÂbĂ©tisation au sein de Lire et Écrire ? Les personnes qui suivent des cours d’alphaÂbĂ©tisation sortent-elles toutes de l’enseignement spĂ©cialisĂ© ? Y a-t-il plus d’hommes ou de femmes dans les cours d’alphaÂbĂ©tisation ? Quelle tranche d’âge est la plus reprĂ©sentĂ©e dans les cours d’alphaÂbĂ©tisation ? Quelle est la situation socioÂprofessionnelle des personnes qui suivent une formation d’alphaÂbĂ©tisation ? En 2012, selon l’étude menĂ©e par la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles, plus de 20 000 personnes ont suivi des formations alors qu’on estime Ă 400 000 le nombre de personnes en difficultĂ© de lecture et d’écriture…Comment expliquer cet Ă©cart ? Qu’est-ce qui motive les analphaÂbètes Ă s’inscrire aux cours ? Comment repĂ©rer les personnes en difficultĂ© de lecture et d’écriture ? Que faire face Ă une personne analphaÂbète ? Comment motiver des gens qui ne sont pas vraiment demandeurs d’une formation ? Une personne a-t-elle le droit de refuser de suivre une formation d’alphaÂbĂ©tisation qu’on lui propose ? Des formations Ă€ qui s’adressent les cours d’alphaÂbĂ©tisation ? Ă€ partir de quel âge peut-on suivre une formation d’alphaÂbĂ©tisation ? Est-ce comme Ă l’école ? Quelles sont les activitĂ©s proposĂ©es aux apprenants ? Avec une bonne mĂ©thode, n’importe qui pourrait-il alphaÂbĂ©tiser ? Combien de temps faut-il pour apprendre Ă lire et Ă Ă©crire Ă l’âge adulte ? En quoi l’alphaÂbĂ©tisation est-elle une action d’Éducation permanente ? L’alphaÂbĂ©tisation, est-ce comme une formation au Forem ou Ă Bruxelles Formation ? Trouve-t-on plus facilement du travail après la formation ? Après l’alphaÂbĂ©tisation, y a-t-il d’autres formations ? Combien y a-t-il de personnes dans les groupes ? Y a-t-il des cours individuels ? Y a-t-il des cours pour les Belges d’origine ? Est-ce que ce sont des enseignants qui donnent cours ? Quelles sont les formations organisĂ©es pour les formateurs en alphaÂbĂ©tisation ? Y a-t-il des formateurs bĂ©nĂ©voles ? Combien y a-t-il de formateurs ? Y a-t-il des formations d’alphaÂbĂ©tisation partout en Belgique ? Comment les candidats apprenants sont-ils accueillis et orientĂ©s par Lire et Écrire ? Peut-on s’inscrire Ă tout moment ? Est-ce gratuit ? Y a-t-il des services de crèche-garderie pour les enfants dont les parents suivent une formation ? Comment les formations sont-elles organisĂ©es, selon quels horaires et quelle durĂ©e ? Obtient-on un diplĂ´me Ă la fin de la formation ? Quand on est inscrit, doit-on suivre obligatoirement tous les cours ? Peut-on arrĂŞter la formation en cours de route ? Peut-on suivre les cours aussi longtemps qu’on le dĂ©sire ? Les prĂ©sences au cours sont-elles contrĂ´lĂ©es ? La formation donne-t-elle droit aux allocations familiales ? La formation apporte-t-elle un changement au statut de chĂ´meur ? de bĂ©nĂ©ficiaire du revenu d’intĂ©gration sociale ? d’invalide ? Les personnes en formation continuent-elles Ă toucher les allocations de chĂ´mage, du CPAS, de la mutuelle ? Les frais de dĂ©placement sont-ils remboursĂ©s ? Peut-on suivre une formation en alphaÂbĂ©tisation quand on travaille ? Est-ce que venir en formation peut entrainer des ennuis ? Peut-il arriver de refuser quelqu’un ou d’exclure une personne des cours ? En savoir plus OĂą peut-on trouver des informations supplĂ©mentaires ? Si une de vos questions n’a pas trouvĂ© de rĂ©ponse… De l’analphaÂbĂ©tismeAnalphaÂbète, illettrĂ©, quelle diffĂ©rence ? Il n’existe pas de dĂ©finition scientifique et universelle de l’analphaÂbĂ©tisme et de l’illettrisme, donc des analphaÂbètes et des illettrĂ©s. Ce sont des notions subjectives qui dĂ©pendent de dĂ©cisions arbitraires. Dans sa première dĂ©finition de 1958, l’Unesco dĂ©crit l’analphaÂbète fonctionnel comme une personne incapable de lire et d’écrire, en le comprenant, un Ă©noncĂ© bref et simple de faits en rapport avec la vie quotidienne. Le plus souvent, cette personne a Ă©tĂ© Ă l’école sans pour autant y avoir acquis ces savoirs de base. Le terme illettrĂ© », utilisĂ© en France, peut ĂŞtre consiÂdĂ©rĂ© comme synonyme d’analphaÂbète fonctionnel. Si le Petit Larousse 2016 distingue l’analphaÂbète qui n’a jamais appris Ă lire et Ă Ă©crire de l’illettrĂ© qui ne maitrise ni la lecture ni l’écriture, cette distinction est absolument inefficiente pour caractĂ©riser deux types de publics tant les histoires personnelles, les connaissances, les expĂ©riences, les reprĂ©sentations, les stratĂ©gies divergent d’un individu Ă l’autre. Elle ne prĂ©cise pas non plus ce que l’on entend par maitrise » de l’écrit. En 1978, l’Unesco Ă©largit sa dĂ©finition ÂUne personne est analphaÂbète du point de vue fonctionnel si elle ne peut se livrer Ă toutes les activitĂ©s qui requièrent l’alphabĂ©tisme aux fins d’un fonctionnement efficace de son groupe ou de sa communautĂ© et aussi pour lui permettre de continuer d’utiliser la lecture, l’écriture et le calcul pour son propre dĂ©veloppement et celui de la communautĂ©. Combien y a-t-il d’analphaÂbètes en Belgique ? Puisque l’analphaÂbĂ©tisme est une notion subjective, il n’y a pas moyen de rĂ©pondre Ă cette question. L’estimation de la population qui a ou non une maitrise suffisante de l’écrit ou d’autres compĂ©tences varie selon le niveau oĂą l’on place la barre des compĂ©tences requises ». L’OCDE, qui met le curseur très haut, procède rĂ©gulièrement Ă des enquĂŞtes d’évaluation des compĂ©tences en littĂ©ratie de la population. Dans les 24 pays ayant participĂ© Ă l’édition 2012 enquĂŞte PIACC OCDE, environ 15,5 % des adultes âgĂ©s de 16 Ă 65 ans ont obtenu un faible niveau de compĂ©tences ils se situent au niveau 1 de l’échelle mesurant le niveau de compĂ©tences en littĂ©ratie, voire en deçà . Selon les pays, ce pourcentage va de 5 % Ă 28 %. La FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles n’ayant pas participĂ© Ă ces enquĂŞtes, Lire et Écrire maintient le pourcentage habituellement avancĂ© pour la Belgique francophone de 10 % de la population adulte analphaÂbète ou illettrĂ©e. Une estimation rĂ©aliste si on la compare aux rĂ©sultats obtenus par les enquĂŞtes menĂ©es dans des pays comparables aux nĂ´tres. En France, une Ă©tude plus prĂ©cise sur le taux d’illettrisme enquĂŞte IVQ menĂ©e en 2012 parmi les personnes âgĂ©es de 18 Ă 65 ans et scolarisĂ©es en France montrent que 7 % de ces personnes sont en très grande difficultĂ© avec l’écrit. Mais ce qui importe, ce ne sont pas les chiffres. C’est que tous les adultes qui le souhaitent puissent trouver près de chez eux une formation d’alphabĂ©tisation de qualitĂ© adaptĂ©e Ă leurs besoins. Et ce, qu’ils soient 400, 4 000, 40 000 ou 400 000. Quelle est la situation dans le reste de l’Europe ? Et dans le monde ? En 2016, selon l’Unesco, on compte 758 millions d’adultes analphaÂbètes dont deux tiers de femmes. Dans les pays industrialisĂ©s, la situation est semblable Ă celle de la Belgique. On constate effectivement que, en 2017, près de 15 % des enfants quittent l’enseignement primaire sans le Certificat d’études de base CEB. Les causes de ces Ă©checs sont multiples. Elles sont le plus souvent liĂ©es Ă des ruptures familiale, scolaire, sociale, identitaire, culturelle. Elles sont Ă©galement toujours liĂ©es Ă la relation difficile, voire antagoniste, entre une appartenance sociale et le monde des savoirs scolaires », cela, dans le contexte d’un système scolaire particulièrement discriminant et inĂ©quitable. Plus globalement, Lire et Écrire considère que l’analphaÂbĂ©tisme n’est pas un problème individuel mais a pour cause et consĂ©quence l’exclusion sociale, culturelle, politique et Ă©conomique sĂ©vissant dans notre sociĂ©tĂ©. Une enquĂŞte auprès des adultes ayant Ă©tĂ© scolarisĂ©s en Belgique et suivant des cours d’alphaÂbĂ©tisation a montrĂ© que ces personnes ont connu un Ă©chec prĂ©coce, entrainant l’arrĂŞt du processus d’apprentissage, le dĂ©crochage hâtif, de nombreux redoublements ; n’ont pas bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un soutien pĂ©dagogique adaptĂ© ; ont ressenti un fort sentiment de rejet de la part de l’institution scolaire ; ne se sont pas senties reconnues dans un cadre culturel Ă©loignĂ© de leur milieu familial d’ est-il Ă mettre en liaison avec des capacitĂ©s intellectuelles limitĂ©es ? Non. L’illettrisme est dĂ» Ă un arrĂŞt trop prĂ©coce de l’apprentissage ou aux difficultĂ©s dĂ©crites dans la rĂ©ponse Ă la question prĂ©cĂ©dente. Ces difficultĂ©s peuvent ĂŞtre rĂ©solues dans un contexte diffĂ©rent. Les actions de la majoritĂ© des associations d’alphaÂbĂ©tisation ne s’adressent pas aux personnes qui souffrent de handicap mental. Quand estime-t-on qu’on n’est plus analphaÂbète ? Comme nous l’avons relevĂ© plus haut, la notion d’analphaÂbĂ©tisme est Ă©minemment subjective et relative. Chacun dĂ©finit les savoirs de base qu’il estime nĂ©cessaires pour mener Ă bien ses projets, en fonction de son environnement. Certains arrĂŞtent les cours satisfaits de savoir Ă©crire leur adresse, d’autres veulent savoir lire le journal, Ă©crire un roman,… Cependant l’évolution de la sociĂ©tĂ© conduit Ă mettre la barre de plus en plus haut et Ă Ă©largir le champ des compĂ©tences. Ainsi, pour l’Unesco, en 1978, n’est plus analphaÂbète toute personne qui a acquis les connaissances et compĂ©tences indispensables Ă l’exercice de toutes les activitĂ©s oĂą l’alphaÂbĂ©tisation est nĂ©cessaire pour jouer efficacement un rĂ´le dans son groupe et sa communautĂ©, et dont les rĂ©sultats atteints en lecture, Ă©criture et arithmĂ©tique sont tels qu’ils lui permettent de continuer Ă mettre ces aptitudes au service de son dĂ©veloppement propre et du dĂ©veloppement de la communautĂ©, et de participer activement Ă la vie du pays. Pour sa part, Lire et Écrire estime que le champ de l’alphaÂbĂ©tisation recouvre les savoirs de base acquis Ă l’issue de l’enseignement primaire. De Lire et ÉcrireDepuis quand existe l’alphaÂbĂ©tisation des adultes ? Si l’alphaÂbĂ©tisation a existĂ© de tout temps, c’est Ă la fin des annĂ©es 1960 que des initiatives d’alphaÂbĂ©tisation pour migrants, portĂ©es par des militants bĂ©nĂ©voles, se sont multipliĂ©es et dĂ©veloppĂ©es dans les principales villes du pays. Ces associations, qui existent encore aujourd’hui, sont Ă la base du dĂ©veloppement et de la structure très majoritairement associative de l’alphaÂbĂ©tisation en FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles. Au dĂ©but des annĂ©es 1980, deux d’entre elles, ATD Quart Monde et le Collectif d’alphabĂ©tisation, ont constatĂ© la persistance de l’analphaÂbĂ©tisme parmi la population belge et ont attirĂ© l’attention de l’opinion publique, des pouvoirs publics et des mouvements ouvriers sur cette problĂ©matique. Par qui est organisĂ©e l’alphaÂbĂ©tisation ? Aujourd’hui, en FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles, des cours d’alphaÂbĂ©tisation sont organisĂ©s par des Ă©coles de Promotion sociale, des services publics, tels des CPAS, et environ 230 associations d’alphaÂbĂ©tisation, dont Lire et Écrire. En 2012, selon l’enquĂŞte menĂ©e par la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles plus de 20 000 personnes ont suivi des cours d’alphabĂ©tisation, de formation de base ou de Français langue Ă©trangère FLE de base. Rares sont les associations qui se consacrent exclusivement Ă l’alphaÂbĂ©tisation. La plupart ont créé des cours d’alphaÂbĂ©tisation pour rĂ©pondre aux demandes des personnes qui participaient Ă leurs activitĂ©s ou s’adressaient Ă elles pour l’un ou l’autre service. Ces associations sont très diverses maisons de quartiers, associations fĂ©minines, maisons de jeunes, maisons mĂ©dicales, Ă©coles de devoirs, centres culturels, bibliothèques, organismes d’insertion socioÂprofessionnelle ou d’accueil des primo-arrivants, centres d’expression et de crĂ©ativitĂ©, associations d’Éducation permanente, etc. Certaines reposent entièrement sur le volontariat ; d’autres ne travaillent qu’avec des salariĂ©s. Depuis quand existe Lire et Écrire ? Lire et Écrire a Ă©tĂ© créée en 1983, par quatre associations de formation continue et d’Éducation permanente, portĂ©es par les mouvements ouvriers chrĂ©tien et socialiste. Lire et Écrire est structurĂ©e en rĂ©gionales rĂ©parties sur l’ensemble du territoire de la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles. Ces rĂ©gionales sont coordonnĂ©es aux niveaux de la RĂ©gion wallonne, de la RĂ©gion de Bruxelles-Capitale et de la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles. En savoir plus… Pourquoi a-t-on créé Lire et Écrire ? Lire et Écrire a Ă©tĂ© créée pour que tout adulte qui le souhaite puisse trouver près de chez lui une formation en alphaÂbĂ©tisation de qualitĂ© adaptĂ©e Ă sa demande. Elle s’est donnĂ©e trois grands objectifs attirer l’attention de l’opinion publique et des pouvoirs publics sur la persistance de l’analphaÂbĂ©tisme et sur l’urgence d’en combattre les causes et d’y apporter des solutions ; promouvoir le droit effectif Ă une alphaÂbĂ©tisation de qualitĂ© pour tout adulte qui le souhaite ; dĂ©velopper l’alphaÂbĂ©tisation dans une perspective d’émancipation, de participation et de changement social vers plus d’ sont les revendications de Lire et Écrire ? Pour Lire et Écrire, il s’agit de revendiquer le droit Ă l’alphaÂbĂ©tisation pour tous, c’est-Ă -dire que chacun ait le droit de choisir librement une formation rĂ©pondant Ă ses attentes et Ă ses besoins ; que chacun ait le droit de poursuivre cette formation le temps quil juge nĂ©cessaire pour atteindre ses objectifs ; que chacun puisse trouver près de chez lui une alphaÂbĂ©tisation de qualitĂ©, reconnaissant ses expĂ©riences et ses savoirs, ses capacitĂ©s et ses rythmes d’apprentissage, sa culture et sa communautĂ© ; que chacun puisse apprendre Ă lire et Ă Ă©crire, mais aussi qu’il ait le droit de questionner et de rĂ©flĂ©chir, de recourir Ă l’imagination et Ă la crĂ©ation, d’écrire et lire son histoire ; que chacun puisse accĂ©der Ă une rĂ©elle participation Ă©conomique, sociale, culturelle et politique, car sans cette participation, il n’y a pas de raison d’apprendre… Outre cette revendication de base, Lire et Écrire produit rĂ©gulièrement des cahiers de revendications prĂ©cises Ă l’attention des diffĂ©rents pouvoirs publics. En savoir plus… Quelles sont les actions de Lire et Écrire ? Lire et Écrire mène plusieurs types d’actions. Elle organise des cours d’alphaÂbĂ©tisation et propose diffĂ©rents services tels l’accueil et l’orientation du public, la formation de formateurs, le conseil pĂ©dagogique, des centres de documentation, l’édition et la diffusion de matĂ©riel pĂ©dagogique. Lire et Écrire met en Ĺ“uvre des campagnes de sensibilisation et d’interpellation politique, mobilise des rĂ©seaux d’acteurs, rĂ©alise des Ă©tudes et des recherches. Avec quels moyens fonctionne Lire et Écrire ? Lire et Écrire reçoit des subsides des pouvoirs publics belges et europĂ©en. Lire et Écrire est une ASBL, reconnue comme mouvement d’Éducation permanente, les rĂ©gionales wallonnes sont Ă©galement reconnues comme organismes d’insertion socioÂprofessionnelle. Depuis 2010, Lire et Écrire Bruxelles est mandatĂ©e comme Centre rĂ©gional pour le dĂ©veloppement de l’alphabĂ©tisation et de l’apprentissage du français pour adultes CRĂ©DAF. Des publicsY a-t-il un profil-type des personnes analphaÂbètes ou illettrĂ©es ? Non. Il n’y a pas de profil-type de ces personnes. Ces publics sont extrĂŞmement diversifiĂ©s. Et ce, tant au niveau de leurs histoires de vie, de leurs parcours scolaires, de leurs situations familiales et socioÂprofessionnelles, de leurs cultures, de leurs acquis et de leurs projets. Les analphaÂbètes sont-ils tous des immigrĂ©s ? Non. Il existe aussi des personnes d’origine belge en situation d’analphaÂbĂ©tisme. Quels pourcentages d’étrangers et de Belges y a-t-il dans les cours d’alphaÂbĂ©tisation au sein de Lire et Écrire ? Les personnes de nationalitĂ© Ă©trangère sont majoritaires selon l’enquĂŞte menĂ©e en 2018 par Lire et Écrire dans ses propres lieux de formation 66 % au total, mais 60 % en Wallonie et 73 % Ă Bruxelles. Ces personnes proviennent pour la plupart de pays non europĂ©ens. Notons toutefois qu’à Bruxelles, la grande majoritĂ© des apprenants de nationalitĂ© belge sont des personnes qui ont acquis la nationalitĂ©. Les personnes qui suivent des cours d’alphaÂbĂ©tisation sortent-elles toutes de l’enseignement spĂ©cialisĂ© ? Non. Seulement 3 % des personnes qui suivent les cours d’alphaÂbĂ©tisation ont frĂ©quentĂ© l’enseignement spĂ©cialisĂ©. Rappelons que près de 15 % des jeunes sortent de l’enseignement primaire normal sans avoir obtenu le Certificat d’études de base. Et nombre d’entre eux ne rattraperont pas leurs lacunes au cours de leur scolaritĂ© secondaire. Il faut Ă©galement souligner que la frĂ©quentation de l’enseignement spĂ©cialisĂ© de type 8 est très souvent davantage liĂ©e Ă des problèmes sociaux qu’à des problèmes cognitifs. Y a-t-il plus d’hommes ou de femmes dans les cours d’alphaÂbĂ©tisation ? Il y a une majoritĂ© de femmes dans les cours Ă Lire et Écrire 59 % en 2018. Quelle tranche d’âge est la plus reprĂ©sentĂ©e dans les cours d’alphaÂbĂ©tisation ? En 2018, la plus grande partie du public Ă Lire et Écrire 51 % a entre 25 et 44 ans et 37 % ont entre 45 et 65 ans. La part des personnes de plus de 65 ans est de 3 %, et celle des jeunes de moins de 25 ans est de 9 %. Quelle est la situation socioÂprofessionnelle des personnes qui suivent une formation d’alphaÂbĂ©tisation ? En 2018, selon l’enquĂŞte menĂ©e au sein de Lire et Écrire, 34 % dĂ©pendent du CPAS, 22 % sont demandeurs d’emploi indemnisĂ©s et 6% ont un emploi. 1 % sont prĂ©pensionnĂ©s et 4 % perçoivent une allocation autre. 27 % sont sans revenus personnels femmes et hommes au foyer, demandeurs d’emploi non indemnisĂ©s, Ă©tudiants, demandeurs d’asile, dĂ©tenus. En 2012, selon l’étude menĂ©e par la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles, plus de 20 000 personnes ont suivi des formations alors qu’on estime Ă 400 000 le nombre de personnes en difficultĂ© de lecture et d’écriture…Comment expliquer cet Ă©cart ? En dehors du fait que l’offre est effectivement insuffisante pour rĂ©pondre Ă la demande, ces personnes peuvent ignorer que des cours existent ; vivre mal leur situation d’analphaÂbĂ©tisme, ne pas parvenir Ă vaincre peurs et tabous et ne pas oser pousser la porte d’une association ; ne pas vouloir apprendre Ă lire et Ă Ă©crire ; ne pas Ă©prouver le besoin de s’inscrire dans une formation ; ne pas se considĂ©rer comme analphaÂbète, ne pas s’identifier Ă ceux que la sociĂ©tĂ© appelle analphaÂbètes ». D’autre part, des problèmes de mobilitĂ© absence de moyens de transports en milieu rural et des problèmes d’horaires peu adaptĂ©s aux travailleurs, par exemple constituent Ă©galement des freins Ă la participation. Qu’est-ce qui motive les analphaÂbètes Ă s’inscrire aux cours ? On constate que les personnes viennent le plus souvent s’inscrire quand elles vivent une situation de changement enfants qui rentrent Ă l’école, dĂ©part des enfants, perte d’emploi, veuvage… Situations qui entrainent de nouveaux besoins ou de nouvelles disponibilitĂ©s et possibilitĂ©s. Apprendre Ă lire et Ă Ă©crire n’est jamais une fin en soi mais un moyen pour se dĂ©brouiller dans la vie courante ; devenir plus autonome dans ses dĂ©marches administratives, sa vie familiale, ses dĂ©placements, ses loisirs… ; se servir de nouveaux outils de communication ; trouver du travail ; suivre d’autres formations ; obtenir un diplĂ´me ; acquĂ©rir plus de confiance en soi ; reconstruire une image positive de soi ; suivre la scolaritĂ© de ses enfants ; s’informer, dĂ©velopper ses connaissances, s’épanouir personnellement ; participer Ă la vie sociale, politique et culturelle ; accĂ©der au monde de l’écrit et au plaisir de lire et d’écrire ; Ă©crire l’histoire de sa vie ; etc. Les personnes analphaÂbètes n’osent pas toujours parler de leur situation et il n’y a pas toujours de signes et de comportements visibles Ă partir desquels on peut reconnaitre un analphaÂbète. On peut cependant ĂŞtre attentif Ă une sĂ©rie d’indices un parcours scolaire chaotique et une absence de diplĂ´me ; des difficultĂ©s Ă s’exprimer et Ă produire un rĂ©cit cohĂ©rent chronologie et emploi des temps, articulateurs logiques, syntaxe et vocabulaire approximatifs,… ; rĂ©ticence, voire refus, sous diffĂ©rents prĂ©textes, de remplir ou de lire des documents J’ai oubliĂ© mes lunettes., Je les remplirai Ă la maison., Pouvez-vous me dire quelles sont les offres d’emploi ?, Je suis dyslexique., etc. ; refus d’une formation professionnelle, d’un poste de travail, d’une augmentation de ses responsabilitĂ©s… ; Ă©criture laborieuse de son nom et de son adresse ; faire face Ă une personne analphaÂbète ? L’expĂ©rience a montrĂ© qu’il est prĂ©fĂ©rable d’en parler et qu’une discussion sur le sujet a des effets positifs car cela permet de dĂ©dramatiser la situation. Pour faciliter la discussion essayer d’en parler le plus normalement possible ; dire qu’il y a beaucoup de personnes qui rencontrent le mĂŞme problème ; faire apparaitre que ce n’est pas une question de tare » personnelle, que la personne n’est pas responsable de cette situation ; souligner et valoriser les autres savoirs et compĂ©tences de la personne ; dire qu’il est possible de faire quelque chose, notamment de suivre des cours pour adultes ; dire que suivre une formation alpha ce ne sera pas comme Ă l’école ; proposer d’aider Ă Ă©tablir le premier contact avec Lire et Écrire ; etc. Il est Ă©galement important d’analyser les demandes et besoins rĂ©els de la personne et de ne pas lui proposer, comme seule et unique solution, une formation d’alphaÂbĂ©tisation. La prioritĂ© de la personne peut ĂŞtre de rĂ©gler des problèmes de survie, des problèmes personnels ou sociaux, de trouver du travail, de participer Ă d’autres types d’activitĂ©s… Comment motiver des gens qui ne sont pas vraiment demandeurs d’une formation ? L’alphaÂbĂ©tisation n’est pas le remède » Ă tous les maux et ne doit pas ĂŞtre prescrite » Ă tout prix. Il peut y avoir de bonnes raisons de ne pas s’alphaÂbĂ©tiser ce n’est que si l’on pense que la maitrise de la lecture et de l’écriture va pouvoir effectivement amĂ©liorer sa situation que l’on peut dĂ©cider de s’investir dans l’alphaÂbĂ©tisation. Il s’agit de prendre le temps de comprendre la situation de chaque personne, de voir ce qui est susceptible de lui convenir, de s’interroger avec elle sur la nature des difficultĂ©s rencontrĂ©es, de l’aider Ă dĂ©finir ses prioritĂ©s et d’identifier les freins qui s’opposent Ă la rĂ©alisation de ses objectifs. Une personne a-t-elle le droit de refuser de suivre une formation d’alphaÂbĂ©tisation qu’on lui propose ? Oui. Pour Lire et Écrire, suivre une formation en alphaÂbĂ©tisation ne peut ĂŞtre qu’un acte volontaire. Il est en effet impossible d’apprendre Ă lire sous la contrainte. Cependant, il existe actuellement une forte pression sociale Ă la formation. De plus, certaines personnes subissent des pressions de la part des CPAS, conditionnant l’octroi de l’aide sociale Ă la frĂ©quentation d’une formation. Il en va souvent de mĂŞme auprès de certains services du Forem, d’Actiris et de l’ONEm… Dans les cas de refus ou de rĂ©sistance, le rĂ´le de l’association est de prendre contact avec le prescripteur » pour engager la discussion entre les diffĂ©rents acteurs concernĂ©s. Des formationsĂ€ qui s’adressent les cours d’alphaÂbĂ©tisation ? Les cours d’alphaÂbĂ©tisation s’adressent Ă toute personne de plus de 18 ans, belge ou Ă©trangère, pour autant qu’elle n’ait jamais Ă©tĂ© scolarisĂ©e, ou qu’elle ait Ă©tĂ© scolarisĂ©e sans avoir obtenu aucun diplĂ´me, ou qu’elle ait Ă©tĂ© scolarisĂ©e en ayant obtenu au maximum un diplĂ´me primaire, sans pour autant maitriser les savoirs de base. Les cours d’alphaÂbĂ©tisation ne s’adressent donc aux Ă©trangers – qu’ils parlent ou non le français – que pour autant qu’ils rĂ©pondent Ă ces mĂŞmes critères et donc qu’ils ne maitrisent pas l’écrit dans leur langue. Les personnes scolarisĂ©es au-delĂ de ces critères ne doivent normalement pas ĂŞtre orientĂ©es vers l’alphaÂbĂ©tisation les Ă©trangers non francophones doivent ĂŞtre orientĂ©s vers les cours de français langue Ă©trangère organisĂ©s notamment par l’enseignement de Promotion sociale ; les Belges et les Ă©trangers francophones vers d’autres formations en fonction de leur projet personnel remise Ă niveau, formation de base, formation prĂ©professionnelle. Ă€ partir de quel âge peut-on suivre une formation d’alphaÂbĂ©tisation ? L’enseignement Ă©tant obligatoire jusqu’à 18 ans, les formations s’adressent aux plus de 18 ans. Par ailleurs, plusieurs associations d’alphaÂbĂ©tisation organisent Ă©galement des Ă©coles de devoirs et participent Ă des projets d’appui scolaire. Est-ce comme Ă l’école ? Lire et Écrire propose des formations basĂ©es sur une pĂ©dagogie participative adaptĂ©e aux adultes. Lire et Écrire dĂ©veloppe une approche pĂ©dagogique respectant les personnes, suivant leur rythme d’apprentissage, prenant en compte leur histoire individuelle et collective, liĂ©e aux problèmes qu’elles ont Ă affronter dans leur vie quotidienne, favorisant la solidaritĂ©, le respect des diffĂ©rences, l’autonomie et la participation Ă la transformation des rapports sociaux, Ă©conomiques, politiques et culturels en rapports justes et Ă©galitaires. Le plus souvent, les formations se dĂ©roulent en groupes d’environ 15 personnes. Ces groupes peuvent ĂŞtre organisĂ©s de diverses manières en fonction d’un projet, du niveau de connaissance,… Il n’y a pas de programme préétabli, les formateurs s’adaptant aux projets et besoins de chacun. Les apprentissages sont basĂ©s sur les expĂ©riences vĂ©cues par les membres du groupe et leurs centres d’intĂ©rĂŞt. Les supports, outils et dĂ©marches utilisĂ©s sont sont les activitĂ©s proposĂ©es aux apprenants ? L’offre de formation varie d’une association Ă une autre. On peut y retrouver des formations centrĂ©es sur l’expression orale, la lecture, l’écriture, les mathĂ©matiques. Des activitĂ©s variĂ©es sont aussi proposĂ©es telles que ateliers d’écriture, arts plastiques, théâtre, visites culturelles, histoire, vie sociale, initiation Ă l’informatique et aux technologies de l’information et de la communication… Avec une bonne mĂ©thode, n’importe qui pourrait-il alphaÂbĂ©tiser ? Non. Aucun manuel tout fait ne peut permettre d’alphaÂbĂ©tiser. ĂŠtre formateur ce n’est pas appliquer des recettes mais ĂŞtre capable de construire ses outils et d’adapter sa mĂ©thodologie en fonction du public. Cela nĂ©cessite une formation spĂ©cifique, des capacitĂ©s relationnelles et pĂ©dagogiques, un questionnement et une recherche permanente. Cette approche est dĂ©veloppĂ©e dans le cadre de rĂ©fĂ©rence pĂ©dagogique de Lire et Écrire, document tĂ©lĂ©chargeable sur notre site dès la fin de l’annĂ©e 2017. Combien de temps faut-il pour apprendre Ă lire et Ă Ă©crire Ă l’âge adulte ? Ce temps est variable en fonction de chaque personne et peut dĂ©pendre de nombreux facteurs tels que le niveau de connaissance prĂ©alable, le rythme d’apprentissage, la disponibilitĂ©, le nombre d’heures de formation par semaine, le travail effectuĂ© ou non Ă domicile, l’âge, l’histoire personnelle, la motivation, le projet de la personne, l’adĂ©quation du modèle pĂ©dagogique et des outils utilisĂ©s par le formateur. L’apprentissage de la lecture et de l’écriture est particulièrement complexe. Il met en jeu de multiples Ă©lĂ©ments et de nombreux savoirs. Rappelons qu’un enfant de 6 ans qui rentre en 1re primaire, en maitrisant tous les nombreux prĂ©requis nĂ©cessaires, va bĂ©nĂ©ficier chaque annĂ©e de 400 heures de cours centrĂ©s sur la lecture et l’écriture. Et qu’un adulte qui suit 4 heures de cours par semaine, pendant un an, bĂ©nĂ©ficie de 160 heures de cours au maximum… En quoi l’alphaÂbĂ©tisation est-elle une action d’Éducation permanente ? L’alphaÂbĂ©tisation est un outil d’émancipation et s’inscrit dès lors dans le champ de l’Éducation permanente, si l’on considère que l’alphaÂbĂ©tisation n’est jamais une fin en soi. Il s’agit toujours d’apprendre Ă lire pour… pour aider les enfants, pour trouver du travail, pour sortir de chez soi, pour entrer dans la sociĂ©tĂ©, mais aussi pour se dĂ©brouiller seul, pour ĂŞtre libre, pour mieux comprendre le monde, pour savoir se dĂ©fendre ; alphaÂbĂ©tiser c’est donner des outils – parmi d’autres – pour comprendre le monde, pour s’y situer, pour dĂ©velopper ses capacitĂ©s d’analyse et de rĂ©flexion critique, pour y agir socialement, Ă©conomiquement, culturellement et politiquement ; alphaÂbĂ©tiser c’est aussi vouloir que tous puissent exercer leur droit d’apprendre, c’est-Ă -dire, le droit de lire et d’écrire, le droit de questionner et de rĂ©flĂ©chir, le droit Ă l’imagination et Ă la crĂ©ation, le droit de lire son milieu et d’écrire l’histoire, le droit d’accĂ©der aux ressources Ă©ducatives, le droit de dĂ©velopper ses compĂ©tences individuelles et collectives… ; l’alphaÂbĂ©tisation suppose le non enfermement dans des situations d’exclusion car elle implique la pleine participation de tous, participation qui est Ă la fois le but et la condition de l’apprentissage. C’est dans le courant d’alphabĂ©tisation populaire que s’inscrit Lire et est-ce comme une formation au Forem ou Ă Bruxelles Formation ? L’alphaÂbĂ©tisation s’adresse Ă tous les publics et pas exclusivement aux demandeurs d’emploi. Le but de l’alphaÂbĂ©tisation – acquĂ©rir les savoirs de base – concerne en effet un public beaucoup plus large que celui de l’insertion socioÂprofessionnelle. Les modes d’organisation des associations sont très variĂ©s et très souples pour s’adapter au mieux aux demandes et aux besoins du public. L’alphaÂbĂ©tisation est cependant reconnue comme un Ă©lĂ©ment du parcours d’insertion des demandeurs d’emploi analphaÂbètes. Le Forem en Wallonie et Bruxelles Formation reconnaissent donc certaines associations d’alphaÂbĂ©tisation comme centres d’insertion socioÂprofessionnelle CISP en Wallonie ou organismes d’insertion socioÂprofessionnelle Ă Bruxelles. Les formations d’alphaÂbĂ©tisation pour demandeurs d’emploi, organisĂ©es par ces associations, sont alors soumises aux règlementations et dĂ©crets des RĂ©gions sur l’insertion socioÂprofessionnelle. Trouve-t-on plus facilement du travail après la formation ? L’alphaÂbĂ©tisation peut effectivement aider Ă trouver ou retrouver du travail, mĂŞme s’il ne s’agit pas d’apprendre un mĂ©tier. En effet, suivre une formation non seulement amĂ©liore le niveau des connaissances de base mais surtout donne de la confiance en soi, de l’autonomie, un nouveau dynamisme et dĂ©veloppe un rĂ©seau de relations. L’alphaÂbĂ©tisation peut aussi permettre d’accĂ©der Ă des formations et prĂ©formations professionnelles. Pour ceux qui ont dĂ©jĂ un emploi, l’alphaÂbĂ©tisation peut aussi permettre d’en assurer le maintien ou d’exercer de nouvelles responsabilitĂ©s au sein de l’entreprise. Après l’alphaÂbĂ©tisation, y a-t-il d’autres formations ? Pendant ou après une formation en alphaÂbĂ©tisation, les personnes qui le souhaitent devraient pouvoir trouver la formation qu’ils dĂ©sirent, que ce soit dans le cadre d’une AFT, d’un CISP/OISP, de l’enseignement de Promotion sociale, de l’IFAPME, du Forem, de Bruxelles Formation, d’associations d’Éducation permanente, etc. Nous constatons que, malgrĂ© le soutien des associations d’alphaÂbĂ©tisation, l’accès Ă une autre formation est parfois très difficile en raison, notamment, d’une offre insuffisante et de l’augmentation du niveau de compĂ©tences exigĂ©es. Combien y a-t-il de personnes dans les groupes ? Y a-t-il des cours individuels ? Le plus souvent, les cours se donnent en groupe. La dynamique d’un groupe – avec tout ce qu’elle comporte d’échanges, d’écoute, de solidarité… – est importante dans le processus d’apprentissage. La taille des groupes peut varier de 4 Ă 15 apprenants. Il existe Ă©galement des formules de travail individuel et personnalisĂ© en complĂ©ment du travail de groupe ou pour rĂ©pondre Ă certains cas spĂ©cifiques. Y a-t-il des cours pour les Belges d’origine ? De manière gĂ©nĂ©rale, les cours ne sont pas organisĂ©s sur base de la nationalitĂ© ou de la langue d’origine. Nous pensons en effet que la mixitĂ© constitue un enrichissement humain et culturel apprĂ©ciable. Bien sĂ»r, il n’y aura pas de Belges dans un groupe d’apprentissage du français oral et il pourra y avoir une majoritĂ© de Belges dans un groupe d’apprentissage de la langue Ă©crite. On constate que les Belges d’origine ont souvent beaucoup de difficultĂ©s Ă franchir la porte d’un cours d’alphaÂbĂ©tisation, difficultĂ©s parfois renforcĂ©es par le fait de se retrouver isolĂ© au sein d’un groupe composĂ© d’immigrĂ©s. Aussi, certaines associations, particulièrement attentives Ă cette situation, mettent en place diverses initiatives pour faciliter leur participation. Est-ce que ce sont des enseignants qui donnent cours ? ĂŠtre formateur en alphaÂbĂ©tisation est un mĂ©tier spĂ©cifique auquel une formation d’enseignant ne prĂ©pare pas. Il n’existe pas de formation initiale pour les formateurs en alphaÂbĂ©tisation. Aussi, leurs premières formations sont diverses. La majoritĂ© d’entre eux ont un diplĂ´me Ă orientation pĂ©dagogique ou psychosociale. Quel que soit le diplĂ´me de dĂ©part, enseignant ou non, les formateurs suivent ou devraient suivre des formations spĂ©cifiques au mĂ©tier de formateur en alphaÂbĂ©tisation. Quelles sont les formations organisĂ©es pour les formateurs en alphaÂbĂ©tisation ? L’enseignement de Promotion sociale organise une formation de formateur en alphaÂbĂ©tisation d’une durĂ©e de 1 400 heures, permettant d’obtenir un Brevet d’enseignement supĂ©rieur BES. Lire et Écrire et d’autres associations organisent des modules de formation de base et de formation continuĂ©e spĂ©cifique, de durĂ©es diverses de 12 Ă plus de 120 heures en fonction des objectifs et du contenu. Dans le cadre de l’insertion socioÂprofessionnelle, Lire et Écrire organise aussi une formation professionnalisante de 600 heures pour des personnes ayant au maximum le Certificat d’études secondaires infĂ©rieures CESI. Y a-t-il des formateurs bĂ©nĂ©voles ? En 2012, les bĂ©nĂ©voles assurent 10 % de l’offre de formation. La majoritĂ© d’entre eux ont un diplĂ´me Ă orientation pĂ©dagogique. Les bĂ©nĂ©voles permettent aussi d’élargir l’offre et d’ainsi mieux rĂ©pondre Ă la demande. Le bĂ©nĂ©volat a toute sa raison d’être car il apporte un plus aux actions d’alphaÂbĂ©tisation en permettant Ă des citoyens de s’impliquer dans une action collective. Mais le bĂ©nĂ©volat ne doit pas conduire Ă dĂ©sengager les pouvoirs publics de leurs responsabilitĂ©s. L’alphaÂbĂ©tisation est un droit essentiel dont le financement doit ĂŞtre supportĂ© par l’État. Comme les formateurs salariĂ©s, les bĂ©nĂ©voles sont vivement encouragĂ©s Ă suivre des modules de formation. Combien y a-t-il de formateurs ? En 2010, dernier chiffre disponible sur cette question, 1 414 personnes se sont impliquĂ©es dans les actions d’alphaÂbĂ©tisation dont 863 qui ont exercĂ© des fonctions pĂ©dagogiques. 515, soit 36 % de ces personnes, sont bĂ©nĂ©voles. 94 % d’entre elles travaillent comme formateurs. Cependant, les bĂ©nĂ©voles travaillant souvent Ă temps rĂ©duit, leur temps de travail reprĂ©sente 2 502 heures de prestation par semaine soit 10 % du temps total. Y a-t-il des formations d’alphaÂbĂ©tisation partout en Belgique ? En 2010, 175 associations, une quarantaine de services publics ainsi que près de 80 Ă©coles de Promotion sociale organisent des actions d’alphaÂbĂ©tisation dans plus de 540 lieux rĂ©partis sur l’ensemble de la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles. Ă€ Bruxelles, des formations sont offertes dans toutes les communes. En Wallonie, en 2010, malgrĂ© le nombre important d’opĂ©rateurs d’alphaÂbĂ©tisation, il n’y a qu’un peu plus d’un tiers des communes francophones qui offre effectivement des formations en alphaÂbĂ©tisation. En Flandre, il existe 13 centres de formation de base, organisant au besoin des cours dĂ©localisĂ©s, subsidiĂ©s par le ministère de l’Éducation. Comment les candidats apprenants sont-ils accueillis et orientĂ©s par Lire et Écrire ? Chaque personne est reçue en entretien particulier. Elle est orientĂ©e vers le groupe le plus adaptĂ© Ă sa demande et Ă ses besoins, en tenant compte des places disponibles dans les associations ainsi que des contraintes d’horaire, de dĂ©placement… S’il s’avère que l’offre de formation ne correspond pas au projet de la personne, une orientation vers un autre organisme lui est habituellement proposĂ©e. Peut-on s’inscrire Ă tout moment ? L’accueil et l’inscription sont possibles Ă tout moment. Les formations dĂ©butent en septembre et en janvier. Dans certaines associations, l’entrĂ©e peut s’effectuer tout au long de l’annĂ©e, en fonction des places disponibles. Est-ce gratuit ? Oui. Sauf auprès de certaines associations qui demandent une participation modique aux frais, de l’ordre de 25 euros par an. Y a-t-il des services de crèche-garderie pour les enfants dont les parents suivent une formation ? La plupart des associations n’organisent pas elles-mĂŞmes un service de garderie pour les enfants. Certaines travaillent en partenariat avec d’autres services organisant la garde d’enfants. Mais le plus souvent, c’est aux parents Ă trouver une solution pour la garde de leurs enfants. En Wallonie, si l’apprenant a un contrat de formation avec le Forem, il pourra bĂ©nĂ©ficier d’une intervention financière dans les frais de garderie. Ceci n’est pas le cas Ă Bruxelles. Chaque association possède sa propre organisation. On relève nĂ©anmoins quelques constantes Les horaires de cours proposĂ©s sont diversifiĂ©s pour rĂ©pondre au mieux aux besoins et aux diverses demandes. La majoritĂ© des formations sont organisĂ©es Ă raison de 4 Ă 8 heures par semaine 44 % et de 9 Ă 12 heures 24 % mais certaines associations proposent des formations de plus de 12 heures. Des groupes d’apprentissage sont organisĂ©s en fonction des niveaux des personnes ou de projets collectifs exemple passer son permis de conduire. Les cours sont organisĂ©s sur base d’une annĂ©e scolaire, en un ou deux modules. Le rythme des formations est gĂ©nĂ©ralement alignĂ© sur le calendrier scolaire. Les activitĂ©s ont parfois lieu dans des locaux dĂ©centralisĂ©s. La majoritĂ© des associations proposent des cours mixtes et accueillent toutes les nationalitĂ©s. Cependant certaines associations s’adressent exclusivement Ă un public un diplĂ´me Ă la fin de la formation ? En FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles, seul le ministère de l’Éducation est habilitĂ© Ă dĂ©livrer des diplĂ´mes. Les associations peuvent dĂ©livrer des certificats ou attestations, dont les modèles peuvent varier d’une association Ă l’autre. Cependant tout adulte peut obtenir le Certificat d’études de base. Ce certificat peut ĂŞtre obtenu de trois manières diffĂ©rentes soit en suivant les modules de l’enseignement de Promotion sociale dĂ©livrant ce diplĂ´me, soit en prĂ©sentant l’épreuve organisĂ©e par l’inspection de l’enseignement primaire, soit en prĂ©sentant un travail de fin d’études Chef-d’œuvre » devant un jury prĂ©sidĂ© par un inspecteur. Les associations d’alphaÂbĂ©tisation sont habilitĂ©es Ă prĂ©parer les candidats Ă ces Ă©preuves, en partenariat avec l’ on est inscrit, doit-on suivre obligatoirement tous les cours ? L’inscription dans toute formation suppose de la part de l’apprenant, un engagement Ă participer Ă l’ensemble des activitĂ©s, Ă frĂ©quenter rĂ©gulièrement la formation, Ă prĂ©venir de ses absences et Ă les justifier, bref, Ă mettre tout en Ĺ“uvre pour que la formation se dĂ©roule dans de bonnes conditions. De son cĂ´tĂ©, l’association prend Ă©galement l’engagement de tout mettre en Ĺ“uvre pour dispenser une formation de qualitĂ©. Peut-on arrĂŞter la formation en cours de route ? Toute personne est libre d’arrĂŞter la formation quand elle le souhaite parce que, soit elle estime avoir atteint ses objectifs, soit des problèmes personnels l’empĂŞchent de continuer, soit elle n’est pas satisfaite de la formation. Cependant, pour les personnes qui ont signĂ© un contrat de formation dans le cadre de l’insertion socioÂprofessionnelle ou dans le cadre d’un suivi par le CPAS, il est nĂ©cessaire de respecter l’engagement pris et les procĂ©dures prĂ©vues. Peut-on suivre les cours aussi longtemps qu’on le dĂ©sire ? Ă€ priori oui. On n’a, de fait, jamais fini d’apprendre Ă lire. Cependant, sur base d’évaluations rĂ©gulières, l’association et l’apprenant peuvent dĂ©cider que celui-ci est arrivĂ© au terme de son parcours au sein de l’association et doit franchir une nouvelle Ă©tape. Ils peuvent aussi convenir d’un autre type d’activitĂ© ou de formation qui lui conviendra mieux. Les prĂ©sences au cours sont-elles contrĂ´lĂ©es ? Chaque association a son propre mode de fonctionnement Ă ce sujet. La formation donne-t-elle droit aux allocations familiales ? Oui, mais uniquement pour les personnes de moins de 25 ans si la formation est Ă©talĂ©e sur au moins 5 demi-journĂ©es et 15 heures de cours par semaine. La formation apporte-t-elle un changement au statut de chĂ´meur ? de bĂ©nĂ©ficiaire du revenu d’intĂ©gration sociale ? d’invalide ? Non. La participation Ă une formation ne change rien au statut. Les personnes en incapacitĂ© de travail doivent cependant demander une autorisation prĂ©alable auprès du mĂ©decin conseil. Pour les demandeurs d’emploi, les dispenses et les conditions Ă remplir diffèrent selon le type et la durĂ©e de la formation. Les formalitĂ©s Ă remplir diffèrent Ă©galement selon le service rĂ©gional de l’emploi Actiris, Forem dont ils dĂ©pendent. Aucune dispense n’est en principe accordĂ©e lorsque les activitĂ©s du programme de formation n’atteignent pas au moins 20 heures en moyenne par semaine. Les personnes en formation continuent-elles Ă toucher les allocations de chĂ´mage, du CPAS, de la mutuelle ? Oui, les allocations sont toujours payĂ©es comme auparavant. Les apprenants qui suivent les cours dans une association reconnue OISP ou CISP et qui ont signĂ© un contrat de formation avec le Forem ou Bruxelles Formation, bĂ©nĂ©ficient d’une allocation de formation complĂ©mentaire Ă leurs indemnitĂ©s, d’1 € brut par heure de prĂ©sence au cours. Les frais de dĂ©placement sont-ils remboursĂ©s ? Pour les apprenants qui suivent les cours dans une association reconnue comme OISP ou CISP et qui ont signĂ© un contrat de formation avec le Forem ou Bruxelles Formation, les frais de dĂ©placement sont remboursĂ©s. Dans certains autres cas, le CPAS rembourse des frais liĂ©s Ă la formation dont les frais de dĂ©placement. Peut-on suivre une formation en alphaÂbĂ©tisation quand on travaille ? Oui c’est possible, il existe diffĂ©rentes possibilitĂ©s. Si le travailleur dĂ©sire que son milieu de travail ne soit pas informĂ© de sa volontĂ© d’entrer en formation, il existe des cours organisĂ©s en dehors du temps de travail en soirĂ©e ou parfois le samedi matin. Si le travailleur a la possibilitĂ© d’informer son employeur de sa volontĂ© de se former, il peut bĂ©nĂ©ficier des avantages du congĂ©-Ă©ducation payĂ©, qui permettent de suivre la formation en journĂ©e et de s’absenter du travail tout en maintenant la rĂ©munĂ©ration normale payĂ©e au moment habituel ; ou de suivre la formation en soirĂ©e et de pouvoir rĂ©cupĂ©rer les heures suivies en formation pendant le temps de travail. L’employeur bĂ©nĂ©ficiera d’un remboursement par heure de congĂ©-Ă©ducation prestĂ©e pour suivre la formation. Certaines formations destinĂ©es aux travailleurs sont organisĂ©es de manière collective, en collaboration avec les organisations syndicales et les employeurs, via des nĂ©gociations de conventions, ou via une participation d’un fonds sectoriel de formation. Est-ce que venir en formation peut entrainer des ennuis ? Non. Cependant, pour les apprenants qui suivent les cours dans une association reconnue comme OISP ou CISP et qui ont signĂ© un contrat de formation avec le Forem ou Bruxelles Formation, il est important de veiller Ă bien assurer tous les suivis administratifs nĂ©cessaires, notamment auprès des organismes payeurs, en vue d’éviter des difficultĂ©s et des retards de payement. De plus, pour ces apprenants, il importe de respecter le contrat signĂ©, notamment en ce qui concerne les procĂ©dures de rupture de ce contrat. Peut-il arriver de refuser quelqu’un ou d’exclure une personne des cours ? Les associations sont Ă priori ouvertes Ă toute personne, sans discrimination. Des personnes peuvent cependant ĂŞtre refusĂ©es », et seront alors rĂ©orientĂ©es dans la mesure du possible s’il n’y a pas de place ; si, après l’entretien d’accueil, il s’avère que l’offre de l’association ne rĂ©pond pas Ă la demande de la personne niveau trop Ă©levĂ©, etc. ; s’il s’avère que la personne n’est pas prĂŞte Ă accepter les règles de fonctionnement de l’association telles que le travail en groupe, la mixitĂ©, etc. MĂŞme si toute exclusion est un Ă©chec, il peut effectivement arriver qu’un opĂ©rateur soit amenĂ© Ă mettre fin Ă la formation d’une personne qui ne respecterait pas les règles de civilitĂ© Ă©lĂ©mentaires vol, violence… ou dont les problĂ©matiques ne peuvent ĂŞtre prise en charge par l’association assuĂ©tudes…. Le plus souvent, l’opĂ©rateur a dĂ©fini ces conditions dans un règlement ». En savoir plusOĂą peut-on trouver des informations supplĂ©mentaires ?En Belgique francophone Ailleurs sur le prĂ©sent site. Sites web nourris par des opĂ©rateurs d’alphaÂbĂ©tisation ou les pouvoirs publics en charge de la question Bibliothèques publiques et alphaÂbĂ©tisation ComitĂ© de pilotage sur l’alphaÂbĂ©tisation des adultes Lire et Écrire Ă©dite une lettre Ă©lectronique d’information mensuelle Ă l’intention des acteurs et sympathisants du secteur. Pour vous y abonner, introduisez votre adresse e-mail dans le formulaire prĂ©sent en bas de chaque page de notre site web. Lire et Écrire publie le Journal de l’alpha quatre fois par an pour informer les intervenants du secteur et susciter des dĂ©bats pĂ©dagogiques et politiques liĂ©s Ă l’alphaÂbĂ©tisation des adultes. Lire et Écrire a publiĂ© un Cadre de rĂ©fĂ©rence pĂ©dagogique pour l’alphabĂ©tisation, document tĂ©lĂ©chargeable sur ce site dès la fin de l’annĂ©e 2017. Chaque annĂ©e, dans le cadre de l’accord de coopĂ©ration sur l’alphaÂbĂ©tisation des adultes conclu entre la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles, la RĂ©gion wallonne et la Commission communautaire française de la RĂ©gion de Bruxelles-Capitale, le ComitĂ© de pilotage permanent sur l’alphaÂbĂ©tisation des adultes Ă©dite un État des lieux de l’alphaÂbĂ©tisation en FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles. On y trouve de multiples informations sur les actions d’alphaÂbĂ©tisation, leurs enjeux et l’analyse des politiques menĂ©es. On peut aussi y lire la prĂ©sentation d’initiatives spĂ©cifiques et l’analyse des enjeux et des politiques menĂ©es, etc. Ces brochures sont tĂ©lĂ©chargeables sur le site du ComitĂ© de pilotage sur l’alphaÂbĂ©tisation des Flandre De federatie Centra voor basiseducatie fĂ©dĂ©ration des Centres d’éducation de base Ă©dite un site les pays francophones industrialisĂ©s en France ANLCI Agence nationale de lutte contre l’illettrisme en Suisse Association Lire et Écrire au QuĂ©bec Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition fĂ©minineEn Europe Lire et Écrire et 15 partenaires ont participĂ© au rĂ©seau europĂ©en de l’alphaÂbĂ©tisation Eur-Alpha, dont l’ensemble du travail et des actions rĂ©alisĂ©es entre 2009 et 2012 est disponible en le monde L’Unesco a créé un Portail de l’alphaÂbĂ©tisation. On y trouve de nombreux documents sur l’analyse de l’analphaÂbĂ©tisme dans le monde, les statistiques internationales, les enjeux de l’alphaÂbĂ©tisation, la prĂ©sentation et l’analyse des politiques et des orientations pĂ©dagogiques, et de nombreuses recherches dans le plus… Pour vous aider dans vos recherches et dĂ©couvrir une documentation riche et dĂ©taillĂ©e, le Centre de documentation du Collectif Alpha vous ouvre ses portes et son site web. Si une de vos questions n’a pas trouvĂ© de rĂ©ponse… N’hĂ©sitez pas Ă nous contacter.
Un article scientifique ou publication scientifique ou article de recherche est un travail académique basé sur une recherche originale, contenant une analyse et une interprétation de la part de l’auteur. Les articles scientifiques demandent souvent beaucoup de travail et sont publiées dans des revues scientifiques ! Nous avons créé un guide, étape par étape, pour vous aider à écrire votre article scientifique. Attention un article scientifique ne doit pas contenir de fautes ! Scribbr est là pour relire et corriger votre article avant publication. Table des matières1. Comprendre l’exercice de l’article scientifique2. Comprendre votre audience3. Choisir un sujet de recherche pour votre article scientifique4. Effectuer les recherches préliminaires pour un article scientifique5. Développer un énoncé de recherche6. Créer un plan de recherche7. Structurer les paragraphes8. Écrire un brouillon de l’article scientifique9. Écrire une introduction10. Écrire un développement convaincant11. Écrire une conclusion11. Écrire une deuxième version12. Le processus de relecture et correction 1. Comprendre l’exercice de l’article scientifique Réussir un devoir, c’est avant tout comprendre les consignes. Vous devez avoir correctement compris le sujet et les critères d’évaluation. Voici quelques conseils Lire attentivement les consignes, en cherchant les points que vous ne comprenez pas et qui peuvent nécessiter des explications de la part de votre professeur. Identifier le but de l’article scientifique, la date de la remise, la taille demandée, ainsi que les méthodes de formatage et de soumission du document. Il est important de prendre en compte… Votre échéance soyez réaliste et organisez votre temps autour de la recherche, la rédaction, ainsi que la relecture et correction du document. Le nombre limite de mots travaillez sur un sujet précis et spécifique pour éviter de vous perdre dans trop d’informations. L’objet de votre recherche il est primordial d’identifier l’objectif de votre article scientifique dès que possible. Vous pouvez par exemple souhaiter informer, persuader ou encourager à poursuivre un certain type d’actions. 2. Comprendre votre audience Lorsque vous vous demandez comment écrire un article scientifique, vous devez penser à vos lecteurs. Leur niveau de connaissance va influencer votre style d’écriture, le choix des mots et la quantité de détails que vous allez ajouter à l’explication des concepts. Un article scientifique est généralement adressé à une audience d’experts, bien qu’il soit possible que vous souhaitiez le rendre accessible à une audience plus large. Audience Comment écrire un article scientifique Générale Éviter les termes techniques ou, si vous les utilisez, inclure une définition. Éviter de donner trop de détails. Utiliser des phrases et mots simples et courts. Expliquer l’argument de manière simple ; souligner la logique de l’argument. Être informatif. Utiliser des exemples pour clarifier les points importants. Experts Ne pas sur-expliquer les termes techniques communs et les informations contextuelles évidentes. Justifier vos affirmations avec prudence. Être nuancé dans vos propos. Exposer votre connaissance de la littérature ; les experts remarquent immédiatement si vous ne mentionnez pas certains points. Quel est votre taux de plagiat ? En 10 minutes, vous pouvez savoir si vous avez commis du plagiat et comment l’éliminer. La technologie de Turnitin Un résumé de toutes les sources trouvées Une comparaison avec une base de données énorme Faites la détection anti-plagiat 3. Choisir un sujet de recherche pour votre article scientifique Il existe plusieurs manières de trouver une idée pour un article scientifique les sessions de brainstorming en écrivant des notes, une discussion avec un camarade, un entretien avec un professeur, … à vous de trouver la meilleure manière ! L’écriture libre Vous pouvez aussi essayer l’écriture libre pour votre article scientifique partir d’un sujet générique et d’écrire sans s’arrêter pendant deux ou trois minutes afin d’identifier tout ce qui peut s’y rattacher et ce qui peut être intéressant à analyser. Les recherches effectuées par autrui Vous pouvez aussi vous inspirer d’autres recherches. Les parties dédiées à la discussion ou aux recommandations à la fin des articles scientifiques incluent souvent des idées de recherche dans des domaines spécifiques. Votre sujet Une fois que vous avez établi votre domaine principal d’investigation, réduisez-le pour choisir un sujet qui vous intéresse ; est original ; rempli les critères de votre devoir ; se réfère à assez de ressources pour mener à une recherche convenable. Attention N’oubliez pas que le sujet de votre article scientifique doit être à la fois original et précis. Un devoir décrivant la chronologie de la Seconde Guerre mondiale ne sera ni suffisamment original ni précis. Un devoir analysant l’expérience des citoyens danois vivant à la frontière avec l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale serait suffisamment précis et original ; c’est là que les étapes d’après entrent en jeu. 4. Effectuer les recherches préliminaires pour un article scientifique Notez toutes les discussions qui semblent se rapporter à votre sujet, et essayez de trouver un problème sur lequel vous pouvez vous concentrer. Utilisez différents types de sources, comme des revues académiques, des livres, et des sites Internet fiables. Ne vérifiez pas seulement les idées que vous avez en tête, pensez aussi à rechercher des sources qui contredisent votre hypothèse. Y a-t-il des éléments que les auteurs de vos sources négligent ? Y a-t-il un débat académique auquel vous pourriez répondre ? Avez-vous un avis original sur le sujet ? Y a-t-il eu des développements récents se trouvant dans des travaux de recherche publiés ? Vous trouverez sûrement utile de formuler des questions de recherches ou hypothèses pour vous aider et vous guider dans votre recherche préliminaire. Cette étape vous aide à déterminer les éventuels défauts de votre argumentation. Si vous trouvez un défaut, vous pouvez ajuster votre argumentation ou sujet. 5. Développer un énoncé de recherche Dans un énoncé de recherche vous faite une déclaration de votre argument principal. Il établit le but et la position de votre recherche dans votre article scientifique. Si vous avez commencé par une question de recherche ou une hypothèse, il est nécessaire que l’énoncé y réponde. Il doit aussi expliquer les sources et le raisonnement utilisés pour répondre à cette question. L’énoncé se doit d’être concis et de contester, ou au moins d’articuler, certains aspects de la littérature, tout en restant cohérent. Il doit brièvement résumer votre argument en une phrase ou deux ; faire une déclaration qui nécessite de plus amples justifications ou analyses ; présenter l’objet générique qui concernera toutes les parties de la recherche. Vous devrez probablement vérifier et affiner votre énoncé au fil de vos recherches, mais il peut vous servir de guide durant tout le processus d’écriture de l’article scientifique. Chaque paragraphe est sensé soutenir et développer votre objectif de recherche principal. 6. Créer un plan de recherche Un plan de recherche fonctionne comme guide à utiliser lors du processus d’écriture de l’article scientifique. C’est une liste de sujets clés, arguments et preuves que vous aborderez, divisée en sections, avec leurs propres titres, de manière à ce que tout soit planifié avant de commencer la rédaction. Un plan de recherche vous aide à rendre le processus d’écriture plus efficace. Il est donc important de prendre du temps pour le construire. 7. Structurer les paragraphes Les paragraphes constituent les blocs principaux de votre article scientifique. Chaque paragraphe doit comporter une affirmation ou idée qui nourrisse l’argument ou l’objectif principal de votre travail. Voilà ce à quoi un paragraphe doit ressembler L’essai de 1946 de George Orwell intitulé La Politique et la Langue Anglaise a eut un impact profond sur notre manière de penser la relation entre la politique et le langage. Cet impact est particulièrement évident si l’on décompte les articles académiques qui ont récemment fait référence à cet essai. Par exemple, dans son article de 2009 de la revue The National Review Online, intitulé La Perversion du Langage ; ou, Orwell Revisité, Mark Falcoff analyse plusieurs noms communs activiste », leader en droits civils », diversité », et d’autres. L’analyse de Falcoff concernant l’ambiguïté présente dans le langage politique reflète intentionnellement l’analyse orwellienne du langage politique de son temps. Même 63 ans après sa publication, l’essai d’Orwell continue d’émuler la recherche contemporaine. 8. Écrire un brouillon de l’article scientifique Une première version ne doit pas être la dernière. Il vous faut l’améliorer par la suite. Les objectifs principaux à ce moment de la rédaction sont de Transformer vos idées en arguments. Ajouter des détails à ces arguments. Comprendre plus précisément quel sera le résultat final. Astuce Vous n’êtes pas obligé de commencer par écrire l’introduction de votre devoir. Commencez par écrire ce qui vous paraît être le plus naturel. Certaines personnes préfèrent écrire les parties les plus difficiles d’abord, alors que d’autres préféreront commencer avec les parties plus simples. Si vous avez fait un plan de recherche, vous pouvez l’utiliser comme guide lors de la rédaction de l’article scientifique, afin de ne rien oublier ! Ne supprimez pas les parties rédigées si elle ne vous convient plus, mais copiez-la dans un document différent. Elle pourrait vous être utile par la suite ! Voici ce qu’il faut avoir en tête au moment de l’écriture de la première version de votre article scientifique Maintenez votre rédaction écrivez tant que vous avez des idées, perfectionnez plus tard. Réfléchissez bien à une organisation claire et un ordre logique pour vos paragraphes et phrases. Cela vous aidera au moment de rédiger une seconde version. Exprimez vos idées aussi clairement que possible, afin de bien vous rappeler de ce que vous vouliez dire au moment d’améliorer le brouillon. Gardez vos arguments flexibles. Soyez prêt à changer ou même abandonner certains arguments si besoin. Si vous restez bloqué sur une partie, passez à une autre et revenez-y plus tard. Citez vos citations n’ont pas besoin d’être parfaites à ce moment de la rédaction, mais vous gagnerez du temps en incluant certains éléments essentiels comme le nom de l’auteur, l’année de publication et le numéro de page. 9. Écrire une introduction L’introduction d’un article scientifique répond généralement à trois questions Quoi ? Pourquoi ? Comment ? Dans un mémoire, thèse ou dissertation, l’introduction a des exigences précises sur ce qu’il faut y inclure. Pour un article scientifique, l’introduction sert d’accroche. Elle permet d’établir pour les lecteurs ce qu’ils savent déjà , tout en dévoilant des informations sur votre objectif. N’oubliez pas, l’introduction d’un article scientifique doit être concise et ne présenter aucun argument. Quoi ? Soyez spécifiques sur le sujet. Présentez le contexte et définissez les concepts clés, termes, théories et détails historiques pertinents à votre sujet. Si vous écrivez un article scientifique plus long avec un résumé de la littérature existante, vous devez aussi expliquer comment votre sujet rentre dans le cadre de ce champ de recherche. Pourquoi ? C’est la partie la plus importante, mais aussi la plus difficile, de votre introduction. Essayez de donner des réponses courtes au questions suivantes Quelles nouvelles connaissances ou informations apportez-vous ? Quels sont les problèmes importants auxquels votre argument répond ? Comment ? Le lecteur doit savoir comment votre devoir va s’articuler. C’est pourquoi l’introduction doit inclure une sorte de guide de ce qui sera abordé et doit présenter les éléments clés du devoir dans l’ordre chronologique. 10. Écrire un développement convaincant La partie la plus compliquée de l’écriture d’un article scientifique réside dans l’organisation des informations et des idées exposées. C’est l’une des raisons pour lesquelles un plan de recherche est vraiment utile. Cependant, rappelez-vous que le plan est seulement un guide et, lors de la rédaction, vous pouvez être flexible sur l’ordre dans lequel vous présentez l’information et vos arguments. L’une des manières de rester sur la bonne voie est d’utiliser votre énoncé de recherche et des phrases à thème en début de paragraphe pour résumer l’idée qu’il contient. Vérifiez les phrases à thème contre votre énoncé de recherche ; les phrases à thème entre elles, pour remarquer les similarités et l’ordre logique du document ; et chaque phrase du paragraphe par rapport à la phrase à thème. Après avoir écrit une première version, réduisez vos paragraphes en phrases. Essayez d’identifier les paragraphes qui semblent couvrir les mêmes aspects. Si deux paragraphes abordent des sujets similaires, ils doivent analyser le sujet de manières différentes. Vérifiez que les transitions entre paragraphes se font naturellement. 11. Écrire une conclusion La conclusion permet d’extraire l’argument principal de l’article scientifique, donnant un sens de finalité à l’article. Retracez l’évolution du document en mettant l’accent sur la manière dont vous avez articulé les différents éléments pour apporter des arguments qui soutiennent votre hypothèse. Pour donner un sens de finalité à votre devoir, assurez-vous que le lecteur comprenne comment votre article a répondu aux problèmes soulevés dans l’introduction. Résumez le quoi, pourquoi et comment, et essayez de démontrer en quoi les idées clés présentées dans l’introduction servent à renforcer l’argument que vous essayez d’établir. Vous pouvez aussi discuter des conséquences plus générales de votre argumentaire et exposer, dans les grandes lignes, les possibilités de futures recherches offertes par votre argumentaire et mentionner les questions que votre article soulève, mais auxquelles il ne répond pas. Les point à éviter dans la conclusion Apporter de nouveaux arguments ou informations essentielles. Prendre plus de place que nécessaire. Commencer par des phrases qui signalent que votre article scientifique touche à sa fin. 11. Écrire une deuxième version Il y a quatre points importants lors de la rédaction d’une deuxième version Vérifiez que votre thème principal s’aligne avec la première version et, encore plus important, que votre devoir répond toujours aux consignes et aux questions posées. Identifiez toutes les hypothèses qui peuvent nécessiter de plus amples justifications, en gardant à l’esprit la perspective du lecteur. Si certaines hypothèses ne sont pas claires, mais qu’il est impossible de mieux les expliquer, retirez-les simplement de votre document. Soyez ouvert à l’idée de réarranger vos idées. Assurez-vous que chaque section soit à sa place et décidez si vous pouvez mieux organiser vos idées. Si vous trouvez que des idées ne sont plus pertinentes, vous devez les retirer ou au moins réduire la place qu’elles prennent dans votre argumentation. Vous aurez aussi éventuellement trouvé de nouvelles idées plus adaptées à votre sujet lors de la rédaction de la première version. C’est maintenant qu’il faut les intégrer à votre devoir. 12. Le processus de relecture et correction Assurez-vous que vous ayez complété toutes les tâches nécessaires et que votre devoir soit aussi bien articulé que possible. La relecture globale Vérifiez que votre devoir remplisse chaque consigne spécifiée. Vérifiez la logique de l’organisation et la fluidité de vos paragraphes. Vérifiez chaque paragraphe par rapport à l’introduction et l’énoncé de recherche. Astuce Scribbr peut vous aider pour cette partie avec nos services de relecture et correction, vérification de la clarté et vérification de la structure. La relecture détaillée Vérifiez le contenu de chaque paragraphe, en vous assurant que Chaque phrase aide à soutenir l’argument principal du paragraphe. Aucune information superflue ou hors de propos ne soit présente. Tous les termes techniques que votre audience ne connaisse pas soient identifiés. Ensuite, pensez à la manière dont vos phrases sont articulées, aux erreurs grammaticales et à la mise en page. Cherchez bien les fautes de frappe, retirez les mots inutiles et vérifiez la cohérence de vos titres et orthographe. Voici quelques conseils pour être sure de ne passer à côté d’aucune erreur Lisez votre document à voix haute. Cela vous force à lire plus lentement et à regarder de plus près chaque mot. Changez la police, car cela aide à repérer les erreurs en rendant votre texte moins familier à vos yeux. Révisez une version imprimée. Suivez chaque mot avec un stylo ou crayon. Faites lire le document à quelqu’un d’autre et demandez-lui de prendre des notes sur le document.
Télécharger l'article Télécharger l'article Il vous est déjà peut-être arrivé de devoir produire un essai en peu de temps pour un examen qui a été programmé, comme à un test d'entrée au lycée. À d'autres moments, vous pourriez vous retrouver dans une situation embarrassante qui vous oblige à en finir rapidement avec une dissertation parce que vous l'auriez reporté à plusieurs reprises ou parce que vous vous seriez laissé surprendre. Bien qu'un essai écrit en dernière minute ne soit jamais aussi bon qu'une rédaction sur laquelle vous avez passé plus de temps, produire rapidement un essai appréciable est encore possible. Avec un peu de planification et beaucoup de durs labeurs, vous pourrez écrire un très bon ou si vous le préférez assez bon ! essai en une courte période. 1 Développez un plan. Prenez en compte le délai que vous avez pour finir votre dissertation et développez un plan de rédaction sur cette base. Cela vous aidera à déterminer le temps que vous passerez sur chaque partie de la rédaction et de suivre aussi les différentes consignes. Soyez honnête à propos de vos forces et faiblesses pendant que vous élaborez votre plan [1] . Par exemple, si vous êtes excellent dans les recherches, mais moins bon en matière de rédaction, passez moins de temps quand viendra le moment de faire les recherches afin de consacrer plus de temps pour la correction. Assurez-vous de prévoir des pauses pour vous même afin de rafraichir le cerveau et vous rechargez. Un exemple de plan pour un projet de rédaction d'essai en un jour pourrait ressembler à ceci 8 h – 9 h 30 – trouvez une problématique et un argument pour le sujet 9 h 30 – 9 h 45 – prenez une courte pause 10 h – 12 h – faites les recherches 12 h – 13 h – élaborez le plan de l'essai 13 h – 14 h– prenez la pause déjeuner 14 h – 19 h – rédigez votre essai 19 h – 20 h – prenez la pause repas 20 h – 22 h 30 – corrigez et éditez votre essai 22 h 30 – 23 h – imprimez et préparez le dépôt de votre travail [2] 2 Examinez la problématique. Vous pourriez connaitre le sujet lorsque votre enseignant vous demande une rédaction à faire, mais même si ce n'est pas le cas, examinez en premier lieu la question et les différentes manières dont vous pouvez argumenter le sujet. Faire cette première réflexion vous orientera non seulement vers les recherches appropriées, mais cela vous aidera aussi à évoluer plus rapidement dans le processus de rédaction [3] . Assurez-vous de comprendre la problématique. Si vous faites un résumé alors que le sujet vous demande de faire une analyse », il est peu probable que vous réussissez le sujet. Si vous n'avez pas un sujet de rédaction, trouvez une discipline qui vous intéresse et examinez ensuite la problématique de la dissertation. Vous êtes plus à même de faire une très bonne rédaction sur un sujet qui présente pour vous un intérêt. 3 Développez vos arguments ou vos thèses. Votre argument ou votre thèse est le point de vue que vous défendez dans votre dissertation à travers des exemples et des analyses. Développez votre argument pour orienter votre recherche et accélérer la rédaction [4] . Si vous n'avez pas trop d'expériences avec votre thème, il pourrait être difficile de développer un argument. Vous pouvez encore analyser votre discussion et ensuite utiliser votre recherche pour soutenir ou réfuter les idées que vous souhaiterez émettre. Un bon exercice pour vous aider à trouver rapidement la problématique et l'argument de votre essai est d'écrire ceci J'étudie choisir un sujet parce que je veux mieux comprendre ce que vous voulez savoir dans l'optique de montrer c'est le moment de développer les arguments » [5] . En voici un exemple. J'étudie les procès de sorcières à l'époque médiévale parce que je veux comprendre comment les avocats utilisaient les preuves dans leurs procès en vue de démontrer que le processus judiciaire influençait les pratiques juridiques et celles de la médecine moderne » [6] . Examinez les contre-arguments en vue de renforcer votre dissertation. 4 Recherchez votre sujet de dissertation. Vous aurez besoin de rechercher de manière stratégique votre sujet afin de trouver des idées qui vous aideront à construire votre argument et à former le corps du devoir. Il existe plusieurs sources que vous pouvez utiliser pour les recherches, notamment les journaux et les archives de journaux en ligne et les sources primaires à la bibliothèque [7] . Étant donné que vous n'avez pas beaucoup de temps pour écrire, concentrez-vous sur une option ou deux pour faire vos recherches. Par exemple, Internet et les bibliothèques offrent assez d'informations utiles [8] . Assurez-vous que vous utilisez des sources fiables, comme les revues scientifiques, les sites web des universités ou du gouvernement et des journaux et magazines écrits par des professionnels. N'utilisez pas les blogs personnels, qui sont évidemment des sources biaisées ou des sources n'ayant pas des qualifications professionnelles. Vous pouvez puiser les informations dont vous disposez pour accélérer le processus de recherche. Trouvez simplement une source mais fiable pour étayer votre essai et ajoutez-la dans votre devoir [9] . Faire les recherches préliminaires en ligne peut vous conduire vers des sources dans une bibliothèque comme des articles de journaux ou des livres. Cela peut également vous orienter vers des sources en ligne comme des archives d'articles de journaux ou d'autres recherches sur votre sujet. Si vous lisez des livres, videz » le livre pour le parcourir rapidement et évoluez vers les autres sources. Pour y arriver, essayez de parcourir l'introduction et la conclusion pour trouver les arguments principaux, puis puisez quelques détails du corps du livre pour les utiliser comme preuves [10] . Prenez des notes sur les sources de vos recherches. Ces dernières montreront que vous avez légitimement fait des recherches sur le sujet, tout en reconnaissant le mérite de l'auteur des idées [11] . Cela est spécialement important si vous planifiez d'utiliser les citations directes et vous aidera également à ajouter des renvois et des informations bibliographiques à votre dissertation sans que le lecteur ait à consulter les sources. 5 Écrivez les grandes lignes de votre essai. Élaborez les grandes lignes de votre essai pour vous guider pendant le processus de rédaction. En le structurant sous la même forme que votre essai et en ajoutant des exemples, vous simplifierez et accélèrerez le processus de rédaction. Vous pourrez également identifier toute partie ayant besoin d'un meilleur développement [12] . Structurez votre plan, tout comme vous le feriez avec votre essai en utilisant une introduction, un corps et une conclusion. Plus vous détaillez votre sommaire, plus facilement et rapidement vous pourrez écrire votre essai. Par exemple, au lieu d'écrire un simple paragraphe pour le corps de la rédaction, étoffez-le avec de gros points ou des phrases qui présentent les arguments et les éléments probants [13] . Publicité 1 Définissez le nombre d'heures qui sera consacré à la rédaction. Procéder ainsi peut vous aider à écrire plus rapidement, car cela vous met la pression pour faire le travail. Aménagez votre environnement de travail pour éviter toute distraction pendant ce temps et pour écrire plus librement [14] . Rien ne vous empêchera de finir un essai à la date prévue, à moins que vous passiez tout votre temps en ligne ou devant la télévision. Éteignez la télévision, mettez votre téléphone en mode silencieux et déconnectez-vous de Facebook ou d'autres sites de média sociaux. Assurez-vous d'avoir tout votre matériel à côté quand vous commencez la rédaction. Vous lever chaque fois pour chercher un livre, un bout de papier ou un casse-croute ne vous fera perdre que votre temps précieux. 2 Rédigez votre introduction de façon à séduire votre lecteur. L'introduction signifie exactement ce que le mot veut dire elle explique au lecteur ce que vous vous apprêtez à dire dans la dissertation. L'introduction se doit d'être captivante et tirer l'attention de vos lecteurs tout en les incitant à lire le reste de votre travail [15] . La partie la plus importante de votre introduction est l'énonciation de la thèse. Cela informe le lecteur du point de vue que vous aurez à développer dans l'essai [16] . Produisez un texte accrocheur » qui capte l'attention du lecteur dès le début, puis introduisez l'argument avec quelques faits imaginaires sous une forme narrative. Finissez en explicitant la manière dont vous allez défendre votre point de vue [17] . Un exemple pourrait être ceci Pour beaucoup, Napoléon avait un complexe à cause de sa taille, mais il avait en réalité la taille moyenne de la plupart des gens à cette époque. » Il est parfois plus facile de faire l'introduction après la rédaction du corps de la dissertation. Cela vous donnera l'avantage de mieux savoir comment introduire le sujet ainsi que vos arguments [18] . Une bonne astuce est de ne pas rédiger une introduction qui fait plus de 10 % de la longueur totale de votre essai. Par conséquent, pour un essai de cinq pages, vous ne devrez pas écrire une introduction de plus d'un paragraphe [19] . 3 Rédigez le corps du devoir. Le corps de votre essai comportera les points substantiels qui soutiennent votre thèse ou vos arguments. Analysez deux ou trois points principaux pour renforcer votre argumentaire et ajouter plus de mots à l'ensemble de votre texte [20] . Choisissez deux ou trois points principaux pour vous aider à faire votre argumentaire et votre thèse. Moins que ce nombre et vous n'aurez pas assez de preuves pour étayer vos arguments et dans le temps en avoir un peu plus pourrait vous empêcher d'explorer minutieusement chaque point [21] . Gardez vos exemples pour soutenir de façon concise les points principaux. Évoquer de longues explications tout en digressant dans le sujet vous fera perdre votre temps précieux [22] . Soutenez vos points principaux avec les évidences compilées pendant votre recherche. N'oubliez pas d'expliquer la façon dont la preuve soutient vos opinions [23] . Si vous n'avez pas atteint votre limite de mot, choisissez un point principal et conduisez vos recherches sur cela afin de développer vos opinions [24] . 4 Écrivez aussi clairement que possible. Si vous rédigez très rapidement, cela vous simplifierait le processus de rédaction en écrivant de simples phrases sans vous focaliser sur les structures grammaticales complexes. Cela rend aussi moins probable l'utilisation de façon impropre d'un langage alambiqué [25] . Évitez d'expliquer longuement vos arguments. Les textes qui incluent de longues phrases prépositionnelles, des verbes passifs et des paragraphes qui ne font pas avancer vos arguments vous feront perdre le temps que vous deviez utiliser pour écrire ou réviser votre essai [26] [27] . 5 Donnez-vous la possibilité d'écrire librement pour optimiser votre temps. Il est plus facile de faire le brouillon de votre texte et ensuite de le rédiger que de travailler sans utiliser un brouillon. En écrivant librement, vous êtes certain d'avoir un texte sur lequel vous pouvez faire de petits ajustements pendant la phase de révision[28] . Cela peut également vous aider à surmonter le blocage que rencontrent généralement les écrivains et qui n'est qu'une conséquence du fait de ne pas savoir comment » dire une chose. Si vous avez une difficulté à avoir la formulation correcte d'une idée, écrivez-la du mieux que vous pouvez et revenez là -dessus plus tard. 6 Rédigez la conclusion. Tout comme l'introduction, la conclusion signifie exactement ce que le mot veut dire mettre un terme au devoir. Elle fournit un résumé de vos arguments élémentaires et doit laisser une forte impression de votre travail au lecteur [29] . Votre conclusion doit également être relativement courte. Efforcez-vous de donner à votre conclusion une proportion de 5 à 10 % de la taille totale de votre essai. Tâchez de renchérir votre conclusion plutôt que de juste réaffirmer votre thèse et vos preuves. Cela pourrait vous permettre de cibler les limites de vos arguments, suggérer une perspective pour les futures recherches ou développer l'importance de votre sujet à un champ plus vaste. Tout comme vous avez accroché le lecteur avec une bonne introduction, terminez votre conclusion avec une phrase qui aura un effet à long terme sur votre lecteur [30] . 7 Révisez et relisez votre dissertation. Aucune rédaction n'est parfaite si elle est entachée de fautes. En révisant et en relisant votre travail, vous vous assurez que cet essai que vous composez dans la rapidité ne contient aucune erreur flagrante. Il est tout aussi important de réviser et de relire le texte afin de laisser une bonne impression à vos lecteurs. Relisez l'entièreté de l'essai. Assurez-vous de soutenir votre opinion du début jusqu'à la fin de la dissertation. Si vous ne l'aviez pas fait, essayez d'apporter quelques modifications à votre thèse. Vérifiez que vos paragraphes sont construits l'un sur l'autre et ne donnent pas l'impression d'être désordonnés. Vous pouvez faire usage des transitions et de solides phrases pour vous aider à construire les connexions entre vos paragraphes. Les erreurs d'orthographe et de grammaire sont les plus simples à corriger, mais elles vous coutent la bonne volonté du lecteur si vous ne les rectifiez pas [31] . Publicité 1 Planifiez votre travail. Quand bien même vous aurez quelques heures pour rédiger cet essai, prendre quelques moments au début pour développer un plan rapide vous aidera à donner le meilleur de vous-même dans la rédaction. Lisez soigneusement votre devoir. Si la question est de prendre position, prenez-en une. Si l'on vous demande d'évaluer les évènements qui ont conduit à la chute de Rome, ne vous limitez pas à l'histoire romaine [32] . Dressez une liste d'idées. Vous n'aurez probablement pas le temps de faire un plan formel. Toutefois, avoir une idée des points principaux que vous voulez aborder et de la façon dont elles sont liées vous aidera à structurer votre essai. Si vous ne pouvez pas déterminer comment relier vos idées principales, sachez que vous devez réfléchir un peu plus avant de commencer la rédaction. Trouvez vos arguments. Une fois que vous avez noté quelques idées principales, cherchez à connaitre leurs contenues. Même pour les essais programmés, vous devez présenter des arguments ou des thèses cohérentes. 2 Chronométrez votre rédaction de façon stratégique. Si vous devez répondre à plus d'une question dans un délai bien déterminé, donnez-vous assez de temps pour les écrire tous. C'est également une bonne idée de prendre connaissance des points réservés pour chaque question. Par exemple, vous ne passerez pas la même quantité de temps et le même effort sur un sujet à trois paragraphes qui compte pour 20 % des points, alors que vous pourriez avoir 60 % des points pour un sujet à 2 paragraphes. Si vous tombez sur une question qui vous semble plus difficile, l'idéal est de commencer par cette dernière. Cela vous permettra d'éliminer le plus gros problème pendant que vous avez encore la tête fraiche. 3 Limitez les futilités. Trop souvent, les étudiants commencent à développer leurs idées après avoir passé un paragraphe entier sur des généralisations inutiles. Particulièrement dans les essais programmés, c'est vraiment important d'aborder directement vos arguments principaux et de les accompagner d'exemples. S'éterniser sur l'introduction peut vous prendre tout votre temps. Si vous constatez que votre paragraphe introductif commence avec une idée vague ou trop générale, comme ceci À travers l'histoire des âges, les humains ont été fascinés par la science » arrêtez aussitôt. Dans ce genre d'essai, ne mettez rien qui ne soutient pas votre point de vue. Si vous parlez de l'importance des pensées religieuses dans la société moderne, ne diluez pas votre idée en faisant aussi référence au socialisme, à Hollywood et à la production de banane. 4 Expliquez les liaisons entre les exemples et les arguments. Un problème commun avec les dissertations, en particulier celles produites sous pression, c'est que les étudiants présentent souvent des exemples sans expliquer leurs liens avec leurs idées maitresses. Essayez de suivre pour chaque paragraphe ce format-ci idée-exemple-explication. L'idée il s'agit de l'argument principal du paragraphe. Il est probablement situé dans votre phrase principale. Les exemples ce sont les détails qui soutiennent et prouvent votre affirmation. L'explication cette partie permet de faire le lien entre les parties précédentes et explique pourquoi l'exemple prouve tout ce que vous avez dit. Si une phrase dans votre paragraphe ne correspond pas à l'un de ces trois éléments, cela montre que vous n'en avez pas besoin. 5 Prévoyez le temps de correction. Même dans les cas où le temps de livraison du devoir est fixé, vous devrez prévoir le temps de correction. Cela va au-delà d'une simple rectification des erreurs mineures et celles d'orthographe. Revoyez tout votre travail. Est-ce que votre essai démontre et soutient effectivement ce que dit votre thèse ? Vous pourriez avoir d'autres idées pendant votre rédaction. Si cela arrivait, améliorez votre thèse en conséquence. Faites en sorte que les paragraphes soient fluides et cohérents. Les essais pour lesquels la date est fixée ne suivent pas les mêmes règles que les dissertations ordinaires, mais votre lecteur doit être toujours en mesure de suivre votre argumentaire dans une logique de progression sans avoir le sentiment de planer ou de se perdre. Faites une conclusion qui récapitule vos arguments. Ne laissez pas votre rédaction sans conclusion. Même si elle est vraiment brève, une conclusion donnera toujours un aspect complet à votre devoir. Publicité Conseils Les mots de transition comme de plus », en effet » et en outre » peuvent vous faciliter les liaisons. Ne remplissez pas trop votre essai. On cherche à lire le plus tôt possible l'essentiel. N'oubliez pas d'indenter systématiquement la première ligne de vos paragraphes. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 15 035 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
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