Cetamour qui nous fait naĂźtre. Revenir Ă  la liste . Fiche technique Format : BrochĂ© Nb de pages : 126 pages Poids : 400 g Dimensions : 15cm X 22cm Date de parution : 15/12/1994 EAN : 9782884130356. Cet amour qui nous fait naĂźtre de Claude Schwab chez Ouverture. Collection(s) : Vivre aujourd'hui. Paru le 15/12/1994 | BrochĂ© 126 pages . Tout public 17.38 € Indisponible. Autourdu toit qui nous vit naĂźtre Un pampre Ă©talait ses rameaux, Ses grains dorĂ©s, vers la fenĂȘtre, Attiraient les petits oiseaux. Ma mĂšre, Ă©tendant sa main blanche, Rapprochait les grappes de Parpenelope le 17 juin 2015 Ă  6 h 42. " (C)omme un toit de feuillage, protection contre la chaleur du jour, refuge et abri contre l'orage et la pluie." A la lecture de ces mots, c'est l'image d'une main, protectrice, bienveillante, une main de feuillage, qui me vient. Autourdu toit qui nous vit naĂźtre Un pampre Ă©talait ses rameaux; Ses grains dorĂ©s, vers la fenĂȘtre, Attiraient les petits oiseaux. Ma mĂšre, Ă©tendant sa main blanche, Rapprochait les grappes de Decodagecordon autour du cou; Est-ce que naĂźtre avec le cordon ombilicale autour du cou signifie quelque chose ? Histoire de cordon ombilical - Reiki Forum; Un cordon sanitaire autour Toutefois ce chapitre se termine par quelques paragraphes d’espĂ©rance ; il fait par exemple allusion aux gestes de solidaritĂ© pendant la crise du Covid-19 quand il dit : « Certes, une tragĂ©die mondiale comme la pandĂ©mie de Covid-19 a rĂ©veillĂ© un moment la conscience que nous constituons une communautĂ© mondiale qui navigue dans le mĂȘme bateau, oĂč le mal de l’un rwZBgw. Une photo une date, c'est Ă  n'y pas croire C'Ă©tait pourtant hier mentirait ma mĂ©moire Et ces visages d'enfants, et le mien dans ce miroir Oh c'est pas pour me plaindre ça vous n'avez rien Ă  craindre La vie m'a tellement gĂątĂ©e, j'ai plutĂŽt du mal Ă  l'Ă©teindre Oh mon Dieu, j'ai eu ma part, et bien plus Ă  tant d'Ă©gards Mais quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces À peine le temps de s'y faire, Ă  peine, on doit laisser la place Si je pouvais Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur Une faveur, comme une fleur, Un souffle, une erreur Un peu de nous, un rien de tout Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards Juste un report, Ă  peine encore, mĂȘme s'il est tard J’ai jamais rien demandĂ©, ça c'est pas la mer Ă  boire Allez, face Ă  l'Ă©ternitĂ©, ça va mĂȘme pas se voir Ça restera entre nous, oh juste un lĂ©ger retard Y'en a tant qui tuent le temps, tant et tant qui le perdent ou le passent Tant qui se mentent, inventent en les rĂȘvant des instants de grĂące Oh je donne ma place au paradis, si l’on m’oublie sur Terre Encore hier Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur Une faveur, comme une fleur, Un souffle, une erreur Un peu de nous, un rien de tout Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards Juste un report, Ă  peine encore, je sais, il est tard C’est pas grand-chose, rien qu’une pause Que le temps, les horloges se reposent Et caresser juste un baiser Un baiser Encore un soir, encore une heure, un peu de nous, un rien de tout Un soir Encore une heure Un peu de nous Un soir Jean-Jacques Goldman Comment Dieu considĂšre-​t-​il la vie ? Que pense Dieu de l’avortement ? Comment montre-​t-​on du respect pour la vie ? 1. Qui a créé toute chose vivante ? “ JÉHOVAH est Dieu en vĂ©ritĂ©, a dit le prophĂšte JĂ©rĂ©mie. Il est le Dieu vivant. ” JĂ©rĂ©mie 1010. Il est aussi le CrĂ©ateur de toute chose vivante. Les crĂ©atures cĂ©lestes lui ont dit “ Tu as créé toutes choses, et Ă  cause de ta volontĂ© elles ont existĂ© et ont Ă©tĂ© créées. ” RĂ©vĂ©lation 411. Dans un chant de louange adressĂ© Ă  Dieu, le roi David a dĂ©clarĂ© “ AuprĂšs de toi est la source de la vie. ” Psaume 369. La vie est donc un don de Dieu. 2. Que fait Dieu pour entretenir notre vie ? 2 De plus, JĂ©hovah entretient notre vie Actes 1728. Il nous donne la nourriture que nous mangeons, l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons et le sol sur lequel nous vivons Actes 1415-17. Il a fait ces choses de façon Ă  ce que la vie soit agrĂ©able. Toutefois, pour profiter au mieux de la vie, nous devons apprendre les lois de Dieu et y obĂ©ir. — IsaĂŻe 4817, 18. MONTRONS DU RESPECT POUR LA VIE 3. Qu’a pensĂ© Dieu du meurtre d’Abel ? 3 Dieu veut que nous respections la vie, tant la nĂŽtre que celle des autres. Remontons Ă  l’époque d’Adam et Ève. Un de leurs fils, CaĂŻn, est entrĂ© en fureur contre son cadet, Abel. JĂ©hovah l’a prĂ©venu que sa colĂšre risquait de l’amener Ă  commettre un pĂ©chĂ© grave. CaĂŻn n’a pas tenu compte de cet avertissement. Il “ se jeta sur Abel son frĂšre et le tua ”. GenĂšse 43-8. JĂ©hovah l’a puni pour avoir assassinĂ© son frĂšre. — GenĂšse 49-11. 4. Comment, dans la Loi mosaĂŻque, Dieu a-​t-​il soulignĂ© de quelle façon il fallait considĂ©rer la vie ? 4 Des siĂšcles plus tard, JĂ©hovah a donnĂ© aux IsraĂ©lites des lois pour les aider Ă  le servir correctement. Du fait qu’elles ont Ă©tĂ© transmises par le prophĂšte MoĂŻse, on appelle parfois l’ensemble de ces lois la Loi mosaĂŻque. Un passage de la Loi mosaĂŻque dit “ Tu ne dois pas assassiner. ” DeutĂ©ronome 517. Cela indiquait aux IsraĂ©lites que Dieu attache du prix Ă  la vie humaine, et que les humains doivent attacher du prix Ă  la vie de leurs semblables. 5. Comment devrions-​nous considĂ©rer l’avortement ? 5 Qu’en est-​il de la vie d’un enfant Ă  naĂźtre ? La Loi mosaĂŻque condamnait quelqu’un qui causait la mort d’un bĂ©bĂ© dans le ventre de sa mĂšre. MĂȘme une vie comme celle-ci est prĂ©cieuse au regard de JĂ©hovah Exode 2122, 23 ; Psaume 1273. Cela signifie que l’avortement est condamnable. 6. Pourquoi ne devrions-​nous pas haĂŻr notre semblable ? 6 Pour respecter la vie, il faut aussi considĂ©rer les autres humains de la bonne maniĂšre. La Bible dit “ Tout homme qui a de la haine pour son frĂšre est un homicide, et vous savez qu’aucun homicide n’a la vie Ă©ternelle demeurant en lui. ” 1 Jean 315. Si nous voulons vivre Ă©ternellement, nous devons arracher de notre cƓur toute haine pour notre semblable, parce que la haine est la plupart du temps la racine de la violence 1 Jean 311, 12. Il est indispensable que nous apprenions Ă  nous aimer les uns les autres. 7. Quelles pratiques constituent un manque de respect pour la vie ? 7 Comment montrer du respect pour notre propre vie ? En temps normal, les humains ne dĂ©sirent pas mourir. Pourtant, certains risquent leur vie pour le plaisir. Par exemple, beaucoup fument ou se droguent pour passer du bon temps. Le tabac et la drogue endommagent l’organisme et mĂšnent souvent Ă  la mort. Quelqu’un qui en consomme ne considĂšre pas la vie comme sacrĂ©e. Ces pratiques sont impures aux yeux de Dieu Romains 619 ; 121 ; 2 Corinthiens 71. Pour le servir d’une façon qui lui soit agrĂ©able, nous devons les abandonner. Ce sera peut-ĂȘtre trĂšs difficile, mais JĂ©hovah peut nous accorder l’aide dont nous aurons besoin. Il apprĂ©cie les efforts que nous faisons pour traiter notre vie comme un don prĂ©cieux de sa part. 8. Pourquoi devons-​nous ĂȘtre toujours scrupuleux sur les questions de sĂ©curitĂ© ? 8 Si nous respectons la vie, nous serons toujours scrupuleux sur les questions de sĂ©curitĂ©. Nous ne serons pas nĂ©gligents et nous ne prendrons pas de risques simplement pour le plaisir ou par goĂ»t des sensations fortes. Nous ne serons pas imprudents au volant, et nous ne pratiquerons pas des sports violents ou dangereux Psaume 115. La loi que Dieu avait donnĂ©e Ă  IsraĂ«l prĂ©cisait “ Si tu bĂątis une maison neuve [avec un toit plat], alors tu devras faire un parapet [un muret] pour ton toit, afin de ne pas mettre de sang sur ta maison parce que quelqu’un qui tombe pourrait en tomber. ” DeutĂ©ronome 228. ConformĂ©ment au principe exposĂ© dans cette loi, maintenez en bon Ă©tat des choses comme les escaliers de votre maison, afin que personne ne trĂ©buche, ne tombe et ne se blesse gravement. Si vous avez une voiture, veillez Ă  ce qu’elle ne reprĂ©sente aucun danger. Votre maison et votre voiture ne doivent faire courir de risque ni Ă  vous, ni aux autres. 9. Comment traiterons-​nous les animaux si nous respectons la vie ? 9 Que dire de la vie d’un animal ? Cette vie aussi est sacrĂ©e pour le CrĂ©ateur. Dieu permet qu’on tue des animaux pour se nourrir et s’habiller, ou pour se protĂ©ger d’un danger GenĂšse 321 ; 93 ; Exode 2128. Mais il est mal de maltraiter ou de tuer des animaux simplement pour se divertir. Cela trahit un total manque de respect pour le caractĂšre sacrĂ© de la vie. — Proverbes 1210. MONTRONS DU RESPECT POUR LE SANG 10. Comment Dieu a-​t-​il montrĂ© qu’il existe un lien entre la vie et le sang ? 10 AprĂšs que CaĂŻn a tuĂ© son frĂšre Abel, JĂ©hovah lui a dit “ Le sang de ton frĂšre crie du sol vers moi. ” GenĂšse 410. En parlant du sang d’Abel, Dieu sous-entendait la vie d’Abel. CaĂŻn lui avait ĂŽtĂ© la vie ; il devait donc ĂȘtre puni. En quelque sorte, le sang d’Abel, sa vie, criait vers JĂ©hovah pour qu’Il fasse justice. Le lien entre la vie et le sang a de nouveau Ă©tĂ© montrĂ© aprĂšs le dĂ©luge. Jusqu’alors, les humains n’avaient mangĂ© que des fruits, des lĂ©gumes et des cĂ©rĂ©ales. AprĂšs le dĂ©luge, JĂ©hovah a dit Ă  NoĂ© et Ă  ses fils “ Tout animal qui se meut et qui est vivant pourra vous servir de nourriture. Comme pour la vĂ©gĂ©tation verte, oui je vous donne tout cela. ” Toutefois, il a imposĂ© cette restriction “ Seulement la chair avec son Ăąme [ou sa vie] — son sang — vous ne devez pas la manger. ” GenĂšse 129 ; 93, 4. Manifestement, JĂ©hovah Ă©tablit un lien trĂšs Ă©troit entre la vie et le sang d’une crĂ©ature. 11. Quel usage du sang Dieu interdit-​il depuis l’époque de NoĂ© ? 11 Nous montrons du respect pour le sang en ne le mangeant pas. Dans la Loi qu’il a transmise aux IsraĂ©lites, JĂ©hovah a ordonnĂ© “ Quant Ă  tout homme [...] qui prend Ă  la chasse une bĂȘte sauvage ou un oiseau qui se mange, celui-lĂ  devra alors en verser le sang et le couvrir de poussiĂšre. [...] J’ai dit aux fils d’IsraĂ«l Vous ne devez manger le sang d’aucune sorte de chair. ’ ” LĂ©vitique 1713, 14. L’ordre de Dieu de ne pas manger de sang animal, donnĂ© en premier Ă  NoĂ© quelque 800 ans plus tĂŽt, Ă©tait toujours en vigueur. La façon de voir de JĂ©hovah Ă©tait claire ses serviteurs pouvaient manger la chair des animaux, mais pas leur sang. Ils devaient le verser sur le sol, pour rendre symboliquement la vie Ă  Dieu. 12. Au Ier siĂšcle, quel commandement, toujours valable aujourd’hui, l’esprit saint a-​t-​il donnĂ© au sujet du sang ? 12 Les chrĂ©tiens ont reçu un ordre semblable. Les apĂŽtres et les autres responsables parmi les disciples de JĂ©sus au Ier siĂšcle se sont rĂ©unis pour dĂ©terminer quels commandements les membres de la congrĂ©gation chrĂ©tienne devaient tous suivre. Ils sont arrivĂ©s Ă  cette conclusion “ L’esprit saint et nous-​mĂȘmes avons jugĂ© bon de ne pas vous ajouter d’autre fardeau, si ce n’est ces choses-​ci qui sont nĂ©cessaires vous abstenir des choses qui ont Ă©tĂ© sacrifiĂ©es aux idoles, et du sang, et de ce qui est Ă©touffĂ© [si bien que le sang reste dans la viande], et de la fornication. ” Actes 1528, 29 ; 2125. Nous devons par consĂ©quent nous abstenir du sang ’. Aux yeux de Dieu, c’est aussi important que de rejeter l’idolĂątrie et l’immoralitĂ© sexuelle. Si votre mĂ©decin vous dit de vous abstenir d’alcool, allez-​vous vous en injecter dans les veines ? 13. Montrez par un exemple que le commandement de s’abstenir du sang s’applique aux transfusions. 13 Le commandement de s’abstenir du sang s’applique-​t-​il aux transfusions ? Oui. Prenons un exemple. Supposez qu’un mĂ©decin vous dise de vous abstenir des boissons alcooliques. Comprendrez-​vous que vous ne devez pas boire d’alcool, mais que vous pouvez vous en injecter dans les veines ? Bien sĂ»r que non ! Pareillement, s’abstenir du sang signifie ne pas en introduire dans son corps, de quelque façon que ce soit. Ainsi, le commandement de s’abstenir du sang signifie que nous ne devons autoriser personne Ă  en transfuser dans nos veines. 14, 15. Si les mĂ©decins lui disent qu’il doit ĂȘtre transfusĂ©, comment un chrĂ©tien rĂ©agira-​t-​il, et pourquoi ? 14 Que faire si un chrĂ©tien est griĂšvement blessĂ© ou s’il doit subir une grave opĂ©ration ? Supposons que les mĂ©decins affirment qu’il mourra s’il n’est pas transfusĂ©. Bien entendu, un chrĂ©tien ne souhaite pas mourir. Pour conserver le don prĂ©cieux de la vie que Dieu lui a fait, il acceptera tout traitement qui n’impliquera pas un mauvais usage du sang. Il recherchera les soins mĂ©dicaux disponibles et acceptera un grand nombre d’alternatives Ă  la transfusion. 15 Un chrĂ©tien transgressera-​t-​il la loi de Dieu simplement pour rester en vie un peu plus longtemps dans le systĂšme de choses actuel ? JĂ©sus a dĂ©clarĂ© “ Celui qui veut sauver son Ăąme [ou sa vie] la perdra ; mais celui qui perd son Ăąme Ă  cause de moi la trouvera. ” Matthieu 1625. Nous ne voulons pas mourir. Mais si nous transgressions la loi de Dieu dans le but de sauver notre vie prĂ©sente, nous risquerions de perdre la vie Ă©ternelle. Il est prĂ©fĂ©rable que nous fassions confiance Ă  la loi de Dieu. Soyons certains que, si nous mourons pour une raison ou pour une autre, Celui qui nous a donnĂ© la vie se souviendra de nous Ă  la rĂ©surrection et nous rendra le don prĂ©cieux qu’est la vie. — Jean 528, 29 ; HĂ©breux 116. 16. À quoi les serviteurs de Dieu sont-​ils dĂ©terminĂ©s en ce qui concerne le sang ? 16 Aujourd’hui, les serviteurs de Dieu fidĂšles sont dĂ©terminĂ©s Ă  suivre ses directives concernant le sang. Ils n’en mangent sous aucune forme. Ils n’acceptent pas non plus de sang pour des raisons mĂ©dicales*. Ils sont convaincus que le CrĂ©ateur du sang sait ce qui est le mieux pour eux. Est-​ce aussi votre avis ? LE SEUL USAGE CONVENABLE DU SANG 17. En IsraĂ«l, quel Ă©tait le seul usage du sang que JĂ©hovah Dieu approuvait ? 17 La Loi mosaĂŻque indiquait quel est le seul usage convenable du sang. En rapport avec le culte que les IsraĂ©lites devaient pratiquer, JĂ©hovah a ordonnĂ© “ L’ñme [ou la vie] de la chair est dans le sang, et moi je l’ai mis pour vous sur l’autel, pour faire propitiation pour vos Ăąmes, car c’est le sang qui fait propitiation. ” LĂ©vitique 1711. Quand ils pĂ©chaient, les IsraĂ©lites pouvaient se faire pardonner en offrant un animal et en faisant mettre un peu de son sang sur l’autel du tabernacle et, par la suite, sur l’autel du temple. Le seul usage convenable du sang, c’est dans le cadre de ces sacrifices qu’on le faisait. 18. Quels bienfaits et quelles bĂ©nĂ©dictions pouvons-​nous obtenir grĂące au fait que le sang de JĂ©sus a Ă©tĂ© versĂ© ? 18 Les vrais chrĂ©tiens ne sont pas sous la Loi mosaĂŻque. Ils n’offrent donc pas d’animaux en sacrifice ni ne mettent du sang animal sur un autel HĂ©breux 101. Toutefois, l’usage du sang sur l’autel du temps d’IsraĂ«l prĂ©figurait le sacrifice prĂ©cieux du Fils de Dieu, JĂ©sus Christ. Comme nous l’avons appris au chapitre 5, JĂ©sus a donnĂ© sa vie humaine pour nous ; il a permis que son sang soit versĂ© en sacrifice. Il est ensuite montĂ© au ciel et a, une fois pour toutes, prĂ©sentĂ© Ă  Dieu la valeur de son sang versĂ© HĂ©breux 911, 12. Cela a rendu possible le pardon de nos pĂ©chĂ©s et nous a ouvert la possibilitĂ© de vivre Ă©ternellement Matthieu 2028 ; Jean 316. Cet usage du sang a vraiment Ă©tĂ© extrĂȘmement important 1 Pierre 118, 19. Ce n’est que par la foi dans la valeur du sang versĂ© de JĂ©sus que nous pouvons obtenir le salut. Comment pouvez-​vous montrer que vous tenez la vie et le sang en haute estime ? 19. Que devons-​nous faire pour ĂȘtre purs du sang de tous les hommes ’ ? 19 Nous pouvons ĂȘtre trĂšs reconnaissants Ă  JĂ©hovah Dieu de nous avoir donnĂ© la vie avec amour. Cela ne devrait-​il pas nous pousser Ă  parler autour de nous de la possibilitĂ© de vivre Ă©ternellement grĂące Ă  la foi dans le sacrifice de JĂ©sus ? Nous le ferons avec zĂšle si, comme Dieu, nous nous soucions de la vie de nos semblables ÉzĂ©kiel 317-21. Si nous nous acquittons avec ardeur de cette responsabilitĂ©, nous pourrons dire, comme l’apĂŽtre Paul “ Je suis pur du sang de tous les hommes, car je ne me suis pas retenu de vous annoncer tout le conseil de Dieu. ” Actes 2026, 27. Parlons Ă  nos semblables de Dieu et de ses desseins c’est un excellent moyen de montrer que nous tenons la vie et le sang en haute estime. Quarante ans aprĂšs les hippies, la vie en communautĂ© suscite un regain d’intĂ©rĂȘt. Mais selon de nouvelles modalitĂ©s partager un mĂȘme toit est vĂ©cu comme un enrichissement Ă  condition de conserver une bonne part d’intimitĂ©. Les habitants de la Maison du Val, Ă  Meudon, nous racontent leur quotidien plein de rebondissements, matĂ©riels et affectifs. Lorsque BĂ©atrice et Jacques, la cinquantaine, visitent il y a quelques mois le bel appartement avec vue sur Meudon, en rĂ©gion parisienne, ils ont le coup de foudre. L’agence ne nous avait pas dit qu’il s’agissait d’un habitat collectif, racontent-ils. Cela ne nous a pas arrĂȘtĂ©s, au contraire, nous Ă©tions plutĂŽt curieux. » Ce que l’agence ne leur a pas dit non plus, c’est qu’ils achetaient aussi un mode de vie, dans un lieu qui fait rĂ©fĂ©rence pour les aspirants Ă  la vie communautaire façon XXIe siĂšcle. Nous nous sommes retrouvĂ©s propriĂ©taires de notre logement individuel, ainsi que de deux cent cinquante mĂštres carrĂ©s de locaux collectifs un atelier de poterie, une salle de musique, un foyer pour dĂźner ensemble
 » explique BĂ©atrice. Au total, sept espaces communs conçus autrefois pour accueillir une crĂšche une vingtaine d’enfants ont grandi ici abritent aujourd’hui une chorale, des expositions artistiques, des cours de yoga, des concerts ou des dĂ©bats publics. Les habitants gĂšrent tout eux-mĂȘmes comptabilitĂ©, gestion et entretien des locaux. Nous avons dĂ©cidĂ© de jouer le jeu et de nous inscrire dans plusieurs commissions de travail pour faire tourner le syndic autogĂ©rĂ©, en prĂ©cisant que nous avions peu de temps libre », poursuit BĂ©atrice. Rapidement, elle et Jacques ont Ă©tĂ© adoptĂ©s par le noyau historique du Val, et l’aventure enrichit leur quotidien d’une convivialitĂ© qui manque Ă  de nombreux immeubles urbains ». S’accomplir dans le collectif L’histoire de la Maison du Val commence en 1980, Ă  l’initiative d’une dizaine de familles liĂ©es par un socle de valeurs. J’étais trĂšs imprĂ©gnĂ© par le courant du personnalisme communautaire d’Emmanuel Mounier, confie Alain, jeune retraitĂ©, qui se dĂ©finit comme un “catho de gauche”. J’avais cette conviction – je l’ai toujours – que l’on s’accomplit mieux dans le collectif. » Catherine, une voisine d’Alain, se souvient Quand nous sommes arrivĂ©s ici, nous avions 38-40 ans. En bons soixante-huitards, certains d’entre nous avaient dĂ©jĂ  fait l’expĂ©rience de la vie en communautĂ©. Nous voulions en retrouver quelque chose, mais pas tout. Il Ă©tait devenu important d’avoir notre propre espace. » Ensemble, mais chacun chez soi », il fallait incarner ce projet dans une architecture sur mesure. D’autant que nous avions tous des envies trĂšs diffĂ©rentes en termes d’amĂ©nagement intĂ©rieur, se rappelle Alain. Il n’y a pas deux salles de bains l’une au-dessus de l’autre, un vrai casse-tĂȘte de plomberie ! Il fallait aussi s’entendre sur la fonction des espaces collectifs, leur volume, leur emplacement
 Un architecte a planchĂ© sur le projet pendant dix-huit mois, aprĂšs nous avoir longuement consultĂ©s sur nos modes de vie. Il s’est arrachĂ© les cheveux, mais a fi ni par trouver un bon compromis ! » Au bout de douze mois de construction, le lieu prend corps. CĂŽtĂ© rue, c’est un immeuble discret recouvert de crĂ©pi blanc. Il faut aller cĂŽtĂ© jardin pour percevoir toute l’originalitĂ© de cet assemblage de briques, de baies vitrĂ©es et de balcons de bois en cascade, autour d’une pelouse agrĂ©mentĂ©e de tables et de balançoires. Jusqu’oĂč partager ? Pour Alain, Catherine et les autres, il ne s’agissait pas seulement de partager un toit avec des copains les premiers habitants se connaissaient d’ailleurs peu mais de faire vivre un concept d’habitat autogĂ©rĂ©, oĂč chacun vivrait chez soi dans une vie ouverte sur le groupe et sur l’extĂ©rieur », la commune de Meudon. La greffe n’a pas pris aussi facilement que nous le pensions, confie Catherine. Nous arrivions dans un vieux quartier dont la culture Ă©tait diffĂ©rente de la nĂŽtre. » Le temps aidant, pourtant, des Ă©changes se sont créés avec les habitants des alentours, soulevant rĂ©guliĂšrement des questions Le lieu Ă©tait trĂšs attrayantpour les copains de nos enfants, raconte Catherine. Parfois, les nĂŽtres arrivaient en disant qu’ils ne pouvaient pas jouer au ping-pong parce que la table Ă©tait utilisĂ©e par des gamins de l ’extĂ©rieur. Être ouverts aux autres, c’était ce que nous avions voulu. Mais au quotidien, ce n’était pas toujours simple. » Plus rĂ©cemment, cette philosophie de partage a Ă©tĂ© remise en cause par la hausse du coĂ»t de la vie. Alain Depuis des annĂ©es, nous accueillons des quartettes de jazz dans nos locaux. Les charges augmentant, certains d’entre nous parlent de demander une contribution financiĂšre, mais cela irait Ă  l’encontre de l’esprit que nous avons toujours cultivĂ©. » Vouloir s’entendre, toujours PrĂšs de trente ans aprĂšs les dĂ©buts de la Maison, la vie en communautĂ©, sans ĂȘtre remise en cause dans son principe, continue de susciter des dĂ©bats houleux. L’autre soir, au cours d’une discussion, on s’est un peu Ă©nervĂ©s, reprend Alain. Quand je soutenais “Les espaces communs, c’est chez moi, avec vous !”, d’autres me rĂ©pondaient “Tu es gentil, mais c’est d’abord chez nous !” Nous continuons de chercher comment ajuster nos dĂ©sirs individuels et l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, et d’échanger nos points de vue sur le style de vie que nous voulons dĂ©velopper. » C’est incroyable comme l’on peut s’engueuler Ă  la Maison du Val, sans que cela ait de consĂ©quence sur l’affection profonde que les habitants se portent », s’amuse BĂ©atrice, qui dĂ©couvre depuis peu ces discussions dans lesquelles nous ne cessons jamais de chercher Ă  nous comprendre et Ă  trouver un terrain d’entente », assure Alain. MalgrĂ© cette libertĂ© de ton, il y a curieusement des sujets que l’on Ă©vite, comme la politique, regrette Catherine. C’est peut-ĂȘtre ce qui nous rapproche d’une famille, dans laquelle on ne parle pas de certaines choses, pour prĂ©server les liens ». Éducation ou coĂ©ducation ? Autre motif de conflit l’éducation des enfants. Entre les parents laxistes », qui laissent jouer leurs enfants dans le jardin jusqu’à tard le soir, et ceux qui exigent un horaire prĂ©cis et des devoirs nickel, la palette est large. C’était rassurant de comparer les modes Ă©ducatifs des uns et des autres, analyse Juliette, qui a passĂ© son adolescence Ă  la Maison du Val. Cela nous permettait de relativiser les jugements que nous portions sur nos propres parents. Mais il fallait s’adapter au groupe d’enfants, et ce n’était pas toujours facile. » Nous Ă©tions trĂšs libres, complĂšte JĂ©rĂ©mie, ex-enfant du Val lui aussi. Mais il fallait prendre ses repĂšres, comprendre le fonctionnement du groupe d’adultes et de celui des enfants. » Les projets des premiers ne coĂŻncidaient d’ailleurs pas forcĂ©ment avec ceux des seconds. Ils ont par exemple refusĂ© l’idĂ©e de salle de bains commune que nous, parents, avions prĂ©vue entre les chambres d’enfants d’appartements mitoyens, indique Alain. En revanche, ils allaient parfois se servir dans les armoires des autres. Et quand ils se querellaient Ă  ce sujet, ils ne disaient pas “Tu aurais dĂ» me demander”, mais “Tu aurais pu le laver avant de me le rendre !” Preuve que le principe du partage n’était pas un problĂšme
 » Catherine À table, il y avait toujours un ou deux enfants en plus des nĂŽtres. C’était parfois lourd, mais, Ă  y repenser, c’était une vraie richesse pour eux qui avaient plusieurs adultes rĂ©fĂ©rents, et pour nous qui avions beaucoup d’enfants Ă  aimer ! » Vieillir Ă  plusieurs Si la vie Ă  la Maison du Val a changĂ© avec les annĂ©es – les enfants sont partis, les parents arrivent Ă  l’ñge de la retraite –, l’esprit communautaire souffle toujours. Les commissions de travail nous maintiennent dans une dynamique collective, mais pas seulement, observe Alain. Nous sommes unis par des liens aff ectifs trĂšs forts, quelque part entre les liens amicaux et les liens familiaux. » Le dĂźner mensuel autour de la table du foyer reste un rituel fort. Ainsi que les vacances ensemble, de temps Ă  autre, dans notre maison du sud de la France », rĂ©vĂšle-t-il. Parmi les enfants qui ont grandi ici, aucun n’a reproduit le schĂ©ma de la vie collective, sauf Juliette, revenue vivre Ă  Meudon aprĂšs son divorce. Mon fils a fait un tour de France des communautĂ©s, mais il n’a pas franchi le pas, constate Catherine. Quant Ă  moi, aprĂšs des annĂ©es magnifiques, je commence Ă  avoir envie de vivre ailleurs, mais pas autrement. » Avec son mari, ils sont Ă  la recherche d’un terrain sur lequel bĂątir un habitat Ă©colo, intergĂ©nĂ©rationnel, sans escaliers, plus petit, plus prĂšs des commerces, pour prĂ©parer notre “vie plus tard” pas trop tard ». En habitat autogĂ©rĂ©, toujours J’ai travaillĂ© dans une Ă©cole autogĂ©rĂ©e, je suis impliquĂ©e dans un mouvement politique “hors parti”, donc autogĂ©ré  Le collectif, j’y crois plus que jamais ! » BĂ©atrice, elle, s’est laissĂ© sĂ©duire On peut vraiment compter sur les autres sans se sentir envahis. Chacun a conservĂ© le sens de l’intĂ©rĂȘt particulier, mais l’inscrit toujours dans l’intĂ©rĂȘt collectif. » Une formule qui monte SĂ©duits par le concept d’habitat collectif, de nombreux candidats Ă  la propriĂ©tĂ© sont tentĂ©s par l’aventure. Un peu partout en France, des groupes intergĂ©nĂ©rationnels se forment et recherchent des terrains pour faire construire ensemble. D’autres projets naissent d’une opportunitĂ© immobiliĂšre et recrutent des candidats » parpetites annonces ou bouche-Ă -oreille. D’autres encore rejoignent l’un des Ă©coquartiers en cours de construction
 Des associations projets et renseignent sur les dĂ©marches administratives ou juridiques nĂ©cessaires. Les revues Passerelle Ă©co ou La Maison Ă©cologique se font aussi rĂ©guliĂšrement le relais de ces initiatives. Pour aller plus loin En savoir plus Il ne faut pas trop attendre du groupe L'avis de l'expert Marthe Marandola, mĂ©diatrice et formatrice en relations humaines La clĂ©, c’est d’avoir des modes de vie approchants. Au-delĂ  de l’ñge ou des origines, ce sont nos gestes quotidiens qui rĂ©vĂšlent nos valeurs et notre personnalitĂ©. Quand ces gestes sont compatibles, la vie commune est possible. Mais si certains ne respectent pas les autres – le bruit est rĂ©vĂ©lateur –, cela devient vite invivable, mĂȘme entre amis. L’important est de crĂ©er un voisinage bienveillant. S’il y a de l’amitiĂ© en plus, tant mieux, mais il ne faut pas trop attendre du groupe, ce n’est pas une seconde famille. L’habitat collectif ne convient pas aux personnalitĂ©s trop rigides et peu enclines au dialogue !» Marthe Marandola est auteure, avec GeneviĂšve Lefebvre, de Cohabiter pour vivre mieux. Voir aussi leur site Pour aller plus loin A lire Vivre ensemble autrement de Pascale d’Erm, photographies de Patrick Lazic Qu’est-ce qui motive ceux qui ont franchi le pas », quelles sont les joies et les contraintes du vivre-ensemble » ? Le rĂ©cit de six initiatives rĂ©ussies, de l’Italie aux CĂ©vennes, prĂ©facĂ©par le philosophe Pierre Rabhi Éditions Ulmer, 2009. Jean Mais il y avait parmi les Pharisiens un chef des Juifs, nommĂ© NicodĂšme;il vint de nuit auprĂšs de JĂ©sus et lui dit Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de la part de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui rĂ©pondit En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ© je te le dis, si un homme ne naĂźt de nouveau il ne peut voir le royaume de lui dit Comment un homme peut-il naĂźtre quand il est vieux ? Peut-il une seconde fois entrer dans le sein de sa mĂšre et naĂźtre ?JĂ©sus lui rĂ©pondit En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je te le dis, si un homme ne naĂźt d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de qui est nĂ© de la chair est chair, et ce qui est nĂ© de l’Esprit est t’étonne pas que je t’aie dit il faut que vous naissiez de vent souffle oĂč il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais pas d’oĂč il vient ni oĂč il va. Il en est ainsi de quiconque est nĂ© de l’ reprit la parole Comment cela peut-il se faire ?JĂ©sus lui rĂ©pondit Tu es le docteur d’IsraĂ«l, et tu ne sais pas cela ! JĂ©sus dit Ă  NicodĂšme dans Jean En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ© je te le dis, si un homme ne naĂźt de nouveau il ne peut voir le royaume de Dieu. » C’est Ă  chacun de nous qu’il parle ici. NicodĂšme n’était pas un cas particulier. Vous et moi, nous devons naĂźtre de nouveau pour voir le royaume de Dieu. Cela signifie que nous ne serons pas sauvĂ©s; nous ne ferons pas partie de la famille de Dieu et nous n’irons pas au ciel, mais au lieu de cela nous irons en enfer. NicodĂšme faisait partie des Pharisiens, les responsables juifs les plus religieux. JĂ©sus leur dit dans Matthieu et 33, Malheur Ă  vous, scribes et Pharisiens hypocrites ! Parce que vous courez la mer et la terre pour faire un prosĂ©lyte, et quand il l’est devenu, vous en faites un fils de la gĂ©henne deux fois pire que vous
 Serpents, race de vipĂšres ! Comment fuirez-vous la condamnation de la gĂ©henne ? » La sĂ©rie que nous commençons n’est pas de moindre importance. Elle est cruciale. L’EternitĂ© est dans la balance lorsque nous parlons de nouvelle naissance. Si un homme ne naĂźt de nouveau il ne peut voir le royaume de Dieu. » L’ASPECT DÉRANGEANT DE LA NOUVELLE NAISSANCE La question est que se passe-t-il lors de la nouvelle naissance ? Mais avant de rĂ©pondre Ă  cette question, je vais partager ce qui me prĂ©occupe dans la façon dont ces messages seront entendus. Je suis conscient que cette sĂ©rie de messages dĂ©rangera beaucoup d’entre vous, tout comme les paroles de JĂ©sus nous dĂ©rangent souvent lorsque nous les prenons au sĂ©rieux. Il y a au moins trois raisons Ă  cela 1 A cause de notre situation dĂ©sespĂ©rĂ©e L’enseignement de JĂ©sus sur la nouvelle naissance nous confronte Ă  notre situation spirituelle, morale et lĂ©gale dĂ©sespĂ©rĂ©e lorsque nous sommes sĂ©parĂ©s de la grĂące rĂ©gĂ©nĂ©ratrice de Dieu. Avant la nouvelle naissance, nous sommes spirituellement morts. Sur le plan moral, nous sommes dans l’égoĂŻsme et la rĂ©bellion. Et nous sommes lĂ©galement coupables face Ă  la loi de Dieu et sous sa colĂšre. Lorsque JĂ©sus nous dit que nous devons naĂźtre de nouveau, il nous dit que notre situation actuelle est sans espoir, corrompue et coupable. Sans sa grĂące prodigieuse dans notre vie, nous n’aimons pas entendre parler de nous de cette façon. C’est pourquoi, quand JĂ©sus nous dit que nous devons naĂźtre de nouveau, cela nous dĂ©range. 2 Parce que nous ne pouvons pas provoquer cette nouvelle naissance Les enseignements sur la nouvelle naissance nous dĂ©rangent car ils font rĂ©fĂ©rence Ă  un acte que nous ne contrĂŽlons pas. Ce n’est pas une chose que nous pouvons faire nous-mĂȘmes. Jean met l’accent sur ce point. Ce passage parle des enfants de Dieu comme Ă©tant ceux qui sont nĂ©s, non du sang, ni de la volontĂ© de la chair ni de la volontĂ© de l’homme, mais de Dieu. » Pierre accentue la mĂȘme idĂ©e Louons Dieu, le PĂšre de notre Seigneur JĂ©sus-Christ ! Dans sa grande bontĂ©, il nous a fait naĂźtre Ă  une vie nouvelle » 1 Pierre BFC. Nous ne pouvons provoquer la nouvelle naissance car elle vient de Dieu. Toutes les bonnes choses que nous faisons rĂ©sultent de la nouvelle naissance, mais ne la provoquent pas. Cela signifie que nous ne pouvons pas contrĂŽler notre nouvelle naissance. Elle nous confronte donc Ă  notre impuissance et Ă  notre dĂ©pendance absolue de quelqu’un en dehors de nous-mĂȘmes. Cela nous dĂ©range. On nous dit que nous ne verrons pas le royaume de Dieu si nous ne naissons pas de nouveau. Et on nous dit aussi que nous ne pouvons pas naĂźtre de nouveau par nous-mĂȘmes. C’est trĂšs ennuyeux. 3 Parce que nous sommes confrontĂ©s Ă  la libertĂ© absolue de Dieu Et la troisiĂšme raison pour laquelle l’enseignement de JĂ©sus sur la nouvelle naissance nous dĂ©range est qu’il nous confronte Ă  l’absolue libertĂ© de Dieu. Lorsque nous sommes sĂ©parĂ©s de Dieu, nous sommes spirituellement morts, dans l’égoĂŻsme et la rĂ©bellion. Nous sommes par nature des enfants de la colĂšre EphĂ©siens Notre rĂ©bellion est si profonde que nous ne pouvons reconnaĂźtre ni dĂ©sirer la gloire de Christ dans l’Evangile 2 Corinthiens Donc, si nous devons naĂźtre de nouveau, cela dĂ©pendra surtout et finalement de Dieu. Sa dĂ©cision de nous rendre vivants ne sera pas une rĂ©ponse aux actes de nos corps spirituels, mais nos actes seront des rĂ©ponses Ă  la vie qu’il nous aura donnĂ©e. Pour la plupart des gens, en tout cas au dĂ©but, cela est dĂ©rangeant. MON ESPÉRANCE STABILISER ET SAUVER ET NON PAS SEULEMENT DÉRANGER En commençant cette sĂ©rie, je suis conscient de l’aspect dĂ©rangeant de cet enseignement sur la nouvelle naissance. C'est pourquoi je prends toutes les prĂ©cautions possibles. Je ne veux pas dĂ©courager les Ăąmes tendres. Je ne veux pas donner de faux espoirs de vie spirituelle Ă  ceux qui ont fait de mauvais choix de moralitĂ© ou de religion. Dieu a le pouvoir de donner la vie. Et j’ai la grande espĂ©rance qu’il fera ce qu’il dit dans EphĂ©siens Mais Dieu est riche en misĂ©ricorde et, Ă  cause du grand amour dont il nous a aimĂ©s, nous qui Ă©tions morts par nos fautes, il nous a rendus Ă  la vie avec le Christ—c’est par grĂące que vous ĂȘtes sauvĂ©s. » Dieu aime multiplier les richesses de sa grĂące qui nous donnent la vie lorsque Christ est Ă©levĂ© en vĂ©ritĂ©. C’est mon espĂ©rance que cette sĂ©rie n’ait pas seulement l’effet de dĂ©ranger mais qu’elle stabilise et sauve. QUE SE PASSE-T-IL DANS LA NOUVELLE NAISSANCE ? Passons maintenant Ă  la question Que se passe-t-il dans la nouvelle naissance ? Je vais essayer de donner une rĂ©ponse en faisant trois affirmations. Les deux premiĂšres seront traitĂ©es aujourd’hui, et la troisiĂšme, nous en parlerons dans le prochain message. 1 Ce qui se passe dans la nouvelle naissance n’est pas l’acquisition d’une nouvelle religion, mais d’une nouvelle vie. 2 Ce n’est pas seulement affirmer le surnaturel en JĂ©sus, mais expĂ©rimenter le surnaturel en nous-mĂȘmes. 3 Ce n’est pas l’amĂ©lioration de notre ancienne nature humaine, mais la crĂ©ation d’une nouvelle nature humaine, une nature qui correspond Ă  votre vĂ©ritable nature, qui est pardonnĂ©e et purifiĂ©e, une nature vraiment nouvelle et formĂ©e par l’Esprit de Dieu qui vit en vous. Prenons ces points un par un. 1 Une vie nouvelle et non une nouvelle religion Ce qui se passe dans la nouvelle naissance n’est pas l’acquisition d’une nouvelle religion, mais d’une vie nouvelle. Lisez avec moi les trois premiers versets de Jean 3 Il y avait un homme appelĂ© NicodĂšme, qui Ă©tait du parti des Pharisiens et qui Ă©tait l’un des chefs juifs. Il vint une nuit trouver JĂ©sus et lui dit MaĂźtre, nous savons que Dieu t’a envoyĂ© pour nous apporter un enseignement; car personne ne peut faire des signes miraculeux comme tu en fais si Dieu n’est pas avec lui. JĂ©sus lui rĂ©pondit Oui, je te le dĂ©clare, c’est la vĂ©ritĂ©, personne ne peut voir le Royaume de Dieu s’il ne naĂźt pas de nouveau. » Jean veut que nous sachions que NicodĂšme est un Pharisien et un dirigeant juif. Les Pharisiens Ă©taient les religieux les plus rigoristes de tous les groupes juifs. A celui-ci, JĂ©sus rĂ©pond dans le verset 3 Oui, je te le dĂ©clare, c’est la vĂ©ritĂ© personne ne peut voir le Royaume de Dieu s’il ne naĂźt pas de nouveau. » Et de façon plus personnelle encore il dit dans le verset 7 Il faut que vous naissiez de nouveau. » L’une des choses que Jean veut dire est que toute la religion de NicodĂšme, toutes les Ă©tudes phĂ©nomĂ©nales d’un Pharisien, ainsi que sa discipline et son assiduitĂ© Ă  respecter la loi, rien de tout cela ne peut remplacer le besoin de la nouvelle naissance. En fait, toutes ces choses peuvent rendre le besoin de la nouvelle naissance encore plus Ă©vident. Ce dont NicodĂšme a besoin et ce dont nous avons tous besoin n’est pas la religion mais la vie. La raison pour laquelle il est fait rĂ©fĂ©rence Ă  la nouvelle naissance est que la naissance permet de mettre une nouvelle vie au monde. Dans un sens, bien sĂ»r, NicodĂšme est vivant. Il respire, il rĂ©flĂ©chit, il a des sentiments, il agit. Il est humain, créé Ă  l’image de Dieu. Mais Ă©videmment, JĂ©sus pense qu’il est mort. Il n’y a pas de vie spirituelle en NicodĂšme. Spirituellement, il n’est pas nĂ©. Il a besoin de la vie, non pas d’avoir plus d’activitĂ©s religieuses ou de plus de zĂšle religieux, car il a tout cela. Souvenez-vous de ce que JĂ©sus dit dans Luc Ă  l’homme qui voulait remettre Ă  plus tard sa dĂ©cision pour suivre JĂ©sus, afin d’aller enterrer son pĂšre ? JĂ©sus lui dit Laisse les morts ensevelir leurs morts. » Il y a des morts physiques qui doivent ĂȘtre enterrĂ©s, et il y a des morts spirituels qui peuvent les enterrer. Autrement dit, JĂ©sus pensait en termes de personnes qui semblent vivantes, mais qui en fait sont mortes. Dans sa parabole du fils prodigue, le PĂšre dit mon fils que voici Ă©tait mort, et il est revenu Ă  la vie » Luc NicodĂšme n’avait pas besoin de religion, il avait besoin de vie, de vie spirituelle. Ce qui se passe dans la nouvelle naissance est que la vie vient lĂ  oĂč elle n’était pas. La vie nouvelle survient au moment de la nouvelle naissance. Il ne s’agit pas d’une activitĂ©, d’une discipline ou d’une dĂ©cision religieuse. Il s’agit de l’apparition de la vie. C’est la premiĂšre façon de dĂ©crire ce qui se passe au moment de la nouvelle naissance. 2 ExpĂ©rimenter le surnaturel, et non seulement en parler Lorsqu’on parle de nouvelle naissance, il ne s’agit pas seulement de parler du surnaturel de JĂ©sus, mais d’expĂ©rimenter le surnaturel en nous-mĂȘmes. Dans le verset 2, NicodĂšme dit Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de la part de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui. » En d’autres termes, NicodĂšme voit en JĂ©sus une vĂ©ritable activitĂ© divine. Il admet que JĂ©sus vient de Dieu. JĂ©sus agit de la part de Dieu. A cela, JĂ©sus ne rĂ©pond pas en disant Je voudrais que chaque personne en Palestine voit la vĂ©ritĂ© que tu vois en moi. » Au lieu de cela, il dit si un homme ne naĂźt de nouveau il ne peut voir le royaume de Dieu. » Le fait de voir des signes et miracles, d’ĂȘtre Ă©bahi et de reconnaĂźtre que la personne qui accomplit ces miracles est envoyĂ©e de Dieu, ne sauve personne. C’est l’un des grands dangers des signes et miracles Vous n’avez pas besoin d’un cƓur renouvelĂ© pour ĂȘtre Ă©merveillĂ© par les miracles. La vieille nature humaine pĂ©cheresse est tout ce dont nous avons besoin pour ĂȘtre Ă©merveillĂ©s par les miracles. Et cette vieille nature pĂ©cheresse est prĂȘte Ă  dire que la personne qui fait ces miracles est envoyĂ©e par Dieu. Le diable lui-mĂȘme sait que JĂ©sus est le Fils de Dieu et fait des miracles Marc Le fait que NicodĂšme voit JĂ©sus comme un faiseur de miracles, n’est pas la clĂ© du royaume de Dieu. Il rĂ©pond Ă  NicodĂšme En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ© je te le dis, si un homme ne naĂźt de nouveau il ne peut voir le royaume de Dieu. » En d’autres termes, ce qui est important, ce n’est pas le seul fait d’affirmer le surnaturel en JĂ©sus. Il s’agit plutĂŽt d’expĂ©rimenter le surnaturel en vous-mĂȘme. La nouvelle naissance est surnaturelle, et non naturelle. Elle n’a rien Ă  voir avec ce que nous trouvons dans ce monde. Le verset 6 met l’accent sur la nature surnaturelle de la nouvelle naissance Ce qui est nĂ© de la chair est chair, et ce qui est nĂ© de l’Esprit est esprit. » La chair est notre nature. L’Esprit de Dieu est la personne surnaturelle qui donne la nouvelle naissance. JĂ©sus dit cela encore dans le verset 8 Le vent souffle oĂč il veut, et tu en entends le bruit, mais tu ne sais pas d’oĂč il vient ni oĂč il va. Il en est ainsi de quiconque est nĂ© de l’Esprit. » L’Esprit n’appartient pas Ă  ce monde naturel. Il est d’une nature cĂ©leste. Il est surnaturel. En fait, il est Dieu. Il est la cause immĂ©diate de notre nouvelle naissance. Alors NicodĂšme, lui dit JĂ©sus, lors de la nouvelle naissance, il ne s’agit pas de simplement reconnaĂźtre le surnaturel en moi, mais d’expĂ©rimenter le surnaturel en toi-mĂȘme. Tu dois naĂźtre de nouveau. Et pas de façon mĂ©taphorique, mais de façon surnaturelle. Dieu, le Saint-Esprit doit venir sur toi et t’apporter une vie nouvelle. » La prochaine fois, nous examinerons ce qui est dit dans le verset 5 En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je te le dis, si un homme ne naĂźt d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » A quoi font rĂ©fĂ©rence l’eau et l’Esprit ici ? Et comment cela nous aide-t-il Ă  comprendre ce qui se passe dans la nouvelle naissance ? JÉSUS EST LA VIE Je veux terminer en faisant un lien crucial entre le fait d’ĂȘtre nĂ© de nouveau par l’Esprit et le fait d’avoir la vie Ă©ternelle par la foi en JĂ©sus. Nous avons vu jusqu’ici que ce qui se passe dans la nouvelle naissance est une Ɠuvre surnaturelle du Saint-Esprit afin d’apporter la vie spirituelle lĂ  oĂč elle n’existait pas. JĂ©sus le dit encore dans Jean C’est l’Esprit qui vivifie. La chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie. » Mais l’Evangile de Jean donne aussi un autre Ă©claircissement JĂ©sus est la vie que le Saint-Esprit nous donne. Ou bien nous pourrions dire Le Saint-Esprit nous donne la vie spirituelle seulement en lien avec JĂ©sus. C’est dans notre union avec JĂ©sus que nous expĂ©rimentons la vie spirituelle et surnaturelle. JĂ©sus dit dans Jean Moi, je suis le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie. Nul ne vient au PĂšre que par moi. » Dans Jean il dit Je suis le pain de vie. » Et dans Jean il dit Mais ceci est Ă©crit afin que vous croyiez que JĂ©sus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom. » PAS DE VIE EN DEHORS DE JÉSUS Il n’y a donc pas de vie spirituelle, ni de vie Ă©ternelle si nous n'avons pas de lien avec JĂ©sus et sans croire en JĂ©sus. Nous aurons beaucoup plus Ă  dire sur la relation entre la nouvelle naissance et la foi en JĂ©sus. Mais disons la chose suivante pour le moment Dans la nouvelle naissance, le Saint-Esprit nous unit Ă  Christ dans une relation vivante. Christ est la vie. Christ est le cep la vigne duquel coule la vie. Nous sommes les sarments les branches Jean ff. Ce qui se passe dans la nouvelle naissance est la crĂ©ation surnaturelle de la vie spirituelle, et elle est créée en union avec JĂ©sus-Christ. Le Saint-Esprit nous amĂšne dans une connexion vitale avec Christ qui est le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie. C’est la rĂ©alitĂ© objective de ce qui se passe lors de la nouvelle naissance. De notre cĂŽtĂ©, la façon dont nous expĂ©rimentons cela est que la foi en JĂ©sus est rĂ©veillĂ©e dans notre cƓur. La vie spirituelle et la foi en JĂ©sus viennent ensemble. La nouvelle vie rend la foi possible, et puisque la vie spirituelle Ă©veille toujours la foi et s’exprime par la foi, il n’y a pas de vie sans la foi en JĂ©sus. Donc, nous ne devons jamais sĂ©parer la nouvelle naissance de la foi en JĂ©sus. Dieu nous voit unis Ă  Christ dans cette nouvelle naissance. C’est l’Ɠuvre du Saint-Esprit. De notre cĂŽtĂ©, nous expĂ©rimentons cette union par la foi en JĂ©sus. NE JAMAIS SÉPARER LA NOUVELLE NAISSANCE ET LA FOI EN JÉSUS Ecoutez comment Jean les met ensemble dans 1 Jean parce que tout ce qui est nĂ© de Dieu triomphe du monde, et voici la victoire qui triomphe du monde notre foi. » NĂ© de Dieu, la clĂ© de la victoire. La foi, la clĂ© de la victoire. Parce que la foi est la façon dont nous expĂ©rimentons le fait d’ĂȘtre nĂ© de Dieu. Ou bien Ă©coutez comment Jean dit les choses dans 1 Jean Et voici ce tĂ©moignage Dieu nous a donnĂ© la vie Ă©ternelle, et cette vie est en son Fils. Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. » Donc, lorsque JĂ©sus dit C’est l’Esprit qui vivifie. La chair ne sert de rien. » Jean et lorsqu’il dit vous devez naĂźtre de l’Esprit » afin d’obtenir la vie, il veut dire Dans la nouvelle naissance, le Saint-Esprit nous donne une nouvelle vie spirituelle de façon surnaturelle en nous connectant avec JĂ©sus-Christ par la foi. Car JĂ©sus est la vie. Alors, ne sĂ©parez jamais ces deux paroles de JĂ©sus dans Jean 3 si un homme ne naĂźt de nouveau il ne peut voir le royaume de Dieu » et celui qui croit au Fils a la vie Ă©ternelle » Lire la seconde partie. Avec autorisation de notre partenaire Pour jouer avec tes enfants, ton neveu ou ta niĂšce, le dĂ©mon que tu gardes, tes potes ou toi-mĂȘme, c’est bien aussi, voilĂ  quelques petites idĂ©es pour susciter l’amusement de tous. Mais pas n’importe comment, ça non ! Avec des charades, parce que qu’on avait dĂ©jĂ  fait le top des Ă©nigmes faciles et parce que travailler l’esprit, sa fĂ© plĂšzir. Allez, zĂ© parti pour une bonne tranche de rigolade saupoudrĂ©e d’un peu de rĂ©flexion faut pas dĂ©conner non plus. 1. Mon premier est la capitale de l’Italie. Mon second est une voyelle. Mon troisiĂšme est un fleuve d’Europe. Mon tout est une plante qui sent bon. — RĂ©ponse Le romarin Rome – A – Rhin. 2. Dans mon premier, on peut parfois trouver des vaches. Mon deuxiĂšme est le contraire de oui ». Tout le monde possĂšde mon tout. — RĂ©ponse Un prĂ©nom PrĂ© – Non. 3. Mon premier nous est utile pour manger. Mon deuxiĂšme reprĂ©sente un groupe de personnes dont le sujet fait partie. Mon tout sert Ă  fermer les bouteilles. — RĂ©ponse Un bouchon Bouche-On. 4. On boit mon premier. Mon deuxiĂšme est un animal qui vit sous l’eau. Mon troisiĂšme est lĂ  oĂč l’on dort. Mon tout est un prĂ©nom. — RĂ©ponse AurĂ©lie Eau – Raie – Lit. 5. Les canards se baignent dans mon premier. Mon deuxiĂšme est l’inverse de tard ». Mon tout sert Ă  enfoncer des clous. — RĂ©ponse Un marteau Marre – TĂŽt. 6. Mon premier fait 365 jours. Mon deuxiĂšme est le petit d’une biche. Mon tout n’est pas encore un adulte. — RĂ©ponse Un enfant An – Faon. 7. Mon premier se balade sur la tĂȘte des enfants. Mon deuxiĂšme est le contraire fĂ©minin de moche ». Quand on ouvre mon tout, on la referme rapidement. — RĂ©ponse Une poubelle Pou – Belle. 8. Mon premier se trouve au milieu du visage. Mon deuxiĂšme est un mĂ©tal. Mon troisiĂšme est un cĂ©lĂšbre canari que Gros Minet aimerait bien manger. Mon tout a Ă©tĂ© une reine d’Égypte.— RĂ©ponse NĂ©fertiti Nez – Fer – Titi. 9. Les trains finissent leur voyage dans mon premier. Mon deuxiĂšme augmente chaque annĂ©e. Mon tout est un espace rĂ©servĂ© gĂ©nĂ©ralement aux voitures. — RĂ©ponse Un garage Gare – Âge. 10. Mon premier est le contraire de sur ». Je fais mon deuxiĂšme quand je regarde une comĂ©die drĂŽle. Mon tout est censĂ© ĂȘtre contagieux. — RĂ©ponse Un sourire Sous – Rire. 11. Mon premier ouvre les portes. Mon deuxiĂšme est vital. Mon troisiĂšme garde les troupeaux. Mon tout est un grand personnage historique. — RĂ©ponse ClĂ©opĂątre – ClĂ© – Eau – PĂątre. 12. Mon premier peut-ĂȘtre utilisĂ© Ă  la place des clous. Mon deuxiĂšme change chaque annĂ©e. Nous voyons gĂ©nĂ©ralement mon tout le matin, dans la salle de bain. — RĂ©ponse Le visage Vis – Âge. 13. Mon premier se trouve dans la gueule du loup. Mon deuxiĂšme se passe avant le permis. Mon troisiĂšme est au milieu de la mer. Mon tout vit dans les fleuves d’Amazonie. — RĂ©ponse Le crocodile Croc – Code – Île. 14. Mon premier est un pronom relatif invariable. Mon deuxiĂšme est un mot utilisĂ© pour exprimer une approbation. Mon tout est un fruit. — RĂ©ponse Un kiwi Qui – Oui. 15. Mon premier apparaĂźt si l’on mĂ©lange rapidement de l’eau et du savon. Mon deuxiĂšme est une raison de mettre son linge Ă  laver. Mon tout est parfois Ă  la mode. — RĂ©ponse Une moustache Mousse – TĂąche. 16. Mon premier est un animal. Mon deuxiĂšme est un animal. Mon tout est un animal. — RĂ©ponse Le serpent Cerf – Paon. 17. Mon premier est le mĂąle de l’oie. Mon deuxiĂšme est un petit cervidĂ©. Mon tout est un endroit oĂč poussent des lĂ©gumes. — RĂ©ponse Le jardin Jars – Daim. 18. Mon premier est le contraire de haut ». Mon deuxiĂšme est le contraire de rapide ». Mon troisiĂšme est le contraire de matin ». Mon tout s’accroche aux branches des arbres. — RĂ©ponse La balançoire Bas – Lent – Soir. 19. Mon premier est un animal domestique qui est une star d’internet. Mon deuxiĂšme est le contraire de tard. Mon tout peut ĂȘtre entourĂ© d’eau. — RĂ©ponse Un chĂąteau Chat – TĂŽt. 20. Mon premier est entre 1 et 3. Mon deuxiĂšme est l’inverse de la mort. Mon troisiĂšme est l’inverse de flou. Mon tout est un jeu verbal. — RĂ©ponse La devinette Deux – Vie – Net. 21. Mon premier est un arbre de la forĂȘt qui possĂšde des feuilles en aiguilles persistantes. Mon deuxiĂšme est un rĂ©cipient servant Ă  transporter des matiĂšres. Mon tout est utilisĂ© par les peintres. — RĂ©ponse Un pinceau Pin – Seau. 22. On utilise mon premier pour jouer Ă  certains jeux de sociĂ©tĂ©. Mon deuxiĂšme est un animal qui vit dans les forĂȘts françaises. Mon tout arrive Ă  la fin du repas. — RĂ©ponse Le dessert DĂ© – Cerf. 23. Mon premier est un animal qui mange des souris. Mon deuxiĂšme est un animal qui vit dans les Ă©gouts. Mon troisiĂšme est un chiffre entre un et cinq. Mon tout est ce que je suis en train de faire. — RĂ©ponse Une charade Chat – Rat – Deux. 24. Mon premier est le contraire de haut ». Mon deuxiĂšme est le contraire de tard ». Mon tout se dĂ©place sur l’eau. — RĂ©ponse Un bateau Bas-TĂŽt. 25. Mon premier est une note de musique. Mon deuxiĂšme n’est pas Ă©pais. Mon tout est un animal qui vit dans l’eau. — RĂ©ponse Un dauphin Do – Fin. 26. Pour fĂȘter la nouvelle annĂ©e, on s’embrasse sous mon premier. Mon second est un prĂ©fixe qui indique la rĂ©pĂ©tition. Mon troisiĂšme n’est pas rapide. Mon quatriĂšme est le double de 1. Mon tout dĂ©core le sapin. — RĂ©ponse La guirlande Gui – Re – Lent – Deux. 27. Mon premier reprĂ©sente un groupe de personnes dont le sujet fait partie. Mon deuxiĂšme est le bĂ©bĂ© de la vache. Mon tout est le contraire de vieux ». — RĂ©ponse Nouveau Nous – Veau. 28. Mon premier est une boisson. Mon deuxiĂšme est une boisson. Mon troisiĂšme est une boisson. Mon tout est une boisson. — RĂ©ponse Le cafĂ© au lait CafĂ© – Eau – Lait. 29. Mon premier sert Ă  faire cuire des aliments. Mon deuxiĂšme n’arrive qu’une seule fois dans une vie. Mon tout permet de faire rentrer de la lumiĂšre dans une maison. — RĂ©ponse Une fenĂȘtre Feu – NaĂźtre. 30. Mon premier est un petit cube ayant des nombres inscrits sur ses faces. Le bois se transforme en mon deuxiĂšme si on le met dans un feu. Mon tout est l’inverse de monter ». — RĂ©ponse Descendre DĂ©-Cendre. 31. Mon premier est un homme qui a un ou plusieurs enfants. Les cloches font mon deuxiĂšme. Mon tout est un ĂȘtre humain. — RĂ©ponse Une personne PĂšre – Sonnent. 32. Mon premier est un mĂ©tal prĂ©cieux. Mon deuxiĂšme est lĂ  oĂč vit le ou la concierge. Mon tout sert Ă  connaĂźtre l’heure. — RĂ©ponse Une horloge Or – Loge. 33. Mon premier est le contraire de tard. Mon deuxiĂšme est une erreur de programme. Mon troisiĂšme correspond Ă  un cycle de rotation de la Terre autour du Soleil. Mon tout est un jeu d’extĂ©rieur qu’apprĂ©cient les enfants. — RĂ©ponse Un toboggan TĂŽt – Bogue – An. 34. Mon premier est un animal que l’on voit beaucoup sur YouTube. Mon deuxiĂšme recouvre le corps. Mon tout permet de se protĂ©ger du soleil. — RĂ©ponse Un chapeau Chat – Peau. 35. Mon premier vient aprĂšs O dans l’alphabet. On se couche dans mon deuxiĂšme. Mon troisiĂšme se trouve en Normandie. Mon tout est grand, avec des plumes. — RĂ©ponse Un pĂ©lican P – Lit – Caen. 36. Mon premier est un oiseau. Mon deuxiĂšme circule dans les veines. Mon troisiĂšme est lĂ  ou je dors. Mon tout est une fleur. — RĂ©ponse Le pissenlit Pie – Sang – Lit. 37. Mon premier a six faces. Mon deuxiĂšme est une personne considĂ©rĂ©e comme un modĂšle. Mon tout est une reprĂ©sentation visuelle. — RĂ©ponse Un dessin DĂ© – Saint. 38. Mon premier souffle sur la Terre. Mon deuxiĂšme est le contraire de meilleur ». Mon tout aime le sang. — RĂ©ponse Un vampire Vent – Pire. 39. Mon premier est le contraire de dur ». Mon deuxiĂšme est une espĂšce de poisson. Mon tout est un animal. — RĂ©ponse Un mouton Mou – Thon. 40. Mon premier recouvre le corps. Dans la gare, on marche sur mon second. On a besoin de mon troisiĂšme pour faire des phrases. On fait mon quatriĂšme pour attacher deux cordes. Mon tout plaĂźt souvent aux enfants. — RĂ©ponse PokĂ©mon Peau – Quai – Mot – NƓud. 41. Mon premier a des bois. Mon second a des bois. Mon troisiĂšme a des bois. Mon quatriĂšme a des bois. Mon cinquiĂšme a des bois. Mon sixiĂšme a des bois. Mon tout se termine par une queue de poisson. — RĂ©ponse Une sirĂšne Six rennes. 42. Mon premier est une onomatopĂ©e qui exprime la colĂšre. Mon deuxiĂšme est une sorte de pĂąte. Mon tout est un animal qui vit dans les marres. — RĂ©ponse Une grenouille Grrr – Nouille. 43. Mon premier est un musicien cĂ©lĂšbre. Mon deuxiĂšme est une note de musique. Mon troisiĂšme est aussi une note de musique. Mon tout est un fromage italien. Qui suis-je ? — RĂ©ponse La mozzarella Mozart – RĂ© – La. 44. Mon premier dure 365 jours. Mon deuxiĂšme pond des Ɠufs. Mon tout sert Ă  faire de la lumiĂšre. — RĂ©ponse Une ampoule An – Poule. 45. Mon premier est un oiseau bavard. Mon second est une note de musique. Mon troisiĂšme se trouve au milieu du visage. Mon tout est un massif montagneux. — RĂ©ponse Les PyrĂ©nĂ©es Pie – RĂ© – Nez. 46. Mon premier est une note de musique. Mon deuxiĂšme est un arbre de la forĂȘt. Mon tout est un animal. — RĂ©ponse Le lapin La – Pin. 47. Mon premier est au milieu de la figure. Mon deuxiĂšme est le contraire d' »habillĂ© ». Mon troisiĂšme dirige les bateaux en mer la nuit. Mon tout est une fleur sur l’eau. — RĂ©ponse Le nĂ©nuphar Nez – Nu – Phare. 48. Mon premier s’utilise lorsque l’on fait une chose pour la deuxiĂšme fois. Mon deuxiĂšme est un nombre entre 5 et 10. Mon tout est utilisĂ© pour cuisiner. — RĂ©ponse Une recette Re – 7. 49. Mon premier est un mĂ©tal prĂ©cieux. Mon deuxiĂšme est un habitant des cieux. Mon tout est un fruit dĂ©licieux. — RĂ©ponse L’orange Or – Ange. Mon premier est le contraire de froid ». Mon deuxiĂšme est le quart de 28. Mon tout est un sous-vĂȘtement. — RĂ©ponse Une chaussette Chaud – Sept.

autour du toit qui nous vit naitre